L'arrivée de Jewel Antilles [libre]

Je suis fatigué depuis la fin de mon procès, en plus j'ai fait la une la une des journeaux allemand pendant la durée du procès. Après la fin de mon procès j'ai été enfermé à la prison du coin où j'ai été bien logé pendant 2 semaines et un gardien m'avait dit :

"Pofite, Jewel, car à Sadismus sa sera l'Enfer."

J'ai écouté le conseil du gardien et j'en ai profité. Au bout de seize jour en m'a mis un sac sur la tête et en ma traîné dans un camion militaire qui a roulé pendant des heures. En début de soirée le camion c'était arrêté et on m'a poussé violament, je suis tombé par terre et on m'neleva le masque je vit une prison d'ancienne génération qui datait peut être avant la seconde Guerre Mondial. Le garde m'attrapa par les cheveux et me murmura dans les oreilles :

"Voici où tu vivra jusqu'à ta mort."

Je me suis levé et un militaire,m'a conduit à l'acceuil et il dit au à la personne :

"Voilà une coupeuse de pénis, je vous la laisse."

le gardien regarde le militaire partir et le va un oeil perplexe vers moi pour me dire enfin :

"Une coupeuse de pénis, hein ? Assez-vous sur un siège jusqu'à que quelqu'un vienne."

J'ai tourné la tête pour voir si il y a avait un siège et j'en vis un où il y avais une pile de journeaux pour éviter de déplacer la pile de journeaux je me suis assis dans un coin sombre pour attendre les gardiens.

Voilà jour pour jour deux semaines que je suis dans cette prison. Aucun désagrément n’est à signaler, les Dieux sont de mon côté, on dirait. Je devais beaucoup à ma famille de m’avoir laisser prendre un chemin hasardeux. Dans le fond, c’est aussi ce que je voulais et Thierry a tout à fait sur lire en moi en m’envoyant ici. M’évader un peu, recommencer une nouvelle vie avec des gens qui me sont totalement inconnu. Quoique, je bute premier de mon mentor était que je me forme … Ca commence mal si tout va bien de mon côté. Qu’importe, même le Diable ne me changera pas.

Ce matin, j’étais charger de surveiller les couloirs jusqu’à midi, une petite ronde qui à vite trouver la fin. Midi était à peine là que j’avais déjà fini ma journée. Pour tout dire, nous ne sommes qu’en début d’après midi et avec quelques un de mes collègues nous nous sommes retrouvez en vue de déjeuner. Bien entendu, pas dans ce fameux réfectoire réservé aux prisonniers. Assise sur une chaise, les coudes posés sur la table, j’observe une bille. La bille que Siriel m’avait gentiment offerte. La sphère luie sous la lumière, translucide, les couleurs jouent en son intérieur de verre. Si fragile et si dure. Un peu comme les papillons …

J’écoute sans écouter les autres gardiens raconter leur exploit légendaire : Torture de prisonniers, saisie de drogues, … Et j’en passe. J’entends même un homme se venter d’avoir « coucher » avec une prisonnier. Mes idées m’obligent à penser qu’il l’avait plutôt abusé. Des animaux en cage… Voilà ce qu’ils sont. Heureusement que parmi mes collègues, il y a encore des gens sensés. Mes yeux n’ont toujours pas quitter la boule, l’indexe de ma main droite vient la faire rouler sur le bois de la table … La porte s’ouvre, un gardien nous informe qu’une nouvelle détenue était arrivée. Par conséquent, il fallait quelqu’un pour venir l’accueillir. Des bonnes âmes ? J’attrape mon bien en le laissant tomber dans ma poche, me redressant sans attendre quoi que ce soit.

« Dans le Hall, je présume … »

Mon compagnon me regarde d’un air perplexe. Moi, je me contente de sourire. Après l’accueil de mon premier détenus, je ne redoutais plus de tomber sur un déjanter. Ma personne n’est absolument pas désagréable, on ne pouvait mal de me sauter à la gorge. Mais prudence tout de même. L’autre gardien hoche la tête de haut en bas. Positif. Je sors de la pièce en refermant la porte derrière moi. Décidément, c’est bien la première fois que je me propose d’aller chercher un prisonnier.

Ma main frôle avec légèreté le mur. Les couloirs de Sadismus sont si … Triste. Les prisonniers n’ont rien d’heureux, rien qu’à voir leur visage. On n’y lit que souffrance et mal être. Je me suis promis de faire de mon mieux pour que les gens soient « mieux ». On verra bien. J’arrive enfin à destination. Le Hall se dessine devant moi, avec l’accueil en son centre. Un autre gardien est justement devant le guichet, je m’avance donc vers lui. J’aperçois au court de ma route, une silhouette logée dans un coin.
Après avoir régler toutes les mensualités : signature, uniforme, matricule et numéro de cellule, je me dirige vers la jeune Jewel Antilles. Quelque seconde avant ça, on m’avait proposé de lire le dossier de la femme, j’ai refusé, je ne voulais savoir que son nom. Faute de mauvaise – ou bonne- habitude, dirons-nous. Je m’abaisse à sa hauteur pour lui marquer ma présence, le sourire aux lèvres.

« Bienvenue Mademoiselle Antilles. Je suis Galanis Damara. Si vous voulez bien me suivre »

Je me redresse en avançant jusqu’à l’entrée qui mène à l’aile des prisonniers. L’uniforme a la main ? J’attends patiemment la jeune femme. Sur le chemin, je devrais l’informer des règles. Les choses habituelles en somme. J’ai eu le temps de remarquer, le manque d’éclat dans ses yeux …

Pendant l'attente du gardien, je me suis repassé des centaines de fois la scène de ma vie mon enfance, mes études et ma vie de couple avant le mariage et enfin mon mariage. Au cour de cette énorme fashback je ne comprenais toujours pas pourquoi Dieu me punissait ainsi mais je vis arrivé un gardien et j'ai levé mes yeux. Le gardien avait l'air assez sympa. Je fis un petit sourire timide et je lui dis avec un petit sourire timide :

"Bonjour, on m'avait que Sadismus était l'Enfer mais on dirais que vous me tromatiser pas ou vous allez attendre que je sois en cellule pour commencer la torture ?"

Jewel se la difficilement et regarda ce que le gardien avait à la main. Je remarqua que Damara avait un uniforme. Je lui attrapa l'uniforme et commencea a me déshabiller doucement malheureusement tout le monde a vu mes cicatrice, je me suis rhabillé vite fait et je lui ai demandé :

"Tu me fais visité ?"

La jeune femme s’approche effectivement de moi. Décidée à me suivre … Je la regarde perplexe. Elle venait de prendre l’uniforme de mes mains. Essayant de rester passive, je la regarde faire. Tel un enfant qu’on aurait grondé, elle enlève ses vêtements. Mes yeux parcourent sa peau, meurtris par des cicatrices de tout genre. Mademoiselle Antilles a été battu, cela ne fait aucun doute. Tout en enfilant son habit de prisonnière, je me dis que je vais avoir du mal à revenir sur terre après avoir vu ces horreurs. Comment pouvait-on battre une personne au point de lui en laisser les séquelles sur son être ?! Même Hadès est un peu plus méthodique dans sa manière de traiter les âmes mortes.

"Tu me fais visité ?"

De nouveau perplexe, la dernière fois et la première fois d’ailleurs que j’ai fait la visite des lieux. Ca m’a pris toute mon après-midi pour finir à l’infirmerie. Et loin de moi l’envie de lui refuser, c’est juste que, cette fois-ci, je me contenterai de faire l’allée jusqu’à sa cellule, et de la laisser voyager d’elle-même. On apprend mieux que par soi-même, non ? Un léger sourire se forme sur mon visage. Je me contente de lui faire signe de me suivre. La Damara que je suis à donc décider d’entrer dans le corps d’une gardienne. Mais pas pour très longtemps. Nous nous engageons dans les couloirs, parcourant les escaliers qui mènent à l’étage supérieur. Devant nous, des cellules, plusieurs même. La sienne, la huitième. Nous n’y sommes pas encore. J’en profite donc pour lui dire ce qu’elle doit savoir.

« Il y a quelques règles à respecter. Vous ne pouvez pas allez au sous-sol, ni accéder à l’aile des employer. Sachez que si un gardien vous y trouve, la torture ou la mise en quarantaine peut vous être affligée. Ensuite, vous devez être dans votre cellule avant le couvre feu. »

Je marque une petite pause, avant de reprendre :

« Par la même occasion, les drogues et tout ce qui s’en suivent et strictement interdit. Vous devez mémoriser votre numéro de matricule en cas de problèmes. Des questions ? »

Je pense avoir été assez clair. Nous arrivons enfin devant la cellule de la demoiselle. Comme elle pourra le constater, il y a quatre lits, dont trois déjà occupé. La vie en communauté peut être très plaisante. A condition de bien s’intégrer parmi les autres. Mais je sais par expérience, que cela n’est pas toujours aussi simple qu’on voudrait qu’il le soit.

J’ouvre la porte de la cellule. Pratiquement identique aux autres. Je n’y jette pas un coup d’œil, avec celles de Grèce, j’en ai largement eu pour mon cota. Je sourie une nouvelle fois.

« Cellule huit. N’oubliez pas. Pour ce qui est de la visite des lieux, je vous laisse le soin de découvrir la prison par vous-même. Evitez juste de vous retrouver là où vous ne devez pas être ».

Je suivi ma gardienne dans les couloirs de la prsion, on a fini notre visite à l'infirmerie pendant toute la visite je croyais être revenu chez moi car la prison ressemblait vraimment a ma cave. Quand on partait pour vers ma cellule elle m'a annoncé quelques règles :

« Il y a quelques règles à respecter. Vous ne pouvez pas allez au sous-sol, ni accéder à l’aile des employer. Sachez que si un gardien vous y trouve, la torture ou la mise en quarantaine peut vous être affligée. Ensuite, vous devez être dans votre cellule avant le couvre feu. »

Quand elle m'annocea ces règles je ne l'écoutait pas vraimment parce que j'étais en train de me dire que j'avais tué mon mari pour être libre et je suis déjà dans un nouveau trou qui resemblait un peu trop à l'ancien. Damara m'ouvre la cellule et elle me dit une dernière chose :

« Cellule huit. N’oubliez pas. Pour ce qui est de la visite des lieux, je vous laisse le soin de découvrir la prison par vous-même. Evitez juste de vous retrouver là où vous ne devez pas être. »

J'ai hésité de posé quelques questions mais je lui demanda deux trois choses en rougissant un peu :

"Merci de m'avoir fait la visite mais est-ce que tu pourrais répondre a mes questions de novice. A quelle heure est le couvre feu ? Qu'est-ce qu'il y a au sous sol ? Et es-ce que tu me faire la visite ?"

Je me suis appuyé sur le mur en attendant une réponse de la gardienne.

Sur ce, je m’apprête à rebrousser chemin quand la demoiselle se mit à parler. Formulant sa demande, je me dois d’y répondre. La première fut-elle. Etait de savoir l’heure exacte du couvre feu, cela doit tourner autour des vingt, vingt et une heures. Mais qu’est ce que cela peut faire dans le fond ? La sonnerie est bien assez forte pour que tout le monde dans la prison l’entende. En Grèce c’était un peu plus anodin. Nos prisonniers étaient et sont la plupart du temps enfermer dans leur cellule. Rien avoir avec Sadismus, ou presque. Passons.

« Le couvre feu début entre vingt et vingt et une heure »

Je la regarde passible la question suivante me refroidit fortement. Dans le sous-sol dort le cauchemar des prisonniers. C’est aussi simple que cela. Je n’ai eu qu’un bref aperçut des lieux ; la salle d’isolement. Comme son nom l’indique, il s’agit d’une petite pièce plongée dans le noir le plus obscure. C’est d’ailleurs là que j’ai été rechercher mademoiselle Hope, alors qu’elle ne devait pas y être. Pour ce qui est des salles de tortures, je n’y ai pas mi les pieds et je n’y tiens absolument pas. J’en ai eu assez avec les séances de géhenne qu’on me forçait à voir. Combien de fois ai-je vu un être humain se faire battre à mort, mutilé, agrémenter de douleurs … Trop à mon avis. Je ne suis jamais rester de glace face à ça, non. Je me devais d’aller les soigner, même si mon supérieur me l’interdisait. Voilà le pourquoi que j’étais assez apprécier par les prisonniers grecs. Parce que je n’étais pas comme les autres.

« Qu’importe ce qu’il y a au sous-sol. Vous n’avez pas le droit d’y aller. »

Et je lui conseille fortement de suivre mon avertissement. Aussi folle soit-elle pour se faire torturer jusqu’à sang … Nul n’a le droit d’infliger châtiment à son semblable. Seul l’être en question en a le droit. La souffrance pèse déjà sur tout homme sur terre, à quoi bon continuer le parcours des enfers sur terre. Le sujet de sa troisième question me fait rire intérieurement. Apparemment, elle ne m’a pas vraiment écouté quand je lui parlais.

Antilles pèse de tout son poids contre le mur à me regarder. Si vous saviez comme les murs hurlent de douleurs par moment. Mes yeux retrouvent les siens, mon sourire revient. Son indifférence à m’écouter me rappelle vaguement quelque chose. Ne me suis-je pas dit que …

« Μαθαίνει καλύτερα από από τον ίδιο. »

Le grec … Ca me manque de ne plus le parler. Mon accent est authentique de la méditerranée. Je ne me doute pas que la détenue ne m’est pas comprise. En même temps, je suis certainement la seule grec dans cette prison … Je me recule d’un pas.

« On apprend mieux par soi-même, mademoiselle Antilles. Tâchez de garder en mémoire ce que je viens de vous dire. La découverte est mieux vécue quand elle est faite seule. »

Je sais ce que j’avance, quand j’allais au Théâtre d’Epidaure avec Sebasten. Je m’éloignais toujours pour découvrir la faune sauvage. Mes découvertes me sont resté à jamais gravées dans l’esprit. Maintenant que je suis partie de chez moi, j’ai dû apprendre par moi-même à « m’introduire » dans ce nouveau pays qu’est l’Allemagne. Ou même dans cette prison. J’ai appris et j’apprends encore et toujours. C’est ça le but …

« Sur ce, je vous souhaite une bonne journée. Prenez soin de vous. »

Je me détourne une fois pour toute de cette prisonnière. Elle me semble apte à se débrouiller toute seule. Si je n'ai pas fait la même chose avec mon premier détenu, c'est peut-être parce que il avait quelque chose à m'apprendre ... Mes pas effleurent le sol, ma main frôle le mur. C’est Sadismus qui vit sous mon contact.

J'ai décidé d'écouté plus sérieusement la gardienne surtout en ce qui concerne les horaires de couvre feux car si je me fesai attrapé à l'heure du couvre feux en dehors de ma cellule je risque la torture.

« Le couvre feu début entre vingt et vingt et une heure »

Entre vingt heure et vingt et une heure, c'est pas mal les heures sont donc a mon avis entre huit et vingt et une heure. Cool c'est pas si l'enfer que sa. Voyons voir la réponse de la deuxième questions qui est toute aussi importante.

« Qu’importe ce qu’il y a au sous-sol. Vous n’avez pas le droit d’y aller. »

Sa par contre c'est bizarre de ne pas me dire ce qu'il y a au sous-sol a tout les coups c'est une salle de torture ou autre chose comme sa. Bon ben maintenant experons qu'elle va accepté de rester avec moi pour me faire encore plus de chose.

« Μαθαίνει καλύτερα από από τον ίδιο. »

C'était quoi cette langue du russe ou du grec. [b]

« On apprend mieux par soi-même, mademoiselle Antilles. Tâchez de garder en mémoire ce que je viens de vous dire. La découverte est mieux vécue quand elle est faite seule. »

[b]Elle avait peut être raison et je devais découvrir la prison par moi-même et commencer en même de me faire des amis

« Sur ce, je vous souhaite une bonne journée. Prenez soin de vous. »

Je me tournai vers ma cellule et je suis rentré dedans pour faire un petit somme

[Jewel rentra en cellule]

» Jewel Antilles
» Believe [Libre]
» It is end... {Libre}
» Libre.
» Coupable ? oui... (libre)