On récolte toujours ce que l'on sème

[je suis vraiment désolé par ce retard énorme ... Trop de choses à faire ]


Sans fin, lentement, nos corps se découvrent. D’une certaine manière, j'ai la chance de pouvoir lui faire comprendre les bienfaits de l'amour. Ses gémissements me font hurler intérieurement, il est si magnifique. Son visage rougis prend les traits d'un ange, le désir en est marqué. Ses lèvres entrouvertes, lui donne un air encore plus juvénile, c'est en faite ce qu'il est. Ma main prend un rythme plus rapide, sa respiration devient haletante. Moi-même, je n'en peux plus, mon corps est à l'apogée de son ivresse, l'envi de le posséder se fait ressentir plus intensément.
Je l'entends, saki m'appelle, me réclame presque. J’aime la façon qu'il a de prononcer mon nom, la preuve tangible que le plaisir est présent. Tout cela ne fait que commencer, je n'ai pas finis de lui montrer tous les trésors cachés de l'amour. Je le ferais lentement, pour qu'il garde les marques de notre union. Sa main prend possession de ma nuque, ses doigts fins sont tendre avec moi. Cela fait si longtemps que l'on ne m'a pas touché de cette façon. Saki a même fait plus que ça, il a atteint mon cœur, mon âme, plus jamais je ne serais comme avant, enfin pas avec lui. Je garde tout de même ma fonction en tête, c'est ainsi. Je suis gardien et le resterais jusqu'à la fin de ma vie. Par la même je pourrais rester avec lui, l'accompagner dans ses jours difficiles et être heureux aussi quand nous nous retrouverons ensembles. Bizarrement je ne conçois plus ma petite existence sans Saki, est-ce trop tôt pour en parler ainsi? Je ne sais pas, mais j'aime à le croire, je ne vois là qu'un nouveau but dans ce destin. Cela me rend heureux d'avoir un jardin secret, ou Saki pourra évoluer quand il le désira, c'est un grand tournant et mon jeune amant est au bout de voyage.
Comme tout débute, je préfère revenir à lui, il est là dans mes bras complètement abandonné. Sa voix résonne dans ma tête, comme un doux chant.

" je ...crois que..moi aussi ...mais je sais pas ..je sais que je ne veux que toi "

le bonheur m'envahit de nouveau, je suis si heureux que je pourrais courir dans toute la prison pour le faire partager avec tous les personnes ici, j'ai bien dit tous. Je dois garder un certain contrôle de mes pulsions, ce n'est pas le moment de divaguer comme un ado en pleine activité hormonale. J’ai plutôt envi de le prendre là, tout de suite, maintenant. Ma tendresse revint au grand galop, saki est en train de me transformer.
Nous sommes encore très proche, je fixe ses lèvres et mut par mon désir, je les capture quasiment avec violence. Ma langue s’insinue entre elles pour aller vers la sienne, j’en joue en tenant le moment de délice au delà des limites du souffle. Ma main délaisse son membre pour caresser sa peau blanche, tout en continuant de l’embrasser, un parfait homme amoureux. Mais j’avoue de j’ai un peu de mal à me contenir, j’espère que ce que je touche ne laisse pas de marques, ni que c’est douloureux. Pour me calmer, je récupère sa main qui est encore à me contenter, là aussi je dois tout faire pour ne pas m’envoler sans lui. Posant mes mains sur son fessier, je le rapproche pour nos corps, chaque parties de nos peau se frottent, s’enflamment. Je bouge mon bassin … dieu de j’ai envi de lui …
Je quitte ses belles lèvres à regret, il faut que je lui demande, que je lui avoue ma faiblesse, car c’est bien de ça qu’il s’agit. Je me sens faible, un vieux maton dans les bras du jeune détenu.

-Saki s’il te plait laisse moi te faire l’amour … Je désire aller plus loin, s’il te plait mon Saki …

Et s’il disait non … Que ferais-je vraiment, je crois que j’ai déjà la réponse, je ne pourrais pas m’en empêcher. Je redresse brusquement la tête sans attendre la réponse. Puis je descends de la table avec agilité comme si ma vie en dépendait. C’est juste que j’ai eu l’idée qu’il y avait sûrement quelque chose dans l’armoire d’en face pour m’aider. En regardant à l’intérieur je trouve ce qu’il me faut, un tube, un simple petit tube. Je repars auprès de lui, me rallonge et le recouvre dans mes bras.

-Je suis désolé de t’avoir laissé aussi rapidement, j’ai découvert ce tube, tu auras peut être un peu mal au début mais je te promets d’être très doux. Je veux t’aimer Saki.

Je récupère ses lèvres, je ne veux pas qu’il est peur. Mon cœur s’affole en attendant la réponse. Je sais que ce n’est pas facile pour lui, détenu, jeune, sa vie s’arrête dans cette prison ou il risquera peut être son existence. Il restera là un bout de temps, dans tous les cas je demeurerais aussi longtemps qu’il faudra près de lui, s’il veut bien de moi à ses cotés.

Cette façon qu’il a de me regarder, son désire se lit dans ses yeux comme un livre ouvert. Il me dit qu’il me fait confiance, je ne peux que me soumettre. Il est si adorable ainsi offert, si tendre, dans ce monde ou tout n’est que crimes et violences, mes bras viennent l’étreindre. Je vais lui faire l’amour, sans presque de brusquerie, j’y mettrais toute la tendresse dont je suis capable. Bien que cela fait longtemps que je n’ai pas eu cette attitude envers quelqu’un, elle réapparaitra sous peu.
C’est de sa faute si je suis dans cet état, c’est lui qui me rend ainsi. J’ai l’impression de devenir un être affable, avec un besoin impératif d’aimer et d’être aimé en retour. La délicatesse de sa main sur moi, je n’ai qu’une envie, venir l’embrasser.

Je me penche vers lui, capture ses lèvres sans être pressant, je vais prendre tout mon temps. Mes mains partent à la conquête de son jeune corps. Je m’attaque à ces petits boutons de chair, passant mes doigts dessus inlassablement, jusqu’au moment ou je les pince légèrement. Pendant ce temps, ma bouche ne reste pas inactive, elle prend possession de l’autre. Ma langue le titille, refait son contour puis le suçote …
Je descends plus bas en parsemant sa peau de petits baisers aériens, tandis que mes mains prolongent leurs explorations. Je le sens se contracter mais sûrement pour mieux savourer me attouchements … C’est ce que j’espère de lui. Car s’il me demandait de tout arrêter maintenant, par peur, je ne pourrais pas … Je ne voudrais pas de tout façon, c’est beaucoup trop tard de revenir en arrière.

Son nombril est actuellement à ma portée, je vais pouvoir m’amuser un peu avec lui. D’abord je dépose un baiser sonore dans son creux, puis ma langue, joueuse en ce moment, glisse à l’intérieur, l’humidifie au possible, juste pour l’habituer à mes intentions. Car j’arrive bientôt au sujet de ma convoitise. Je me redresse légèrement, doucement mes mains lui écartent ses cuisses, une torture affectueuse pour pouvoir commencer. Ce ne seront pas des cris de douleur que mes oreilles écouteront, mais plutôt des cris d’extase. Il n’y a que cela que je veux entendre de Saky et rien d’autres.

Je le regarde un moment, puis pars vers l’objet qui connaitra les plaisirs de la fellation. Son membre est tendu, pour preuve, quelques gouttes de semence s’en échappent, sa jouissance ne sera pas longue à venir. Se sera la première mais pas la dernière. Je donne des coups de langue puis ma bouche englobe complètement, pendant qu’une de mes mains caresse son entrée intime de son anatomie. Je commence un va et viens sur toute sa longueur, il est si savoureux, je le goute avec délice. Je répète mon mouvement plusieurs fois, avant de m’arrêter juste sur son glande que je suce et aspire à plusieurs reprises. Puis je recommence inlassablement, sans trop pousser, mon majeur s’infiltre dans son intérieur, doucement, graduellement. J’accorde mes deux mouvements dans un même ensemble, je veux que se soit parfait, sans souffrance pour mon jeune amant. Continuant toujours mes attentions à son égard, ma bouche reprend son sexe en l’avalant complètement.

Après quelques coups habiles, saki jouie dans ma bouche, ce spectacle est magnifique pour les yeux mais aussi pour les oreilles. Je m’applique à le nettoyer de ma langue jusqu’à la dernière goutte. Puis je remonte vers lui, et vient l’embrasser goulument, le câlinant des mes doigts. Ses lèvres, son visage et son cou, tous passent par mes baisers. Je m’inquiète de savoir si tout va bien pour lui, par contre moi ce n’est pas vraiment ça. Je suis encore dans tout mes états, et il va falloir que je réagisse vite, mais pas n’importe comment.

-Saki ? … Mon ange, est-ce que ça va ? J’espère que tu as aimé mes caresses, parce que ce n’est pas fini … Je vais te faire l’amour comme il se doit.

Je reprends possession de ses lèvres avec tendresse. Bientôt il sera complètement à moi, à ma merci comme je le voulais depuis que je l’ai rencontré.

( Désolé désolé pour le temps d’attente , j’ai eut quelque soucis et point la possibilité de prévenir )

Je suis complètement déconnecté de la réalité , du monde , de l’univers qui m’entourait il y a quelque peu , la seule chose qui reste et qui compte , c’est lui , c’est Thorkel . Entre ces mains je ne suis que sensation , a travers son baiser , je peux enfin respirer , il est l’air dont j’ai besoin , ses mains m’apporte la seule nourriture dont j’ai l’envie, rien ne vient a mon esprit , vide de ce qui n’est pas lui . C’est étrange comme sensation , jamais je n’aurais pu croire qu’une telle chose puisse se produire , surtout dans un tel endroit . C’était ma destiné et dans un sens , je ne veux rien croire d’autre .

Je tremble , je gémit , je suis au bord de l’évanouissement , et pourtant je suis encore la , mais j’ai l’impression qu’a chaque geste de sa part , je vais m’effondrer et tomber dans cet océan de plaisir , que je ressens en moi de plus en plus .

Je m’agrippe a lui , pas de peur , de quelque chose que je n’arrive pas a comprendre , tout est nouveau pour moi , tout est trop intense par moment mais je le laisse continuer , oui car j’ai confiance en lui . si il avait voulu me faire du mal , il l’aurait déjà fait et puis , Aky n’est pas la , il n’arrive pas a remonter a la surface , quel autre gages de douceur puis je avoir d’autre , aucune , mais même sans ça , je le laisserai faire ce qu’il veut , j’aime son touché , j’aime ses mains sur moi , comme son souffle sur ma peau . En fait j’aime tout de lui , et lui je l’aime , je crois que c’est de l’amour mais est ce possible si rapidement , est ce vraiment ça moi qui jamais n’est connu cela . Je ne sais plus mais je sais que si il disparaissait je ne serai plus rien .

« Ahhh mhmmm Thorkellll »

Je me cambre d’un coup sous le plaisir ressentit , ma respiration n’est plus ordonné , elle est haletante , gémissante , je n’arrive plus a respirer alors que je respire encore . Sa bouche sur …sur mon membre n’est que torture de désir , de plaisir , d’extase a venir , j’ai chaud , mais que m’arrive t il , mon corps va exploser si ça continue . Mes jambes s’écartent d’elle-même encore plus , le plus naturellement possible , d’instinct comme si mon corps lui savait ce qu’il devait faire .

C’est si étrange , je sens quelque chose pénétrer en moi , ce n’est pas agréable mais pas déplaisant non plus , c’est étrange et je n’ose pas bouger , même si ce n’est pas le cas , malgré quelques petits lancements s’une douce douleur , mon bassin s’active de lui-même . La douleur que je peux ressentir est anilé par le plaisir que je ressens à ce qu’il me fait .

« Mhfmmmmmm Thor…..quellllllllllllll »

J’y arrive plus , impossible de contenir tout ce que j’ai en moi , c’est trop intense pour que je puisse faire quoi que ce soit contre cette explosion de plaisir qui jaillit de mon corps , se rependant sans le vouloir , dans cette antre chaude qui m’a procuré plein de sensation jusque la inconnu .

Je suis vidé de toute mon énergie , je respire avec difficulté mais surtout je suis honteux de ce que j’ai fait , ou plutôt ce que je n’ai pas réussi a retenir .

« Je suis …désolé …je voulais pas »

Même si j’aurai voulu , aurai je eut la force de me contenir , je ne le croit pas , je ne suis sure rien mais rien n’aurait pus me préparer a ce que je viens de vivre , pas avec lui . j’oublie tout a nouveau , lui répondant avec toute la passion que j’ai en moi a son tendre et impérieux baiser , frissonnant comme si rien ne c’était passé a ses mains qui été de nouveau sur moi , comme si leur place était la .

« Encore ? Oui je vais bien … je veux tout ce …que tu veux »

Je l’enlace a présent , mon corps répondant a son étreinte , je me sens encore mieux qu’avant , comme si j’étais libéré de quelque chose , comme si il fallait ça pour bien lui prouver que je veux tout de lui et que je suis a lui , comme jamais je ne l’ai été pour quelqu’un .

Ces bras m’enlacent, entourent mes épaules, mon cou, Saki a apprécié plus que je ne l’aurais imaginé. Je goutte encore et encore ses lèvres, approfondissant notre baiser pour lui prouver toute ma tendresse pour lui. Je suis au paradis, ou je viens de trouver mon ange, ma possession.

Mes mains caressent son corps, pourtant je n’ai pas besoin de le détendre, je le sens si souple dans mes bras. Mais va-t-il en être de même dans quelques minutes ? Je vais tout faire pour que se soit le cas, prendre mon temps pour que la souffrance soit moindre. Je me fais l’effet d’un parfait satyre du coup, seulement cette fois le satyre a le consentement de sa future victime. Saki ne me prend certainement pas pour cet être dénué de toute moral, non, il est trop sensible et naïf aussi. L’important est qu’il me fasse confiance, j’ai besoin de cela pour aller plus loin. Saki répond à mon baiser, il est plus sûr de lui, ce n’est plus un baiser incertain, timide, il prendrait même les devants si je le lui demandais. Juste que je suis celui qui lui montrera les voies de l’amour, je lui relèverais que l’amour entre hommes est aussi magnifique, tout aussi beau qu’entre hétéros.

Soudain, je me sens comme le plus chanceux du monde, le jeune homme, que je tiens entre mes bras, est sincèrement la chose la plus belle et la plus pure qui me soit donné d’étreindre. Par contre, moi, c’est plutôt le vieux pervers touchant à l’interdit. Je ne nierais rien, je le suis et l’assume pleinement. Mais je n’oublie pas pour autant ou nous sommes, et qui il est, je ne suis pas aussi aveugle de mes sentiments.

Quittant à regret sa délicieuse bouche, je descends sur son cou, et dépose une multitude de baisers. Pendant que je le contrains à ne ressentir que cela, une de mes mains se glisse sur une cuisse de Saki, l’effleurant lentement. Ma bouche capture un téton et l’aspire goulument, puis le lèche avec une envie non dissimulée. Ma main, continuant de le câliner, remonte entre ses jambes et la pousse pour l’écarter gentiment, sans plus. Je mordille son bout de chair, sans trop le pincer, le but n’étant pas de lui faire du mal, bien au contraire. Je ne suis pas avec un de ces quelconques taulards mais avec MON Saki, mon ange. Quand je délaisse son sein, c’est pour venir m’attaquer à l’autre, je ne voudrais surtout pas qu’il soit en reste. Mes doigts entrent en contact avec son membre, que je m’emploie à faire réagir. Je n’ai pas vraiment la nécessité d’en faire de trop, un simple touché suffit. Elle le caresse de toute sa longueur, mon pouce joue avec son gland rougit, son érection s’intensifie. Quel plaisir de le voir aussi réceptif avec mes attentions. Au moment ou je descends ma main plus bas, je lâche son sexe pour malaxer ses bourses pleines, tout en douceur. Ma bouche remonte ensuite vers lui, mes lèvres embrassent tendrement les siennes, c’est lent, sensuel, je prends tout mon temps pour danser avec sa langue. Ce n’est pas pour cela que je reste inactif, car mes doigts bougent vers son antre chaud. Cette intimité qui n’attend plus que moi, et mes bienfaits. Peut être pas au départ, certes, cela dit la fin ne sera que meilleure, une jouissance sans pareil.

Pourtant je vais la délaisser a un moment inopportun, c’est sadique mais comme je ne veux pas qu’il souffre je dois mettre des précautions en œuvres. A tâtons, ma main réussit à attraper le tube de crème découvert un peu plus tôt dans l’armoire. Aidé de deux de mes doigts, j’ouvre le tube, seulement j’ai du stopper le baiser. Je peux à présent admirer encore d’avantage son visage et son regard, totalement soumis à ma personne. Je ne veux pas voir de peur, d’angoisse chez lui, ses serait loin d’être supportable, même pour moi.

Me redressant légèrement, je dépose une noix de crème sur mon majeur, en grande quantité, puis le tube atterrit à coté de moi, pas loin. Sans attendre ce même doigt se place à l’entrée de son intimité, refait les contours sombres, puis entre lentement dans son intérieur. Je viens ensuite embrasser Saki, je sais que pour lui c’est un moment délicat, pour moi c’est un plaisir sans partage. Je vais là ou j’ai toujours voulu être depuis ma rencontre avec lui. Sans le savoir, je le désirais, voulais être en lui. C’est pourquoi je savourais chaque instant, chaque mouvement jusqu’à la petite mort. Tout en le fixant dans les yeux, je lui murmure avec toute la tendresse dont je suis capable.

-Détends-toi mon cœur … Je sais que c’est gênant et que tu vas avoir mal, alors détends-toi au maximum pour que je te donne le moins de douleur possible … Que du plaisir.

Je dépose de petits baisers sur ses lèvres pour l’aider, comme je peux ; tout en faisant cela, mon doigt amorce des vas et viens dans son antre chaud, progressivement. Après un bref instant, un deuxième vient le rejoindre.

-Si tu as envi de crier ta souffrance, ne te prive pas. Mais si tu veux que j’arrête dis-le, après il sera trop tard, j’en ai bien peur … Je t’aime Saki …

Peu après trois doigts glissent ensemble, je continue de lui prodiguer des caresses de mon autre main tout en lui parlant doucement, l’étreignant aussi. Je veux tellement que tout soit parfait, que le souvenir qu’il en gardera soit un souvenir heureux. Ainsi il restera près de moi, avec moi pour un bout de chemin dans ce sombre endroit.

[ Pas de quoi jubiler ... dSL]

Ce n’est pas possible de faire autrement, j’aimerais changer cela mais une première fois et ainsi faite. Pourtant Saki l’accepte de son plein gré. Il souffre, son visage se crispe, ses doigts me griffent. Tout est là pour montrer son mal, Saki se donne tout de même à moi, sans concession.
Ses mots peuvent blesser, en même temps, ils me font un plaisir fou. Je redeviendrais pas en arrière à partir de maintenant, plus rien ne nous séparera, nous ne feront plus qu’un. Ces gémissements sont un régal, une promesse pour ce qu’il va nous arriver. De sa propre volonté il s’ouvre à moi, ses jambes s’écartent, le chemin est à présent plus accessible, détendu. Mes doigts s’enfoncent plus profondément en lui. Ma gorge se noue tant l’émotion est forte. Je reprends un mouvement de balancier dans son intimité. Ils glissent très facilement, sans toutefois être brusque, cela suffit. Le moment fatidique approche, il aura mal, encore plus, c’est pourquoi je le prépare avec soin pour me recevoir.

J’ai pourtant omis une chose … Je suis tellement concentré à être attentionné pour Saki que j’en oublie mon état. J’ai conscience qu’une partie de mon corps me fait mal, me rappelle que je suis inassouvi, et il me perturbe. Pourtant, je ne lui en fait pas cas, je ne le prendrais pas d’assaut.

Laissant mes doigts faire leur office, ma bouche goute à son petit bout de chair dressé, faisant estomper mon exploration intérieure. Je suçote son sein, le léchant parfois, le mordillant doucement. Je veux que Saki se sente bien dans mes bras. Mais je dois aussi nous contenter tous les deux. Son visage est pâmé, rougi et tendre, son corps est tendu sous moi. Je ne pourrais pas patienter encore bien longtemps.
Je retire ma main qui caressait son anus, puis me place à genoux devant lui. J’essaye de le détendre en caressant son torse imberbe et blanc. Aider de mes mains je le soulève un peu pour le mettre au niveau de mon bassin. Prenant mon sexe turgescent entre mes doigts, je le poste devant son entrée chaude et préparée.

-Détends-toi Saki, prends une grande inspiration … N’est pas peur je vais y aller doucement.

Lentement je m’enfonce en lui. C’est si étroit que j’ai bien peur qu’il ne saigne. Lentement, je m’introduis plus loin, puis d’un coup de rein j’entre jusqu’à la garde. Je reste planté là, attends qu’il s’habitue à mon intrusion. Me penchant vers lui, je dépose mille baisers sur sa bouche, je m’empare de son oreille que le mordille de nouveau. Je n’en peux plus, mon être est sous la torture. Je me redresse en prenant ses jambes que je place sur mes épaules, facilitant ainsi nos positions, nos attentes mais surtout faire le moindre de mal à mon jeune amour. Je commence de lents vas et viens en lui, délicatement, graduellement. Des picotements viennent me parcours, c’est si bon que des tremblent m’atteignent aussi. Je ne dois pas penser autant à moi, Saki est une priorité, c’est lui qui est à l’honneur.
J’aime le regarder, mais si c’est pour qu’il souffre ce n’est pas aussi bon que ça. Tout en continuant mes coups de rein, je viens vers lui, je dois savoir ce qu’il ressent. J’ai peur qu’il n’apprécie pas mes attentions, malgré ce qu’il en dit, et j’espère qu’il ne la pas fait pour moi, pour mon plaisir.

-Saki ? … Saki, est-ce que ça va ? Saki ? Dis –moi ?

Pour la première fois j’ai peur d’une réponse, j’ai peur de ne pas être à la hauteur de ses attentes. Le mal est pourtant fait, le retour en arrière est impossible, comme je le lui avais dit. De cette angoisse qui en découle, j’accélère mes mouvements en lui. Pourquoi ? Pourquoi faut-il que ça se passe ainsi ? Je dois être bon pour lui, pour qu’enfin je sois bien moi aussi …

'excuse moi de l'attente)

Un panel de sensation se bat en moi, la douleur a la plénitude total d’être enfin a lui, car c’est comme ça que je me considère a présent, totalement sien mais a bien y réfléchir ne le suis-je pas depuis que j’ai posé mes yeux sur lui, ne m’a t-il pas intrigué et hypnotisé depuis la première seconde de notre rencontre, n’est il pas celui que j’attendais, secrètement, n’est il pas celui qui me délivrera du mal qui m’habite.

Le mal je le ressens mais pas tant du a son intrusion de ma chair mais un mal en moi, qui se repaît de ce qui se passe, un mal que je connais, que je sais comment nommer mais que je veux oublier. Non Aky ne doit pas revenir, pas en ce moment de communion entre nos corps, pas lors de se partage d’émotion et d’amour, non je ne le veux pas.

Sa bouche sur mon corps, ses mains qui font leur offices sont une torture tout en étant le paradis, contradictoire et pourtant je ne sais comment interpréter tout cela, mais ma confiance en lui est telle que je le suis aveuglement. Soupirant par moment, grimaçant a d’autre. Que vais-je devenir, va t-il me prendre ce a quoi Aky tenait, pour me laisser ensuite. Un manque de confiance en moi m’insuffle cette pensée pernicieuse et pourtant … je lui souris du mieux que je peux, sans faire attention à la gêne et douleur ressentit…. Je veux lui montre que je veux tout ce qu’il peut m’offrir.

Etre détendu, en suis-je capable en cet instant, ça m’effraie, en regardant son visage si beau, je ne peux que faire ce qu’il me dit, en tout cas le tenter. Je respire profondément, attendant ce moment tant redouté et tant attendue. Quel paradoxe n’est pas que cette situation, mais comment puis je réagir autrement, moi qui ne suis qu’innocence face a tout ceci.

« Thorkelllllll »

Une douleur un peu plus puissant me vrille les reins mais je m’accroche, car je ressens sa tendresse, son amour a travers certain de ses gestes, il n’est que compassion pour moi, je ne pense pas qu’il s’agit du bon terme, mais je suis troubler, la douleur obscurci légèrement ma pensées. Moment que profite mon coté sombre pour ressurgir, Aky… profite de ma douleur ressenti pour se faire un passage a travers se mur de douceur, éclatant au grand jour…. J’attrape son cou d’une main, avec force, mon autre main lui tiens un de ses bras, alors que notre position est des plus explicites.

« Tu me l’a volé, sois en maudit…je ferais tout ce qu’il faut, j’insinuerai ce qu’il faut … mais il me reviendra. Soit en sure »

Un regard de fou se pose à présent sur le visage tant aimé de mon gardien, mais seulement quelques secondes. Est-ce ma tendresse envers lui mais il repart. Lentement il repart d’où il vient laissant des larmes couler le long de mes joues. Des larmes de bonheurs à être avec Thorkel, des larmes de plaisir, a la douceur qui monte doucement en moi, des larmes de réjouissance car nous sommes que nous deux.

« Je …. T’aime »

Seul mot que je suis capable de dire, mon visage parle pour moi, mon corps qui se détend, s’habituant de mieux en mieux a sa présent ne peuvent pas mieux parler que des mots. Un sourire et je le serre contre moi, finalement pour murmurer mes tendres pensées.

« Je suis a toi … rien qu’a toi »