Encore à l'exterrieur

Lorsque nous fumes sortis de la prison, je fus surpris de voir un peu de soleil. J’en étais venu à penser qu’ils avaient construit Sadismus à un endroit jamais ensoleillé. Je ne pouvais qu’apprécier ses quelques rayons sur mon visage. Je ne lançais pas un coup d’œil à Danyka et je continuais à avancer. Je me tournais finalement vers elle et je dis :

-Tu es chanceuse, profite du soleil. Ça fait deux mois que je suis ici et je n’ai jamais vu autre chose qu’un énorme nuage …

Je laissais échapper un soupire, j’exécrais ce manque d’action. J’appréciais le calme, mais après une bonne bagarre c’était toujours mieux. Pas que je voulais me battre, mais au moins faire quelques choses de mes deux mains. Travailler bref.
Je n’arrivais pas à m’enlevée le visage de mes enfants, les revoir, je l’espérait tellement. Je devais trouver un moyen de foutre le camp et rapidement.

Enfin, nous étions à l'extérieur. En regardant autour, je fus heureuse de constater qu'il faisait un peu soleil pour une des rares fois. Je suivis alors Carl, jusqu'à temps qu'il me fasse part d'une réflection concernant cette lumière. Je soupira alors simplement avant de le regarder.

- Ouais, le soleil est plutôt rare sur cette île ...

En le regardant, je comprit combien il était pensif. Il voulait quitter cette île de merde et je le comprenais parfaitement ! Je voulais tellement retourner chez moi, en paix. Mais lui, il voulait revoir ses enfants, et je le voyais dans son regard.

- Je suis sûr que tu les reverras ...

Malgré que j'avais peur de sa réaction, je posa alors ma main sur son avant-bras, comme pour le réconforter, et le mettre en confiance.

Je vins pour retirer mon bras. Je n’avais pas tellement l’habitude de se genres de marques d’affections, ou je n’en sais rien. Je me raidis un peu et je fronçais les sourcils. Elle ne faisait que me toucher, ce n’était pas si grave dans le fond.

Je m’écartais un peu, mais vraiment pas beaucoup, je ne savais plus trop comment réagir. Je voulais trouver quelque chose à dire maintenant.

-…Tu as quelqu’un que tu veux retrouver? Une famille? Demandais-je d’une voix mal assurée.

Ce n’était pas une bonne question mais je voulais rapidement me changer les idées. J’étais trop stressé, je secouais un peu la tête. C’était stupide de réagir d’une telle façon simplement parce qu’elle m’avait touché le bras …

[Vraiment désolé pour se retard ... Je suis médiocre ...]

Par réflexe, j'eu rapidement fait de retirer ma main de sur son bras. J'avais oublier qu'il ne fallait jamais toucher quelqu'un avant de bien le connaitre. Malgré moi, j'ai un peu rougit, avant de jouer avec ma chevelure noire. Il me demanda alors si je voulais revoir une famille ... Une famille ... Si seulement j'en avais une, peut-être que je ne serai pas en taule en ce moment. Je ne serai pas une fille aussi violente !

~ Non, je n'ai personne à voir ...

Je baissa alors la tête, comme honteuse de ce que je venais de dire. Je n'aimais pas passé pour une pauvre jeune adulte qui tentait de faire pitié, mais là n'était pas mon but. Je voulais juste ... Dire la vérité ?

~ Personne ne veux me voir ... Dis-je pour moi-même, en murmurant. Mais sans doute que Carl m'avait entendu ...

Je baissais un peu la tête, en arrivant ici, je savais que personne ne voulait me revoir, enfin c'était ce que je croyais et ce n'était pas aussi mal pour moi, personne n'avait jamais attendu ma venue et je n'avais jamais travaillé pour que cela arrive. Mais maintenant quelqu'un m'attendais, et cette personne je voulais la revoir.

-Je suis certain que c'est faux.

Dis-je d'une voix basse.

Si quelqu'un m'attendais moi, alors je ne pouvais croire cette gamine qui me disait que personne ne l'attendait. Peut-être qu'elle ne s'en rendait tout simplement pas compte, mais j'étais certain qu'elle n'était pas aussi seule et abandonnée qu'elle le croyait.

-Ne fait pas comme moi ... Ne te retire pas des autres ... Je pourrais avoirs une femme, et des enfants, mais au lieu de ça je pouris en prison alors qu'eux grandissent sans moi.

Je fronçais les sourcils à cette pensée. Je détestais vraiment d'être emprisonné ici.

Je soupira alors. Carl tentait sans doute de me calmer, de me donner l'idée que quelqu'un voulait de moi dans ce monde, mais je n'en était pas aussi convaincu que lui. Comme il le disait, il aurait pu avoir une femme et des enfants qu'il verrait grandir et vivre, mais cela lui était impossible, et je le savais. Il le savait sans doute aussi, mais je préférait me taire et garder le silence un instant. J'eu rapidement conscience que Carl était la seule personne qui était aussi amical, ou presque, envers moi. C'était fort apprécier d'ailleurs ...

~ J'ai tuer mon beau-père, et depuis ce jour, Pamela et ma mère ne veulent plus me voir, Carl. Je suis destiner à vivre seule dans ce monde maudit ...

Je poussa alors, de nouveau, un profond soupir de découragement. Je baissa la tête et les yeux, n'osant regarder Carl. Soudain, je ressentit de l'émotion monter dans ma gorge. Était-ce cela, la tristesse ? Une larme glissa sur ma joue, et pour la première fois de ma vie, je la laissa glisser le long de ma peau sans l'essuyer ...

Je baissais les yeux vers elle, juste assez pour voir un larme couler. Je relevais la tête, je ne savais vraiment pas comment réagir à ça, je ne savais pas si je devais jouer les indifférents ou bien dire quelque chose. Mais de toute façon je ne savais pas quoi lui dire.

Je lui tapota doucement l'épaule, elle m'avait touché, alors j'avais bien le droit de le faire. C'était un tapotement maladroit, mais c'était simplement pour la rassuée, enfin, je ne le savais pas moi-même. Elle lui donnerait le sens qu'elle voudrait à ce tappotement.

-Tu n'es pas seule. Dis-je d'une voix toujours basse.

Je ne savais pas pourquoi j'avais dit ça, n'y ce que sa voulait dire. Peut-être que sa signifiait que j'étais prèt à être présent pour elle, je n'en savais rien. De toute façon, elle n'aurait certainement pas envi d'avoir un mec comme moi comme "ami" ...
Je relevais la tête vers le ciel, je ne savais pas pourquoi je me comportais aussi gentiement avec elle, mais je le faisais, et c'était très bien.

-Ton beau-père devait mériter de mourrir ... Dis-je, d'une voix incertaine.

Je ne connaissais pas l'histoire mais je dis:

-Essaie d'oublier tout ça ... Lorsque tu sortiras d'ici, tout sera plus différent que ce que tu pouvais t'imaginer ici.

Je ne voyais pas trop ce que je voulais dire par là. Mais en prison, ce morfondre n'était pas la solution, moi j'étais violent lorsque j'étais triste, alors ce n'était pas une bonne chose. En cet instant précis je tentais d'oublier tout mes problemes, de toute façon, Danyka n'avait pas du tout besoin d'entendre parler de ma vie. Elle en avait déja bien assez avec la sienne.

Je fut surprise de ressentir un léger tappotement sur mon épaule. Carl venait de me toucher ? Cela ne me dérangeait pas du tout, je me contenta alors d'essuyer la larme qui glissait le long de ma joue, et de regarder Carl en fronçant un petit sourire.

~ Si je ne suis pas seule ... Qui est là, alors ?

Personne n'était présent à mes yeux. Mais en voyant comment Carl me regardait, et commen il commençait à agir envers moi, je comprenais lentement qu'il parlait de lui, mais je voulais en être sûr et certaine. Différente ? En sortant d'ici, je serai différente ? Je ne vois pas comment ... Oui, mon beau-père méritait de mourir. Il ne prenait jamais soin de moi, et j'en avait eu marre. Je l'ai assassiner avec un couteau dans la gorge, et sans doute que si je ne l'aurait pas fait, je ne serai pas à Sadismus. Mais bon, le mal est fait.

~ Oui, il méritait de mourir. Il m'a fait ... Des choses horribles ...

Je n'osais encore aborder le sujet de mon '' existence ''. Mais je sentais en Carl une confiance en laquelle je pouvait croire, mais j'hésitais encore, c'est tout.

~ Si je ne suis pas seule ... Qui est là, alors ?

Je ne répondis rien. C'étais stupide de répondre, "moi ... je suis là" ... Enfin , c'était ce que je pensais moi, peut-être que ce n'étais pas stupide pour elle, ou que moi j'étais bien stupide, je n'en savais rien. J'en avais assez de ne rien savoir.
Je me passais nerveusement la main dans les cheveux. Personne ne c'était confié à moi comme elle le faisait.

~ Oui, il méritait de mourir. Il m'a fait ... Des choses horribles ...


-Alors il méritait de mourir. Dis-je d'une voix plus assurée.

Je ne la jugeais pas. Je jugeais rarement.J'avais tué des tas de gens, mais jamais je n'avais fait souffrir qui que ce soit, je n'avait que tué. Je m'enlevais pas la responsabilité de ses meutres, ni la gravité, mais les violes, les tortures, et autres truc de ce genre, n'étaient pas pour moi.

-Moi j'ai tué une femme que j'aimais si tu veux savoir ... Commençais-je.

Jene voulais pas lui raconter l'histoire en détail mais je dis:

-Je ne regrette pas ce geste, et je doute que tu regrette d'avoir tué ton beau-père ... Je me trompe?

Je me taisis quelques instants puis je dis d'une voix basse:

-Il y a des meurtres necessaires, et d'autre qui ne le sont pas. C'est tout.

-Moi j'ai tué une femme que j'aimais si tu veux savoir ...

Je ne répondit rien à cette remarque. Je me demandais simplement comment il avait fait pour assassiner une dame pour qui il ressentait des sentiments, mais moi, je ne connaissait pas ce qu'était le sentiment de l'amour. Ce sentiment que tant de gens avaient ressentit, et sans doute était-ce pourquoi ma mère ne m'adressait plus la parole ; j'avais tuer son époux. C'était normal, finalement.

-Il y a des meurtres necessaires, et d'autre qui ne le sont pas. C'est tout.

J'hocha alors la tête. C'était vrai. Certains meurtres doivent être commis pour le bien de certaine personne, et d'autre son commis pour le simple plaisir de tuer et de voir le sang couler. Je ne voyait pas l'interet, finalement, d'assassiner une personne pour le plaisir, même si la vu du sang m'excitait. C'était, d'ailleurs, pourquoi je me mutilais ... M'enfin, une des raisons pourquoi je le faisait. J'aimais observer les goutellettes de sang tomber sur le sol ...

~ C'est vrai. Certains meurtres doivent être commis ...

Malgré moi, je sentis une forte douleur dans mon bras droit ... Celui que je me mutilais. Je ressentais une douleur attroce, comme si on me brûlait le bras de manière sadique. C'était vachement douloureux ! Mais je ne voulais pas montré ma souffrance, car j'avais dit à Carl que je cesserai de m'auto-mutiler. Et pourtant, je continuais, car c'était devenue une vraie drogue ... Mais la douleur se voyait dans mon regard...

J'avais baissé les yeux sur elle à ce moment là. Voyant la douleur dans ce regard je fronçais les sourcils, qu'est-ce qu'elle avait? Pourquoi avait t'elle mal? Je vins pour dire quelque chose, mais je me souvins de lorsque je l'avais rencontrer, je dis d'une voix seche:

-Tu te mutile encore?

J'avais parlé d'un ton sec. Je voulais une réponse. Bon sang! Comment pouvait t'elle faire ça dans un endroit comme celui çi? Les autres lui feraient du mal bien assez tôt, alors pourquoi s'infliger soit même des douleurs?

Je la fixait, attendant toujours une réponse, je savais que ce n'était pas à moi de l'empecher de le faire, mais j'avais du mal à accepter qu'elle se fasse mal, si elle voulait vraiment souffrir, je n'avais qu'à la frapper, mais s'infliger du ma lsoit même ...

je lachais un grognement. Qu'est-ce que je pouvais bien faire pour l'empecher de ce mutiler, je n'en savais rien. Je baissais les yeux vers elle, je la fixais d'un air découragé. Si ce que je lui avais déja dit ne l'avais pas empèché de le faire, alors je ne savais pas vraiment ce que je pouvais faire de plus.

-Qu'est-ce que tu veux que je te dise ...

J'eux un petit rire et je dis:

-Je dois aimer me mutiler moi aussi, au nombres de blessures que je me suis infligé en arrivant ici.

Ma premiere cassure de poignet, c'était moi qui me l'avait fait en isolement. Je devais dire que la douleur me faisait un peu oublier ma claustrophobie. Je préférais emplement souffrir que ressentir cette impression d'enfermement.

-Comment peux tu aimer te faire souffir? ...

J'essayais de comprendre, peut-être que si elle m'expliquait son point de vu ... Mais de toute façon, qu'elle ai une bonne raison de le faire ou non, ce n'était pas l'endroit pour le faire.

Je restais silencieuse alors que je sentais le regard de Carl me fixer. Je partit un peu plus loin, loin d'être confortable dans cette situation. Je n'aimais pas lui mentir, mais je devais le faire pour ma sécurité, sinon, il n'allait pas apprécié que je me fasse souffrir. Je soupirai alors, oubliant cela. J'écoutait alors ce qu'il disait.

-Comment peux tu aimer te faire souffir? ...

Je fut ... Prise par surprise avec cette question. Je n'avait pas de réponse, et c'est ce qui m'énervait le plus. Je baissa alors la tête, avant de finalement le regarder dans les yeux et lui répondre.

~ Ce n'est pas que j'aime souffrir, Carl. C'est devenue une dépendance avec le temps. Au début, j'avais l'impression de faire souffrir mon entourage, alors je me punissais en me mutilant. Mais avec le temps, c'est comme une drogue, tu vois. J'y suis devenue dépendante. Voilà, tu sais tout.

Je poussa alors un profond soupir et je prit une grande respiration, après toute cette explication.

J'aquiessais doucement.

-Ce sont tes affaires de toute façon. ... Simplement que je trouve que la vie est déja assez difficile si l'ont doit en plus se faire souffir ...S'ajouter sois même des embuches.

Je me taisis quelques instants, sois j'étais dans un drole d'état, soit j'étais soudainement devenu très bon avec les mots. Enfin, ce devait être quelque chose qui était différent avec tout le monde. Avec Danyka, javais l'impression ... L'impression de quoi en fait? Je n'en savais rien. Mais j'étais tout simplement bien.

-Tu sais quoi ... Je ne me mellerais plus de tes affaires, mais ne t'avise pas de me montrer ta douleure une autre fois, car je te jure que je ne te laisserais plus te mutiller.

J'avais baissé les yeux vers elle. Elle ne m'avais pratiquement rien montré, je ne pouvais pas l'empecher de le faire, je voulais simplement qu'elle comprenne que j'avais de la difficulté à la voir souffrir, mais j'avais toujours eu une manière bien à moi de m'exprimer.
Je fis un bref sourire et je dis:

-Moi j'ai faim ... Toi tu te mutille et moi je suis en train de devenir anorexique si tu veux savoir ...

Au nombre de repas que j'avais sauté, il était normal que j'aille faim. Mais ce n'était pas l'heure de manger, mon ventre attendrait à demain, à moins que je trouve le moyen de m'attirer encore des ennuis d'ici là.

Je lui fis un petit sourire amusé. J'avais faim, très faim, mais bon, je n'allais pas en mourrir, même si mon ventre me lançais des grognements d'enfer. J'avais mangé il n'y avait pas si lontemps maintenant, mais c'était comme si je n'avais rien avalé, la nourriture ne devait pas être tellement nourrisante.

Je fis un sourire, sincère pour une fois. Je ne croyais pas qu'elle suivrait mes conseils. Personne ne les avaient jamais suivit, ou peut-être étais-ce plutot moi qui n'en donnait jamais?

-...Je suis content ... disons que sa me rassure ...

J'avais eu de la difficulté à dire cette phrase. Je e sais pas, ont dirait qu'elle ne me ressemblait pas. Me sentir soulagé pour quelqu'un. Enfin c'était peut-être le vrai moi, celui que j'avais enfoui profondément après avoir tué Sarah? Je secouais doucement la tête, et je dis quelque chose qui m'étonna encore plus.

-...Enfin, si tu as de la difficulté à surmonter ça ... Je ne vois aucun inconvéniant à t'aider.

Je lui fis un bref sourire. Ce que je venais de dire ne me déplaisais pas. En fait j'étais certainement sur la bonne voie, moi qui voulait devenir plus fréquentable ...

Jem e passais nerveusement la main dans les cheveux. Effectivement, je n'avais pas été des plus amicals, mais c'était mon humeur habituelle, ce n'était pas personnel. Je dis:

-Disons que je ne veux plus te defoncer la tête maintenant ...

C'était vrai. Je commençais à l'apprécier, et je ne faisais pas de mal au personnes qui se raprochaient de moi, aux rares personnes. Du moins, je faisais mon possible.

-... Disons que si tu étais dépendante, ce sera peut-être plus difficile d'arrêter que tu ne le crois ...

Un dépendance, c'était quelque chose de vraiment ennuyant. Moi je n'en n'avais pas. J'avais toujours tout prit avec médration. Cigarette, alccol, je ne pouvais pas dire qu'une cigarette et qu'un verre de Whisky me déplairais, au contraire, mais j'étais capable de m'en passer.

Nous restâmes silencieux quelques instant jusqu'à ce qu'un autre prisonnier approcha, je le sentais qui nous observais depuis un certain moment, mais je n'avais rien dit, maintenant il s'approcha et je sut que c'était Danyka qu'il regardait.

-Alors Gamine? Tu pourrais lacher ton copain et jaser un peu avec moi, qu'est-ce que sa te dirait?? Heinn?

Il me jeta un regard méchant et continua de fixer Danyka. Moi je laissais échapper un grognement et je ne dis rien, j'attendais la réaction de la jeune femme avait de faire quoi que ce soit, mais plus j'attendais, plus je me mettais en colère, cet homme ferait mieux de partir rapidement, disons que je laissais une chance à cet imbécile de foutre le camp.

Je fis un mince sourire, disons que je m'attendais à ce genre de réaction. J'observais la réaction de l'homme. Prèt à intervenir si il décidait d'être violent. Il attrappa Danyka par le bras, Je m'approchais rapidement, mais il semblait avoir songé au fait que j'étais peut-être fort et que je ne le laisserais peut-être pas toucher à la jeune femme.

Il sortit un couteau et attrappa Danyka pour la mettre contre lui, il lui plaça le couteau sous la gorge et dit:

-Hey bonhomme, tu t'approche et je lui tranche la gorge ... t'a bien comprit?

Il fit un grand sourire et pencha sa tête dans le cou de la jeune femme il souffla:

Aller ... Vient avec moi et personne ne sera blessé ma jolie ... J'aime les filles farouches moi ... héhé

Moi j'observais, il était rare quej e prennais mon temps, mais ce mec était un imbécile, je ne voulais tout de même pas faire une erreur qui couterais la vie à la jeune fille. J,attendis qu'elle me regarde et je fis un signe de tête vers son entre-jambe. Je voulais simplement qu'elle lui donne un bon coup, il ne se protègeait même pas. Moi je m'occuperais du reste.

J,attendis de voir si elle avait comprit ce que j'attendais d'elle, j'espérais également qu'elle se tasserait rapidement, sinon je la tasserait moi, mais ce serait simplement un peu plus brusque.

Jen e pouvais pas agir, je détestais ce genre de choses où je ne pouvais rien faire, si je faisais le moindre mouvement, il lui ferait du mal, et disons que je préférais éviter.
Il ressera son étreinte sur elle et dit:

-Hey petite pétasse, tu essaie encore de me faire mal et je te tranche la gorge, compris???

Il commençait à ce mettre en colère, ce n'était pas une bonne chose. Je mis un pied discret vers l'avant. Mais il me vit, il dit d'une voix forte:

-Espèce de connard, tu veux la voir crever??

Il fit une pause et ammorça un pas sur le coté, faisant suivre Danyka, il dit:

-Ont va aller dans un endroit plus discret tu viens aussi toi! Dit-'il en me pointant.

Je ne comprennais pas réellement pourquoi il voulait que je le suive, mais bon j'allais obéir. Discretement je me penchais et j'attrappais une bonne roche que je cachais dans ma mains. Je trouverais bien un moyen de le frapper avec.

Il nous enmena dans un coin plus éloigné de la cours. Il fit tourner Danyka, la tennant toujours fortement et dit:

-J'ai bien envi de te voir sans ton chandail petite pute ...

Il amorça un mouvement pour lui enlever son chandail, me jetant quelques regard furtifs, je voyais qu'il semblait très concentré sur la tache ... Lorsqu'il verrait quelques petit bout de peau de la jeune femme, je pourrais l'attaquer. Déja je commençais à me tasser sur le coté. Il ne le remarquait même pas.

Lorsqu'il parvint à lui enlever son chandail, et que je le vis sourire d'un air pervers et satisfait, je su que c'était le moment d'agir. Je le fis rapidement, je m'étais déplacé sur le coté et lorsque je fus assez près de lui, je lui donnais un coup de roche bien placé derrière la tête. Il n'eut même pas le temps de réagir. Il tomba par terre, totalement assomé. Je le tassais d'un coup de pied puis je l'agrippais par le collet. Je le remontais devant ma figure et je dis d'un air furieux:

-Je t'assure salle ordure, que si je te reprend à t'approcher d'elle, ou de simplement la regarder, je vais te tuer ... C'est clair??

Je n'attendis pas sa réponse. Je lui donnais un autre coup qui le fit tomber dans les pommes cette fois. Je pris son couteau et revint vers Danyka. Je ne la regardait pas trop et je lui tendit son chandail.

-Tient ...

Je ne dis rien, je ne savais pas quoi dire, je me rendais compte que j'avais eu peur pour elle, j'étais content qu'elle n'ai rien.