Mise à pieds pour le numero 124658 (Kathryn Connors)

J'arrive avec une prisonnière inconciente, geniale, je suis obligé de la trainer derrière moi... Encore heureux qu'elle soit légère...
J'ouvre le porte avec le pieds droit, je l'ai jamasi trouvé aussi lourde...
J'en ai marre de ces détenus qui ne tiennent pas en place, qu'est ce qui lui a pris de frapper ce mec comme ça! Il faudra que je lise le dossier ce celle ci pour en savoir un peu plus...
Je la dépose sur le sol de la pièce, elle se reveillera bien toute seule... Et là on pourra parler entre femme, meme si elle est criminelle, au fond moi aussi je suis passé par là, sauf que j'ai pas fait de tolle...

Je la regard un moment, puis je renge ma mattraque, et je sort de la pièce. Je referme la porte à clé et j'éteins la lumière de la salle d'isolement...

Au bout de plusieurs heures, je me suis souvenu que j'avais mis le matricule 124658 en salle d'isolement... Elle devait etre reveillé maintenant...
En me dirigeant vers la porte, je me dis que ca va etre dure à récupérer ça... Je ne peux pas laisser passer cet acte...
J'ai lu le dossier de Kathryn Connors et je comprends un peu mieux sa réaction...

J'ouvre la porte et j'allume la lumière, la prisonnière est assise par terre, et elle a du sang sur les mains... Elle n'a pas l'air dans son assiette du tout...
Je rentre dans la pièce avec ma main prete à sortir ma mattraque, on est jamais trop prudante.
Je lui dit d'une voix froide, je sais pas parler autrement...

"-c'est bon, ca va mieux? Tu t'es calmé? C'est quoi ce bordel que tu as foutu en 2 secondes chrono dans la cellule F? On va parler un peu ok? "

Je m'avance encore un peu et pour lui montrer que je n'ai pas peur d'elle, je ferme la porte. Ca marche bienen générale comme méthode. Lorsqu'ils voient que l'on ne les craint pas, ils deviennent tout gentils...

Je laissais échapper un autre sanglot puis je relevais les yeux vers la gardienne. Je recule un peu, je n'avais pas peur des femmes mais il fallait dire que j'étais un peu perturbée en ce moment, je dis d'une voix faible et tremblante:

-...Je ... Je n'en sais rien ...

Je me remis à pleurer de plus belle en observant mes mains ... Pourquoi est-ce qu'il y avait autant de sang?? Je finis par demander d'une petite voix, j'avais tellement peur de la réponse:

-..es ... Est-ce que je l'ai tué?

Jen e me rappellais plus trop ce qu'il c'était passé ... Seulement que je lui avait sauté dessus ... Mais le reste avait disparu ... C'était ce qui m'arrivait toujours, je ne me rappellais jamais de mes meurtres ...

Lorsque j'ai entendu la question de la prisonnière je n'ai pas pu m'empécher de rire, et cela m'arrivait tres tres rarement... Tué? C'est de ca dont elle avait peur! Allucinant!
Je fis un pas de plus vers elle et je lui dit de ma voix éternellement froide:

"-non, malheureusmenet pour nous tu ne l'as pas tué... Il est juste pas mal amoché... Mais il lui en faudra plus pour le liquider croix moi... "

En voyant pleurer cette femme, je me revoyais enfant pleurer par ce que je n'arrivais justement pas à me faire à l'idée de tuer quelqu'un... Petit à petit en faite, j'y ai pris gout... C'est juste un cap à passer. Pourquoi cette femme était elle là? Elle aurai besoins de bonne scéance chez la psy... J'irai lui en parler...

"-je vais devoir te laisser ici pendant encore un bon moment, car ton comportement n'est pas acceptable pour l'établissement. J'ai lu ton dossier et je sais ce que tu rescens en présence d'homme, enfin j'ai un peu compris pourquoi tu lui as sauter dessus, le truc c'est que les cellules ne sont presque jamais changer... Tu va devoir le surporter et te controler... "

Bien, la prisonnière était prévenu, il allait falloir qu'elle s'y face, ce mec serai dans sa cellule et je n'avais pas vaiment envie de passé ma vie à les séparer!
Je fis volte face et me dirigea vers la porte de la cellule, puis je dis avant de passer la porte:

"-je sais que c'est dure de surmonter ses peur et ce que l'on est mais tout le monde y parviens un jour... Tu restera une semaine ici... Je viendrai te chercher moi pour les repas et le jours ou tu sortira aussi... "

Il vallai mieux que ca soit moi qui le face, si un homme l'approchait, il allait encore falloir que jeparlemente comme cela et je n'aimais pas ça... Perte de temps non?
Je détournais le visage et je passa de l'autre coté de la porte, la refermant à clé derrière moi.

Après ma rencontre avec le prisonnier dont j'avais oublié de prendre le nom, je me dirigea vers les cellules d'isolement. Je me souvenais qu'il y avait des détenus dans les cellules en ce moment. Je pourrais peut-être m'amuser un peu ce soir, avant d'aller dormir.

Je m'approchais des cellules et vérifia le noms de ceux qui s'y trouvait. Kathryn Connors. Hmmm... Juste le nom me fait bander.

Je pris mes clés et ouvrit la porte. J'entra dans la pièce et referma derrière moi. J'aimais l'obscurité. Tout ce qui pouvait s'y passer sans jamais être entièrement réel.

-Bonjour Kathryn, dis-je d'une voix chaleureuse. Où es-tu?

J'étais dans le fond de la cellule. Il y avait déja plusieurs jours que j'étais enfermée, j'avais faim et je ne supportais plus la noirceur.

J'étais à moitiée endormit lorsque j'entendis une voix, je croyais rêver ... Je dis d'une voix faible:

-Laissé moi tranquille ...

J'ouvris un peu les yeux ... Je me mis à trembler lorsque je sentis la présence de quelqu'un dans cette cellule. Mais je ne voyais rien. La voix que j'avais entendu était donc bien réelle? Et c'était celle d'un homme. Je sentis des larmes couler sur mes joues, je n'aurais su dire si c'était de rage ou de peur, peut-être un peut des deux. Je réussis à dire d'une voix faible:

-... Ne m'approchez pas ... Je vous en pris ...

Je ne savais pas ce que cette personne me voulait, mais c'était plutot une mise en garde contre moi, je voulus bouger un peu, mais j'étais beaucoup trop faible. Maintenant je n'avais plus peur de ce que je pourrais lui faire, mais de ce que lui pourrais me faire ... Je ne semblait pas en état de faire quoi que ce soit ...

-... Ne m'approchez pas ... Je vous en pris ...

Je ne put m'empêcher de sourire... Elle avait une de ses voix... La voix d'un Ange... Qui sur Terre pouvait résister à un ange?

Je m'avança vers la provenance de la voix, mes yeux s'habituant rapidement à l'obscurité. Je l'aperçus finalement. Elle semblait si jolie et fragile dans son coin. Je savais que ce n'était qu'une illusion. Elle se serait pas dans cette prison et en salle d'isolement si elle était si fragile.

-Je ne suis ici que pour t'aider... Pour te redonner un peu de force... de bonheur... de plaisir...

Je m'agenouilla en face d'elle et lui attrapa les deux poignets. Je n'avais pas envie qu'elle m'attaque. Certains sont toujours très résistants après plusieurs jours enfermés. J'approcha ma bouche de son oreille.

-Tu sais que tu es bandante, lui murmurais-je.

Je me sentis défaillir lorsqu'il m'attrapa les poignet et me parla à l'oreille. Je n'étais pas forte, loin de là. J'avais seulement une peur inconditionnelle des hommes, mais j'avais toujours eu des armes à portés de mains pour comettre mes meurtres, je n'étais pas quelqu'un de bien forte physiquement.

-Ne me faites pas de mal ... Non pas ça ... S'il vous plait ...

Ma voix était entrecoupée de sanglots, je tentais de me débattre faiblement. Il me tennais, j'étais affaiblis par la salle d'isolement, je n'avais pas mangé depuis quelques jours ...

Je continuais à tenter de me défaire de son emprise, je savais que je n'y parviendrais pas, mais je ne voulais pas me laisser faire, je ne voulais pas de ça. l'ont m'avait déja violée et c'était pour cela que j'étais dans cet état ... Dans cette prison.

- Je vous en pris ...

J'avais tellement peur ... Peur de ce qu'il allait me faire ...

-Ne me faites pas de mal ... Non pas ça ... S'il vous plait ... Je vous en pris ...

Je lâcha les poignets de la jeune femme et lui caressa la joue et les cheveux.

-Chuuutt... N'ais pas peur... Je te l'ai dit, je ne te veux pas te mal...

Je glissa ma main dans son cou, puis sur sa poitrine que je massa doucement.

-Aucun homme ne t'a jamais donné de plaisir... De vrai? Sois ouverte à moi, et je te montrerais ce que c'est que d'être heureuse...

Je continua de lui tripoter les seins un moment. Je ne lui ferais pas de mal... Pas ce soir... Je la blesserais peut-être un peu... Mais ce soir, je n'avais envie que de me soulager...

-Enlève tes vêtements, lui ordonnais-je doucement. Et couche-toi sur le sol...

Je me recula un peu et la regarda faire, enfin, je regarda sa silhouette, ne pouvant pas la voir parfaitement à cause de la noirceur.

Je restais sans bouger pendant quelques instants, je pleurais toujours, complètement effrayée je ne songeais même pas à lui désobéir, malgré son ton calme, sa voix me laissait totalement tétanisée. Je me mis à enlever lentement mes vêtements, incapable d’aller très vite, je tremblais de manière incontrôlable

-… s’il vous plait … s’il vous plait … pas ça … Murmurais-je entre chaque sanglot.

Je ne voulais pas que ça m’arrive une autre fois … Je ne voulais pas, je préférais mourir et arrêter de vivre cet enfer immédiatement.

J’exécutais ensuite ses ordres, lorsque je me suis totalement déshabillé je me couchais sur le sol, les yeux fermés j’aurais tellement aimée pouvoir me défendre, l’empêcher de me faire souffrir de la sorte.

-Je vais … vous dénoncer … Ne me touchez pas … Dis-je d’une voix que je tentais assurée. Mais c’était tout autre, je savais pertinemment que personne ne m’écouterais dans une prison, tout le monde ce fichait qu’une tueuse se fasse violer, c’était même le traitement que je devais mériter. Je me remis à pleurer de plus belle en songeant à cela.

Je la regarda faire, tout en enlevant ma ceinture qui contenant mes armes. Elle allait lentement la petite garce, elle savait comment excité les hommes. Je déposa ma ceinture sur le sol, assez loin pour qu'elle ne puisse pas l'atteindre avant moi, si cela était nécessaire.

Elle se coucha sur le sol. Hmmm.... Elle semblait appétissante.

-Je vais … vous dénoncer … Ne me touchez pas …

Je souris en m'agenouillant près d'elle. Je fis glisser une de mes mains sur son corps, glissant lentement sur ses seins, son ventre, caressant doucement ses parties intimes.

-Tu ne sais même pas qui je suis... Tu ne pourras pas me dénoncer...

Je pencha ma tête et lécha son ventre, remontant tranquillement vers ses seins, sans arrêter de la caresser.

-Chuutt... Détends-toi... Profites-en... Cela va être plaisant... Je te le jure, murmurais-je.

Je sentais mon excitation monter d'un cran en la sentant trembler. Elle se calmerait, je le savais. Ils se calmaient tous. C'était ce qu'ils voulaient après tout. Leurs corps me le disaient, ils me criaient: «Prend-moi!».

Je gémis lorsqu’il se mit à me lécher. Pas de douleur, simplement de peur, de honte et bien d’autres sentiments qui s’entremêlaient. Je restais sans bouger quelque instant puis je fus prise d’une rage incontrôlable, un regains d’énergie soudain. Je ne voulais pas me laisser faire ça.

Je me mis à le ruer de coup, je ne frappais pas bien fort mais il devait tout de même être surprit. Je le frappais sur la tête, je donnais des coups avec mes pieds, je voulais qu’il me lâche, qu’il ne me touche plus

Je lâchais des hurlements tout en le frappant le plus fort que je le pouvais, je pleurais encore.

-Laissez moi!!! Laissez moi tranquille!!! Criais-je le plus fort possible. En continuant à me débattre.

Je continua de sourire lorsqu’elle tenta de m’attaquer. Je lui envoya un solide coup de poing au visage pour la calmer. Je leva ses deux bras au dessus de sa tête et les retint à l’aide d’une de mes mains. Je retins également ses pieds à l’aide de mes pieds.

-Je t’ai dit que je ne voulais pas te faire de mal… Et regarde ce que tu as fait… Je t’ai fait du mal…

Je me pencha vers son oreille.

-Ne m’excite pas trop, je pourrais sortir le couteau… Et m’amuser… Avec ta chaire fraîche… Te découper et faire ressentir ce qu’est le vrai bonheur! Mais je doute que tu sois prête à cela…

Je lui embrassa le cou et glissa ma main contre son cou. Je serra un peu, pour qu’elle devienne étourdie.

-Rien ne sert de crier ma jolie… Personne ne vient jamais ici…, lui murmurais-je.

Je continua de serrer un bon moment jusqu’à ce que je sentes qu’elle était sur le point de s’évanouir. Je lui lâcha le cou et descendit ma main vers mon pantalon qui commençait à se faire étroit.

-Tu aimes ça comment ma chérie… Passionnée, romantique, agressif? Dis-le moi et je vais t’obéïr…

Je sentais mes forces m’abandonner. Alors c’était tout? Je n’avais pas mon mot à dire dans tout ça? Je détestais être une femme, être quelqu’un de toujours aussi faible. Je ne parlais plus. J’en étais bien incapable. Je sanglotais et j’avais mal et je ne pouvais rien faire.

J’arrêtais de bouger et je dis :

-Je ne veux pas ça …Je ne veux rien …

Allait t-il en finir bientôt? J’avais tellement peur. C’était dégoûtant de faire ça à quelqu’un contre son gré. Les hommes étaient tous tellement répugnant.

-Je ne veux pas ça …Je ne veux rien …

-Alors, ce sera… romantique….

Je défis mon pantalon et sortit mon membre excité. Il n’y avait pas que lui qui était excité. Je l’avoue… Je préfère largement les gens peu ou pas consentants… Ça ajoute du piquant… Ils sont toujours plus étroits… Plus résistants… Plus agréable à pénétrer encore et encore.

De ma main libre, j’écarta un peu les jambes de la jeune prisonnière.

-Attention… J’arrive, lui murmurais-je avant de la pénétrer lentement.

Aaaaaaaaaaaaah… Cela faisait un bon moment que je n’avais pas pu prendre un peu de plaisir. J’adorais être en elle. Je résistais à la tentation de la défoncer comme un dingue, la petite salope. C’était ce qu’elle voulait après tout… C’était ce qu’ils voulaient tous.

Je commença à bouger un peu. Hmmm… Elle résistait un peu, c’était encore meilleur…

-Avoue que tu prends ton pied!, dis-je doucement.

Je me mis à gémir, c'était douloureux. J'essayais de résister, mais sans la moindre hésitation il continuait, encore et encore. Je serrais les dents et ce geste me donna une idée.

J'attrapais sa main qui était a proximitée et je le mordis rageusement. Le plus fort que je le pouvais jusqu'à ce que je sente du sang. Je ne le lachais pas. Je voulais qu'il sorte d'en moi, qu'il cesse de me souiller .

Je bougeais un peu la bouche, pour lui faire plus mal. Je savais que sa ne ferait que le mettre plus en colere. Mais je me fichais du mal qu'il pouvait me faire ... Si au moin il pouvait enlever son membre de mon corp ...

Je retins un cri de douleur en sentant les dents de la petite garce dans ma main. Alors, c’est comme cela qu’elle voulait la jouer… Je lâcha ses mains et attrapa mon couteau. En moins de dix secondes, je lui avait tailladé la poitrine. Du sang coulait doucement. Je ne voyais qu’une masse sombre coulée de ses plaies, mais ça m’excitait. Je sentais l’odeur du sang.

Je posa mon couteau contre la gorge de la femme.

-Lâche ma main… Ou tu meurs…

J’approcha mon visage du sien, n’arrêtant pas mes coups de bassin. OH non! C’était beaucoup trop bien. Je ne pouvais pas m’arrêter comme cela… Elle était trop bonne…

-Mais sache que si tu meurs… Je continuerais à entrer et à sortir de toi, encore et encore, jusqu’à ce que tu te mettes à pourrir. Tu es vraiment bonne…

J’accéléra un peu ma cadence. Le bonheur que cela me procurait contrastait étrangement avec la douleur que je ressentais à la main.

Je me mis à hurler et je lachais sa main. Sentant du sang couler sur mon ventre. je gémissais toujours, mélangée entre la douleur que le couteaux m'avait fait subir et les coups de bassins de plus en plus vigoureux.

Je fermais les yeux, ne voulant plus rien voir, malgré que la noirceur m'empechais déja d'appercevoir beaucoups de chose. J'aimerais ne plus rien ressentir ... Mais je savais que c'était trop demander, c'était surement la punition que je méritais pour tout les crimes que j'avais commis.

-Je suis désolée ... Je suis désolée ... Murmurais-je ... Peut-être que l'homme croyait que ça lui était adressé, mais je parlais plutot au seigneur ... Espérant que l'ont m'entende ... Je continuais:

-Pardonnez-moi ...

Je sanglotait toujours ... Essayant d'oublier qu'un homme était en train de me violer. pourquoi est-ce qu'il n'arrêtait pas? Je venais de le mordre et il continuait!

Je ne voulais plus rien tenter. J'attendais simplement qu'il ai terminé. En pleurant à chaudes larmes.

J’appuya un peu plus mon couteau contre sa gorge en l’entendant parler. Elle s’excusait? Brave petite fille docile… Je ralentis un peu ma cadence. Maintenant qu’elle était calmée, je pouvais en profiter pleinement. J’aimais prendre mon temps. J’aimais sentir chaque parcelle de moi pénétrer chaque parcelle du corps de mes amants.

Je glissa mon couteau contre son cou, sa clavicule, et m’amusa à former de petites formes sur sa peau.

-Tu es belle… Petite salope… Tu es chaude… Une vraie petite garce… Avoue que tu aimes…

Je donna deux ou trois solides coups de reins, pénétrant plus profondément en elle. Je remonta mon couteau à son cou et me pencha vers elle.

-Allez… Je veux l’entendre… Dis-moi que tu aimes…

Je sentais son sang sur mes mains. Cela ne m’en prenait pas vraiment plus pour que j’aie un orgasme… Mais par respect pour elle, je me retenais…

Je me sentis défaillir. Je serais incapable de dire à cet pourriture que je l'aimais, j'en serais incapable.

-... Non, Je ne peux pas!!! Dis-je en criant presque.

Mais j'avais tellement peur qu'il continu. Je sursautait à chaque mouvement de basin plus fort que les précedents ...

-... Je ... Je ...

J'essayais de le dire, mais les mots ne sortaient pas de ma bouge, ce n'était pas de ma faute, j'essayais, mais je n'étais pas capable.

-...Je vous en pris, je suis incapable de dire ça!

Dire à cette chose que je l'aimais m'étais inconcevable. Je ne voulais pas et je ne pouvais pas.

J’appuya un peu plus mon couteau contre sa gorge.

-Allez… Dis-le moi…

Je ralentis aussi ma cadence, au minimum que je pouvais la ralentir sans jouir. C’était dur, mais je voulais l’entendre. Je ne serais pas satisfait tant que je ne l’entendrais pas. Même si cette salope me faisait jouir, je resterais avec elle tant qu’elle ne le dirais pas.

-… Tu ne veux pas mourir hein? Alors dis-le!

Je glissa ma main libre contre sa poitrine, jouant avec ses mamelons.

-Dis-le… Et je vais te rendre la vie plus facile… Personne ne te touchera plus jamais… Quand je dis personne, c’est moi également…

Je n’aimais pas les plats réchauffés. Une fois que je me l’étais tapée, je ne vois pas pourquoi je reviendrais la voir. Mon amant/e devait vraiment être fantastique pour que je revienne le ou la voir. Elle était bien celle-ci, très bien. Mais pas assez.

-Dis-moi que tu aimes sentir ma queue en toi! Que tu aimes sentir ma main jouer avec tes mamelons… Dis-le!

Ma voix se faisait plus pressante, plus autoritaire. J’en avais assez de jouer. Je voulais qu’elle m’obéïsse et rapidement!