Mise à pieds pour le numero 124658 (Kathryn Connors)

Invité

Je dis d'une voix faible:

-...J'aime ça ..

Je ne le dis pas deux fois. Je voulais qu'il me laisse, je n'en pouvais plus. Je n'étais plus capable de supporter quoi que ce soit de ce qu'il me ferait. Pourquoi ne me laissait t-il pas? Il avait eu ce qu'il voulait non? Alors que lui falait t-il de plus?

Je n'avais qu'une seule envie. Attrapper ce couteau et depecer cet homme ... Le tuer comme je l'avais fais avec tout les autres qui avaient osé m'approcher.

Je lachais un hurlement de rage. J'étais très à caractère changeante. Une minute que je pouvais être totalement effrayée et l'autre carément enragée. J'étais comme ça.

J'essayais de le frapper avec mes jambes. J'avais mal, mais je ne le supportais plus.

-J'addore ça!!! J'adore ça!!! LAISSE MOI TRANQUILLE!!!

J'hurlais de plus en plus fort. C'était un regain d'énergie. Je ne serais pas forte longtemps, mais pour l'instant j'avais besoin de bouger.

Invité

Mon couteau entra un peu dans sa gorge lorsqu’elle se mit à se débattre. Je lui donna un autre coup de poing. J’ignorais si la coupure qu’elle s’était elle-même infligée était grave, mais je m’en foutais. Elle avait dit ce que je voulais, je pouvais enfin me laisser aller.

Je lui redonner un autre coup de poing, pour m’assurer qu’elle resterait tranquille, et s’accéléra ma cadence. Ce ne fut pas bien long, trois ou quatre coups de rein, et je jouis en elle. Longtemps en plus. La garce m’avait bien trop excité. Je resta en elle un moment, m’amusant à la caresser d’une main et à la couper de l’autre.

-T’es une gentille petite salope… Je vais voir à ce que tu sois bien traitée… Si j’y pense encore…

Je la coupa une dernière fois et me releva. Je rangea mon membre dans mon pantalon et attrapa ma ceinture. Je me dirigea ensuite vers la porte sans lui adresser un regard.

-Au revoir chérie!

J’ouvris la porte et sortit, sans oublier de verrouiller. Je pris la petite fiche à côté de la porte. Elle était bonne pour encore une journée. Je sortis un crayon et fit un trait sur la date. Trois jours de plus lui feront le plus grand bien.

Je remis ma ceinture et me dirigea vers ma chambre.

Invité

Je restais sur le sol et je pleurais, agitée de grand sanglots et de grand tremblement. J'avais tellement mal. j'avais beaucoups de courures mais ce que je ressentais de plus c'était le viol.

Je restais plusieurs heures dans cet état. Lorsque je fus un peu plus calme je me relevais lentement. grimaçant à chaque mouvement que je fesais.

Je finis par retrouver mes vetements. Je remis doucement. J'allais vers la porte et je me remis à pleurer en voyant qu'elle était verouillée.

Je me laissais glissée contre cette derniere. Je donnais de petits coups, des coups très faibles contre la porte

-...Je veux sortir ... laissez-moi sortir ... Dis-je d'une voix base.

Mais evidement personne ne pouvait m'entendre. Je sentais beaucoup de sang, sur mon corps, par terre. Le gardien qui viendrait me chercher aurait une belle surprise.

Je continuais à pleurer sans songer à autre chose.

Invité

(Je peux venir ?)

128699 Nombre de messages : 3854 Age : 33 Date d'inscription : 11/02/2007

(desolé ... j'ai la flemme de changer de compte ... mon ordi va trop mal...

Kathryn: mais oui vient si tu veux XD )

Invité

[Loll xD kk j'arrive]
Alors qu'un gardien me poussait sans douceur dans un couloir noir et sale vers la salle que je redoutais tant, un de ses collègues (steve) se dirigeait en sens contraire vers la sortie. Mon bourreau lui demanda si il y avait quelqun dans la salle et l'autre gardien lui répondit que celle-ci était occupé par ...une femme. Cela donna un petit sourire à mon gardien qui se tourna vers moi, une lueur d'amusement dans les yeux.

- Tu vois tu vas pas t'ennuyer tant que ça ...

Il ne me connaissait pas, je n'étais pas un violeur mais voilà bien longtemps que je n'ai pas goûter à la douceur d'une femme. Bon pour l'instant ma panique grandissante me préoccupait un peu plus que mes bas instincts. Effectivement un claustrophobe tel que moi n'a pas vraiment sa place dans une prison. Je me débattis vivement en voyant la porte blindée qui s'ouvrait sur une petite pièce noir et ...fermée. Je secouai vivement ma tête en essayant de donner des coups de n'importe quoi à mon adversaire mais j'y gagnai un coup de mattraque dans le ventre. Je perdis le souffle pendant quelques secondes qui suffirent au gardien pour m'envoyer dans la salle d'un coup de pied. La porte se referma alors que j'aterrit sur quelque chose de mou qui s'averrait en faite la jeune femme ...

Invité

Je gémis en sentant quelqu’un tomber sur moi, mais pour l’instant, la seule chose dont je me souciais était la porte qui se refermait. Je m’agrippais fermement à la porte et j’hurlais :

-Non!!! Laissez moi sortir!!

Mais c’était trop tard, elle se refermait, me laissant toute seule dans mon enfer, j’étais pleine de sang, j’avais mal et je pleurais … Mais non, je n’étais plus seule. Il y avait maintenant quelqu’un avec moi, je le regardais, simplement à sa silhouette, je comprenais que c’était un homme, Je gémis plus forts et je dis :

-Non … s’il vous plait … Laissez moi tranquille … Je n’ai pas de force … Je n’en n’ai plus …

Je ne voulais pas que ça recommence, l’ont m’avait fait assez de mal, je n’avais plus la force de me défendre, j’étais fatiguée, j’avais faim … En fait j’avais un peu tout.

Invité

Je vis ou plutôt sentis la masse sous moi se tortiller pour ramper vers la porte en hurlant. Les murs semblait se refermer autour de moi, je pouvait distinguer le miroitement de l'humidité près de moi. Son hurlement m'énerva encore plus que je l'étais et je l'empoigna brusquement par les épaules dans une ferme poigne en poussant un long grognement sonore. Je respirais bruyamment et une boule d'angoisse se formait déjà dans ma gorge.
Ses paroles sortirent sous un gémissement, un faible appel à la compation. Comme un animal blaissé. J'oubliai pendant un moment la proximité des murs autour de moi et radoucit ma poigne sur ses épaules. Je pris quelques seconde spour me calmer et chuchota d'une voix que je voulais rassurante mais qui semblait malgré tout tendue:

- Doucement, jte ferai pas mal. Je suis énervé, je suis claustrophobe c'est normal. Jte ferai pas mal aie pas peur moi ...

Je remarqua un liquide épais et luisant sur mes mains, il était frais. Dans la noirceur du trou à rats je distinguait appeine sa silhouette.
- C'est ton sang ?

Invité

J'hoquetais de peur lorsqu'il m'empoigna, je tremblais, je n'avais jamais autant tremblé.

- C'est ton sang ? qu'il me demanda.

J'aquiessais doucement, c'était mon sang et je saignais beaucoup, mais je me rendis compte qu'il ne pouvais pas vraiment me voir faire un signe de tête, je dis faiblement, d'une voix entre-coupée:

-...Oui ... c'est ... mon sang ...

Je me remis à pleurer de plus belle. Malgré qu'il m'ait dit qu'il ne me ferais pas de mal, je n'avais que plus peur, l'autre homme d'avant aussi m'avait promis de ne rien me faire, et pourtant il m'avait bien violée et coupée. Je redis d'une voix faible, comme si c'était une habitude:

-...Ne me faites pas de mal ... Je vous en pris ...

Invité

Kathryn Connors a écrit:: -...Ne me faites pas de mal ... Je vous en pris ...

Je la sentais trembler sous mes mains, elle était terrifiée c'était évident. Mais qu'est-ce qu'ils lui ont fait pour la mettre dans un tel état ? En fait, je ne voulais pas savoir, je doutais déjà de ce qui s'était passé mais lui poser des questions ne ferait qu'empirer la situation. Elle ne me croyait pas, je me radoucit encore. Elle fesait resortir mon bon fond, qui d'habitude était assez bien caché. Elle avait répondu que c'était son sang. Mes mains quittèrent ses épaules et vinrent doucement se poser sur son cou. Je ne voyais pas grand chose mais je sentis des plaies, je déplaçai lentement mes mains vers sa nuque, encore là il y en avait. Mes mains étaient chaude et rassurante sur sa peau froide et moite. Alors que je l'examinait sans brutalité je chuchota:

- shhhhh calme-toi je ne te veux aucun mal. N'aie pas peur de moi je ne vais pas faire comme lui ...jamais ...

Invité

Je me calmais un peu, n’étant pas moins tremblante, mais j’avais l’impression, à la façon dont il me touchait, qu’il ne me ferait pas de mal. Mais de toute façon, j’avais déjà tellement mal, il ne pouvait pas vraiment me blesser plus que je ne l’étais.
Je me décollais un peu de lui, allant m’appuyer contre le mur. J’étais fatigué je voulais dormir. Je dis d’une voix basse :

-…Je veux sortir d’ici …

Je ne savais pas que c’était l’homme que j’avais attaqué dans ma cellule. Et certainement que lui n’ont plus ne le savait pas, puisque nous ne pouvions pas nous voir. Je n’étais pas faite pour être dans cette prison, j’étais faible, et je devenais folle simplement au contact d’hommes dangereux, et un endroit ou les hommes étaient certainement les plus dangereux, c’était dans une prison. À cette pensée je me remis à trembler de plus belle. Cet homme dans ma cellule, je ne connaissais pas ces crimes, mais si il était ici, c’était certainement pour une bonne raison.

Je gémis. J’avais tellement mal, à l’intérieur comme à l’extérieur, j’aurais dû sortir de la salle d’isolement, mais le gardien m’avait laissé ici. Je ne tiendrais certainement pas bien longtemps encore …

Invité

En l'entendant gémir je décollai mes mains de quelques centimètres, levant mes yeux vers ce qui semblait être son visage. Moi aussi je voulais sortir de cette endroit, je n'étais là que depuis quelques instants et je me sentais déjà étouffer. J'arrachai un de mes manches, de l'épaules jusqu'au poignet, je retenais la brutalité de mes gestes pour ne pas l'effrayer. Une longue bande tissu s'étalait, je la pris et vint doucement l'enrouler autour du cou de la jeune femme, comme un foulard. Après trois tours, je noua un noeud simple en faisant attention de ne pas trop le serrer. Toutes les plaies étaient couvertes, ceux que j'avais trouver en tout cas. Je la sentais molle contre le mur, je me déplacai lentement à côté d'elle, mon épaule dépassait la sienne d'une tête au moin, lui permettant de s'accoter si elle voulait. Je pris ses mains petites mains dans la mienne, grande et chaude.

- Moi aussi je déteste ce put**n de trou à rats ...

Invité

Je le fixais avec stupéfaction lorsqu’il banda mes plaies, un homme qui m’aidait, c’était la première fois qu’une chose comme cela m’arrivait. Lorsqu’il se cola contre moi et qu’il prit mes mains, je me remis à pleurer de plus belle. Nerveusement. Je n’avais plus vraiment peur de lui, mais je sentais aussi sa crainte, il m’avait dit qu’il était claustrophobe, alors ce ne devait pas du tout être simple pour lui n’ont plus. Je tournais mon visage vers lui … J’eux l’impression de le voir un instant, certainement a cause de la proximité. Je reconnu l’homme que j’avais agressé dans notre cellule. Je fronçais les sourcils, je dis simplement :

-Je suis désolée …

Je ne voulais pas lui dire qui j’étais, de peur qu’il se mette en colère, mais je tenais à m’excuser.

Invité

-Je suis désolée …

Je passa un bras protecteur autour de ses épaules. Je fronçai les sourcis, je sentais la froideur de son corps contre le mien, brûlant de colère envers ceux qui m'ont enfermé ici et envers ma phobie qui ne fait qu'empirer ma vie depuis toujours et surtout dans cette prison. Je ne savais pas pourquoi mais lentement je me sentais responsable de la jeune femme, je sentais que j'avais le devoir de la protéger. Normalement je suis froid, distant, irritable et agressif mais ici en ce moment, ce n'était pas l'endroit pour être méfiant car pour l'instant c'était elle qui avait vraiment peur. Je ne l'avais toujours pas reconnu, je lui lança un regard confu:
- Pourquoi ?

Invité

J'étais devenue plus calme. Est-ce que je devais lui dire? Je n'en savais rien. J'avais peur qu'il se mette en colere, et de la colere je n'en supporterais pas beaucoup.
Je dis finalement:

-Parce que je suis dans la même cellule que toi ... Et que j'ai pris peur ... Je ne voulais pas, mais je ne peux m'en empecher ...

C'était vrai, j'avais bien essayé de ne pas lui sauter desssus, mais la peur prennait souvent le dessus, et j'étais bien effrayée dans cette prison.

Je baissais la tête, attendant avec peur sa réaction. J'esperais qu'il ne me fraperais pas. Peut-être qu'il voudrait se vanger que je l'ai attaqué dans notre cellule

Invité

Je me tendis contre elle, je plissai les yeux en essayant de détailler son visage. Je me rappelais d'elle maintenant, elle m'avait sauté dessus dans sa cellule dès son arrivé. Je lui avait seulement demandé de m'allumer et BOOM ! Je m'étais ramasser par terre le nez en sang. Je la regarda longuement. J'aurais eu le goût de lui donner une leçon, de lui faire comprendre qu'elle m'avait pris par surpris et que j'était le plus fort. Mais elle était déjà assez mal à point que je n'avais pas besoin d'en rajouter. Je décidai finalement de ne rien dire et me r'appuya sur le mur, tentant de contrôler mon angoisse qui montait de minutes en minutes mais qui restait contrôlable alors qu'il s'occupait la penser avec la jeune femme.

Invité

Je le sentis se tendre, mais il ne fit rien. J’étais très soulagée. Je dis pour me justifier :

-…Je ne voulais pas te faire de mal … J’avais peur que tu m’en fasse, … Je réagis toujours excessivement …

J’essuyais mes larmes, j’avais beaucoup pleurée, et maintenant que l’autre homme était partit je me sentais beaucoup mieux. Malgré le fait que j’ai tué plusieurs homme j’étais certainement la personne la plus fragile de cette prison, lorsque ont me connaissait, l’ont se demandait vraiment pourquoi j’étais enfermée ici, enfin cette question, c’était surtout les femmes qui se la posait car je n’avait tué aucune femme.

Invité

Je baissai les yeux vers elle, écoutant sa justification. Je l'a comprenait, j'étais agressif et violent envers les autres mais c'est en faite de la méfiance. Il était vrai que dans le feu de l'action je l'avais trouver plutôt malade mentale d'avoir pêter les plombs comme ça sans se soucier que j'étais beaucoup plus fort qu'elle. Je passa mon bras libre autuor de sa taille et l'amena vers moi. Mon autre bras autour de ses épaules et ma tête appuyée sur la sienne, je pouvais sentir mon souffle chaud faire lever des mèches brunes.

- Ça va ...Mais la prochaine fois la sentence pour être encore plus sévère ...Fais attention ...

Invité

J'eux un frisson, cette proximitée me gênais un peu ... Mais je ne pouvais dire que sa me dérengeais vraiment, ses épaules et ses bras étaient si fort, et moi j'étais si fragile. J'avalais difficilement, est-ce qu'un homme pouvait être aussi gentil? j'en doutais beaucoup. Mais pour l'instant j'étais si bien, je me sentais à l'abri. Pourquoi est-ce qu'il n'était pas arrivé quelques instants plus tot. Pour ne pas que ce gardien s'en prenne à moi.

Je levais les yeux vers lui lorsqu'il me dit:

- Ça va ...Mais la prochaine fois la sentence pour être encore plus sévère ...Fais attention ...

J'aquiessais doucement, je me tiendrais tranquille, enfin j'esperais, je ne controlais pas vraiment mes reactions. Et j'étais effrayée par ce que je pouvais faire. Je me remis à sangloter, je sentais la tête qui me tournais, j'avais perdu tellement de sang.

-Je ... je vais mourrir ...

Je ne savais pas si c'était l'entente de ce mot qui me faisais autant peur, mais j'avais vraiment l'impression que j'allais mourir.

Invité

-Je ... je vais mourrir ...

Moi aussi ...Chaque fois que j'entrais dans une salle trop étroite, quand j'étais enchaîné, retenu j'avais l'impression de mourir. Mes pensées étaient rivées sur la jeune femme fragile dans mes bras musclés (très musclés xD). Le trou était vraiment petit et je n'étais pas calme, je ne dormirai pas tant que je serai dans cette salle vraiment trop petite. J'essayais de camoufler ma panique. Si moi j'avais peur elle ne serait pas vraiment rassurée. Je reserrai mon étreinte d'un geste protecteur sur son petit corps maigre, je la sentais faible mais elle était sans doute juste fatiguée. Je sentais le devoir de la protéger, elle n'allait pas tenir longtemps dans une prison aussi dure. Je sentais son corps froid et frissonant contre le mien, je la rapprochai encore, voulant la réchauffer et la rassurer.

- Ne dis pas ça ...tu es juste un peu fatiguée ...

Invité

J'avalais difficilement et je dis:

-...J'ai perdu beaucoup de sang ... Pourquoi est-ce qu'ils me laisse ici ... J'étais suposée sortir ...

Je me collais plus contre lui, et il me serra plus fortement. jamais je n'avais éprouvée un tel sentiment de ... Confort, ce n'était peut-être pas le mot, mais je me sentais tellement bien dans les bras de cet homme. Je le sentais ce crisper et ce decrisper, c'est vrai qu'il était claustrophobe, et parler semblait lui faire du bien. Alors qu'il me consollait, me protègeais, je pouvais bien tenter de l'aider un peu ...

-Est-ce que je peux vous demander votre nom?

C'était deja un bon pas non? Le nom ... Je dis rapidement:

-Je m'appelle Kathryn ...

Invité

- Je m'appelle Kathryn ...

Malgré tout j'étais bien content qu'elle me parle, mes pensées se dirige à nouveau vers elle et quitte les murs humide qui semblaient vouloir se refermer sur moi à tout moment. Je sentais qu'elle se calmait et j'en étais soulagé. Je la gardai dans mes bras, pour qu'elle se détende complètement. Je savais pourquoi ils l'avaient laissé là, ils espéraient que je ''joue'' avec elle, ils vont être bien déçus. Elle me donnait son nom, c'était une petite marque de confiance et un pas en avant. Cela me pris quelques secondes afin de me concentrer complètement sur elle.

- Stanley ...Stan si tu préfères et arrête de me vouvoyer ...

Invité

-Daccord.

J'arrêtais de le vouvoyer. Je ne savais pas de quoi lui parler par contre, que pouvais t'ont demander à un prisonnier? J'étais peut-être intriguée par le pourquoi il était ici, mais je ne voulais pas lui dire pourquoi moi j'étais en prison. Et certainement qu'il me poserait la question par la suite. Il n'était pas très bavard, moi je l'étais à un point plutot normal. Je n'étais pas fatiguante, mais j'aimais tout de même faire la conversation. Le silence me pesais lourd, surtout dans une piece comme celle-çi.

Je pris quelques instant avant de demander:

-Tu as ... Quelque chose qui te donne tout particulièrement envi de sortir d'ici?

Je n'étais pas bien claire, c'est pourquoi je poursuivis en disant:

-Un but ... Peut-être la libertée, ou autre chose ...

J'esperais qu'il ne trouverais pas cette conversation ennuyante, qu'il n'aurait plus envi d'y répondre. J'en avais besoin, et lui avec sa claustrophobie avait besoin de se faire changer les idées.

Invité

Un long silence s'installa à nouveau. D'habitude, j'aimais le silence car, dans le silence et la solitude, on ne voit que l'essentiel. Derrière un coeur de pierre et un intérêt agresssif pour ''taquiner du poing'' se cachait un coeur meurtrie à force d'être frappé. Chaque fois que son père le battait, c'était un coup dans le coeur, chaque fois que la drogue pénétrait dans son sang, c'était un coup dans le coeur ...
Mais dans cette pièce fermée, le silence n'était qu'un bon remontant pour mon angoisse.

-Tu as ... Quelque chose qui te donne tout particulièrement envi de sortir d'ici? Un but ... Peut-être la libertée, ou autre chose ...

J'appuyai mon dos sur le mur humide, gardant un bras autour de sa taille, je tournai les yeux vers elle. Je ne pouvais pas distinguer les siens sur son visage mais je plongeai les miens dans l'ombre de sa silhouette. Je marmonnai entre mes dents d'une voix haineuse.

- Pour arrêter d'avoir toujours cette boule dans la gorge ...Arrêter d'étouffer chaque fois que je me retrouve dans ma cellule ...Pouvoir respirer, fumer, errer ...Ouais, la liberté c'est pas mal ce que je voudrais ...

Invité

(bonnn Vlana ... tu pourrais venir je croisss)

Je restais silencieux et j'aquiessais doucement. La libertée était déja une tres bonne raison de vouloir sortir d'ici.
Moi je ne recherchais pas la libertée, mais simplement un endroit ou je pourrais me sentir à mon aise. Où je n'aurais pas peur de me faire violer, ou frapper.

Ce devait être mon air fragile qui donnait envi aux hommes de me faire du mal. Je ne comprennais pas pourquoi depuis que j'étais toute petite tout le monde s'en prennait à moi.

Je fermais les yeux, j'avais tellement mal, et je ne voulais plus souffrir ... Si je pouvais mourir, alors là je serais en sécuritée.

» Kathryn Connors