Mise à pieds pour le numero 124658 (Kathryn Connors)

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Je restai silencieux quelques instants, mon oreille commençait à me piquer un peu. Je commençai à respirer plus fort.
* Oh non, pas maintenant, pas ici, j'ai déjà assez peur si elle me fait mal ...*
Mon oreille gauche était sérieusement endommagé depuis cette opération millitaire qui la rendu sourde. Ce la me prenait n'importe où, n'importe quand. Elle commence par gratter un peu, puis ça démange tellement que ça en devient douloureux pour finalement devenir insuportable puis ça redevient normal. Je ferme les yeux, j'essaie de penser à autre chose, je me dis que ça n'arrivera pas.
Elle fesait déjà de plus en plus mal, je grimaçai en plaquant ma main sur l'oreille défectueuse. Je penchai la tête de côté en poussant un grognemen et commençai à m'agitai. Je m'éloigna un peu de Kathryn, ne voulant pas la blesser, je savais que le pire était à venir. Bientôt je fermai les yeux durement, sentant la douleur enflammée dans mon oreille. Je ne pouvais rien faire, c'était en dedans. Je poussai un cri de fureur et de douleur et me cognai la tête du côté gauche contre le mur en me tenant l'oreille.

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Je sursautais lorsqu’il se désola et qu’il commençait à s’agiter. Je me remis à trembler, je ne fis pas un mouvement mais je ne pouvais empêcher mes tremblements. Je l’observais longuement, mais qu’est-ce qu’il avait? Il semblait avoir mal, mais où avait t’il mal?? Je me levais doucement, de toute façon je commençais à en avoir plus qu’assez d’être assise par terre. Il y avait plusieurs jours que j’étais enfermée ici et c’était déjà beaucoup trop. Je m’approchais lentement de lui, et je lui mis une main hésitante sur l’épaule. Je gardais tout de même mes distances. Je dis d’une voix que je voulais assurée :

-Est-ce que ça va??? Je peux t’aider??

Je gardais ma main sur lui. J’espérais peut-être pouvoir faire quelque chose, J’étais infirmière avant de commettre des meurtres … Alors je connaissais plutôt bien les blessures.

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Chaques secondes étaient comme une éternité dans cette horrible souffrance. Une aguille était planter dans mon oreille et on la remuait ... Je la frottais désespérément, priant pour que la douleur cesse. Des grognements lourds s'échappait de mes mâchoires serrées et mes yeux étaient reatait obsitnément clos. Je grattai l'extérieur de l'oreille de toutes mes forces, elle était rouge vif. J'étais de plus en plus nerveux. Je frappai de nouveau ma tête conre le mur rugueux humide et dure. Je promenai ma tête contre le mur de haut en bas, le béton armée usé par le temps frottant douloureusement contre mon oreille, mais c'était toujours moin pire que ce qui fesait mal à l'intérieur. J'entendis la voix lointaine de Kathryn, je lui répondit en criant presque:

- Arrrghh ...m-mon oreille ...!!!

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Je grimaçais lorsqu’il se frottait la tête ainsi contre le mur, après ça il aurait une bonne raison d’avoir mal!! Je le fis reculer et je dis, d’une voix plus forte :

-Ne faite pas ça!! Ça ne vous aidera pas!

Je ne m’étais pas rendue compte que je m’étais remise à le vouvoyer, ce n’était une habitude. J’essayais de m’approcher un peu de lui pour regarder son oreille. Elle était très rouge, mais je ne voyais pas grand-chose. Et cette douleur était arrivée si subitement, que pouvais-je bien faire pour l’aider.
Je mis ma main sur son oreille. Elle était brûlante je demandais :

-Vous devez m’expliquer ce qu’il vous arrive pour que je puisse vous aider!

Je doutais qu’il soit capable de me dire quelque chose. La douleur qui l’assaillait semblait atroce. J’avais mal pour lui.

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Sa voix semblait si lointaine à mon oreille valide, l'autre étant tellement douloureusement qu'elle était totalement hors d'usage. Je résistai lorsqu'elle me repoussa du mur mais j'étais à genou et je n'avais pas vraiment d'équilibre. Je luttai contre la douleur de l'intérieur, mes nerfs tremblait sous ma peau mais je m'agitai tellement que ça paraissait pas. Le corps tentais de combattre quelque chose, mais ne ce rendait pas compte que c'était lui-même. J'entrouvis difficilement les yeux en sentant une contact frais sur mon oreille brûlant, je ne sentis pas l'appaisement que cela me fit et refermai les yeux. J'étais bien incapable de prononcé d'aussi longue phrase. Il fallait que je sorte d'ici, c'était trop petit et mon oreille faisait trop mal. Je me levai vivement et rentrai violemment dans la porte avec mon épaule.

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Je reculais vivement lorsqu’il se projeta contre la porte. Mais pourquoi est-ce que les gardiens faisaient cela? Pourquoi est-ce qu’ils nous torturaient de la sorte? Cet homme avait visiblement besoin de soin et moi aussi.

Je me laissais tomber par terre. Complètement découragée et épuisée. Qu’est-ce que je pouvais faire pour l’aider? Rien du tout Moi il m’avait apaisé, et moi j’étais incapable de rien. Je me relevais finalement et je retournais vers lui. Je dis dans son oreille valide, en se collant contre lui :

-Ont va venir nous chercher … Ont me l’a promis, ça fait une semaine, et elle est sensée venir …

Je n’y croyais plus vraiment … Vlana m’avait promis qu’elle viendrais me chercher. Mais elle ne venait pas très rapidement …

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Je sentis son corps se coller contre le mien, je ne sais pas pourquoi mais cela m'empêcha de rentrer de nouveau dans la porte. J'avais toujours le visage crispé par la douleur, je me retenais pour ne pas hurler. Hurler parce que je paniquais ici, hurler parce que j'avais mal et hurler parce que j'étais enragé de ne pouvoir rien faire pour nous sortir d'ici.
-Ont va venir nous chercher … Ont me l’a promis, ça fait une semaine, et elle est sensée venir …

La douleur commençait à s'estomper, je en tenta pas de fuire le contact de nos deux corps. Un contact humain, un contact sincère, réconfortant, c'était si lointain pour moi. En faite je me rappel pas en avoir eu, que se soit à la rue ou à l'armée, la faiblesse n'était pas permis. Je restai quelques minutes comme ça, ma main plaquée sur mon oreille et mon corps en entier tendu comme un arc. Puis finalement je mis mon bras valide autour de ses épaules. Je ne parla pas, j'étais concentré sur ne pas paniquer et sur la douleur de mon oreille qui s'estompait lentement.

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Je le sentais ce calmer. J'étais si contente! Il semblait avoir encore mal, mais tout de même, le fait qu'il cesse de se frapper partout ne pouvait que l'aider à ne plus souffir .. Je restais longtemps contre lui, le serrant également de mes bras. Je dis d'une voix douce:

-...Pourquoi est-ce que tu as aussi mal à l'oreille?

Je voulais savoir, pouvoir faire quelque chose pour lui ... Je n'en savais rien, mais je ne voulais pas rester à ne rien faire alors qu'il souffrait le martyr. J'étais infirmiere avant d'être enfermée en prison, j'aidais les gens, je les soignait. Je pouvais certainement l'aider, ou du moin qu'il se sente un peu mieux.

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Je la sentis me serrai aussi. Je ne savais pas ce qui m'arrivait, pourquoi est-ce que je m'étais attaché aussi facilement à Kathryn ? Peut-être parce qu'elle est si fragile, et qu'il tant de personnes sadiques et plus forte qu'elle qui n'hésiterait pas à la faire souffrir. Pourtant elle était si petite, je devais la protéger sinon elle ne tiendra pas le coup dans une prison aussi dure. L'affection n'a jamais existé pour moi et pourtant, en ce moment, mon corps brûlant collé contre le sien, j'appréciais le contact. Elle me demanda pourquoi j'avais autant mal à l'oreille, je me crispai. J'étais déjà assez tendu je ne crois pas qu'elle est vu la différence. Je me cachai derrière mon expression dure. Me souvenir de tout ce qui s'était passé ce jour était douloureux mais j'étais fort, j'ai toujours été fort même dans des situations terribles. Je répondis simplement:

- Un accident ...Tiens toi loin de moi quand ça arrive ...

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D'un pas rapide et déterminé, enfin comme à mon habitude, je m'avançait le long du couloir qui menait à la salle d'isolementou j'avais misà pieds la numero 124658 il y avait de cela une semaine maintenant. En esperant qu'elle s'était calemée...
J'avais lu en long et en lagre le dossier de cette détenue et je trouvais assez naturelle au fond la façon dont elle avait réagit à l'arriver d'un homme dans sa cellule...

Je jeta un regard dans la petite fente qui nous permettait à nous gardiens de surveiller les prisonniers... Elle n'était pas seule! Qu'est ce que c'était que ce bordel!! En plus de cela elle était avec le mec qu'elle avait frapper, ce qui l'avait conduit ici?
J'ai ouvert la porte avec fraqua et j'ai dis d'une voix ferme et dur:

"-Kathlhryn Connors numéro 124658, venez avec moi!! "

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Je sursautais. L'ont venais enfin me chercher! Je jetais un coup d'oeil à Stanley et je dis d'une voix forte:

-Il a besoin d'aide lui aussi!! Il ne doit pas rester ici!!

Je ne le laisserais pas ici. Maintenant c'était certainement la seule personne en qui j'avais donné un peu de ma confiance, et il souffrait, je ne voulais pas qu'il souffre. Je dit:

-Il est blessé ... sortez nous d'ici ...

Je parlais d'une voix supliante. J'étais également gravement blessée, je voulais tellement sortir d'ici, mais je ne voulais pas l'abandonner, c'était certain

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Lorsque j'entendis la porte s'ouvrir, je lachai aussitôt Kathryn et la poussa en arrière, mon regard assassin se planta dans ceux du gardien ...Ah, c'est une gardienne. Je laissai passer Kathryn qui pouvais enfin sortir, j'avais le goût de courir vers la porte et de bousculer la gardienne pour sortir de cet enfer. J'étais soulagé que la jeune femme sorte, elle était plus blessée que moi et surtout elle avait rester tout un semaine de ce trou, ce que je n'aurais pu supporter je donnai à Kathryn une forte poussée dans le dos pour qu'elle soit hors de la cellule. Ma bouche saignait du coup de matraque de tout èa l'heure et j'avais une énorme eccymose sur la mâchoire. Je savais bien qu'elle ne me laisserais pas sortir. Mon oreille était brûlante, rouge vif et pleine d'égratignure. Je ne pouvais plus supporter cet endroit clos. Je bouscule violemment la gardienne, referme la porte du trou et marmonne rapidement à Kathryn:

- Les ennuis sont finit pour toi, t'occupe pas de moi et tiens toi tranquille ...
Sur ce je pars en courrant le long du couloir sans même jeter un coup d'oeil èa la gardienne.

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La voix qui me parvint était celle de la jeune femme... Mais c'était il passé ici... En allumant le lumière je vie qu'il y avait du sang à certain endroit del a pièce... Il allait falloir que je trouve un responsable et surtout qui était de garde...
Meme si ils n'étaient que prisonniers, je partais du principe que l'on avait pas à blaisser ainsi les gens, surtout lorsqu'ils étaient fragile mentalement...
Je me suis avancé dans la salle et j'ai dis à l'adresse de Kat:

"-venez avec moi, c'est un ordre! Laissez le!!"

Je ne pouvais rien faire pour le mec, ce n'était pas moi qui m'en occupait alros je n'en étais pas responsable.

"si vous ne m suivez pas je serai contrainte de vous passél es menote et de vous administrer un sédatif! Allons dépéchez vous!! "

Il fallait qu'elle me suive sans rien faire d'autre, je en tenais pas à devoir sevir, j'étais un peu trop fatigué pour cela, pas encore remise tout à fait de mes avanture de la nuit dernière...

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Je sortais lentement de la salle d'isolement. J'étais terriblement faible. Je dis simplement:

-Je viens ... Je ne comptais pas rester là plus longtemps ...

Je gardais les yeux sur le sol. Elle m'avait dit qu'elle viendrait me voir, qu'elle me donnerait à manger. Mais elle n'était pas venue. Et au lieu de ça c'était un autre gardien qu'il s'en était prit à moi.

J'avais beaucoup de plaies et j'étais au bord de l'évanouissement.

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Les yeux ailleurs pendant un court instant lorsque j'ai repporté mon regard sur ma prisonniere, j'ai pu voir son état déplorable... Mais que c'était il dont passé ici? Comment ce faisait il qu'elle soit dans un était pareil?
Lorsque je vis ses yeux se révulsé, j'ai couru jusqu'à elle pour la retenir dans sa chutte.
Je l'ai allongé au sol et je lui frappé les joues pour la faire revenir à elle...

"-aller merde!! C'est pas le moment!!"

Au bout d'un petit moment, Kat repris connaissance... Son pou était faible, et sa respiration aussi... Je ne pouvais pas la laisser ainsi. Je n'avais jamais éprouvé le moindre snetiments de ma vie et a vrai dire la souffrance des autres me donnait presque du plaisir en faite, mais je n'aimais pas qu'on s'en prenne à des femmes...
J'ai passé un de ses bras autour de mon cou et je l'ai soulevé de terre, pour l'emmener à l'infirmerie... Qu'elle poisse il fallait bien que cela arrive à moi...

Je pris tout de meme le temps de refermer la porte et d'éteindre la lumière lorsque nous fumes sortie de la salle, laissant l'autre prisonnier là, ce n'était pas le mien, alors ce n'était pas à moi de m'occuper de lui.

» Kathryn Connors