Sadismus Jail
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Sadismus Jail

Venez vivre la vie mouvementée des prisonniers de Sadismus.
 
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 On est dans une prison, pas un chenil! [Libre...]

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Rin Ayake
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Rin Ayake


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MessageSujet: On est dans une prison, pas un chenil! [Libre...]   On est dans une prison, pas un chenil! [Libre...] Icon_minitimeDim 29 Juin - 23:17

Je déteste ça! Comment peuvent t'ils simplement oser me faire ça? Ils n'ont pas à me toucher, à me parler ou à me garder prisonnier. Ce ne sont que de sales bâtards qui ne méritent pas mon respect ou même mon attention. Si je le pouvais, je les briserais. Mais ils ont prévu le coup ces deux mecs. Je suis muselé, mes poings sont lié et attaché pour m'empêcher de me déplacer trop. J'ai beau ne rien voir, je sais où ils sont, à peine un mètre devant moi. Pourtant, une grille nous séparent, je le sais pour m'avoir rentré la tête dedans. Je donne un coup brusque sur mes liens et gronde. Je déteste être impuissant, je déteste aussi être la tout seul. Leurs présences ne comptent pas, je parle de mon maître. Je sais qu'il est mort. Ça m'enrage. Comment ont t'ils pu l'abattre! Il m'a toujours dominé, toujours été bien plus fort que moi et pourtant il faut qu’il se fasse mettre une balle dans la tête! Bordel! Si je pouvais trouver le chien sale qui lui à fait ça... Ce n’est pas compliqué, je le frappe, le griffe le mord, mais sans le tuer, puis je lui casse chaque os possible et lui ouvre le ventre pour lui faire bouffer ses intestins. Si après il est encore en vie, je le vide de tout ce qu’il à dans le corps et j’imagine qu’il meure à moins d’être immortel. Mais si jamais il est encore en vie... La je lui arrache tout ses membres et après je le fais brûler parce que sa me saoule... De toute façon, il vas crever avant le salop...--’ J’entend à ce moment le moteur s’arrêter. Je relève la tête, je sais que ces cons vont venir me chercher. Je suis condamner à la prison à vie, donc c’est sur que le prochain endroit ou je vais est une prison... Je ne me souvient même pas du nom... Je m’en fou bordel! Je veux juste tuer ces deux connards, mais pour ça il faudrait que j’ai les mains libres. Ce n’est pas le cas, donc je vais devoir me résigner à frapper le plus possible et de leurs donner le plus de misère possible. Autant commencer dans ce véhicule. J’entend la porte à coté de moi s’ouvrir. Je tourne la tête et gronde menaçant, je relève mes lèvres comme je peux pour leurs montré mes jolies petites dents pointues à souhait. Le moindre faux pas et je vais frapper, peut-être les tuer si je suis veinard et m’enfuir ou mourir abattue par une balle. Il doit bien y avoir des gardiens dans cette prison merdique.

Je sens l’hésitation du type, il m’ordonne de ne pas bouger et j’entend dans sa voix de l’hésitation. Rien de telle pour me donner de l’assurance. Quant à son ordre, il peut se la mettre où je pense et où vous pensez. Je n’écoute qu’une personne et elle est six pieds sous terre et si je finis par écouter une autre personne, elle vas devoir me montrer que c’est elle qui décide et elle vas devoir savoir se servir de ses poings. Ne vous posez pas de question, je suis juste comme ça, mon respect on ne le gagne pas dans des boîtes de céréales... Finalement je réalise que je ne peux de toute façon pas bouger, devant mon manque d’action, il attrape le lien qui m’empêche de me déplacer dans le véhicule et l’ôte pour tirer sur cette laisse improvisé. Moi, je résiste et tire de mon coté en grondant. Finalement, je finis par céder pour lui sauter dessus, mais je ne peux pas le mordre T.T, donc je me contente de peser sur lui de tout mon poids et de lui mettre mes poings au visages. Je sens qu’on m’empoigne par derrière, je me démène comme je peux, mais il tient bon, le veinard. À deux, ils me traînent vers la prison. Je n’ai pas envie d’être là! Je résiste, gronde, frappe et réalise comment ils peuvent être têtue. Moi aussi je le suis alors que continue à leurs donner toutes les misères du monde. Si seulement je pouvais ôter ce qui m’empêche de les mordes je les tuerais dans le plus de souffrance possible. Après un bref temps mort devant ce que je comprend être les portes de ma prochaine maison a vie. Après avoir parler au gardiens, j’entend un bruit qui n’est rien d’autre que les portes qui s’ouvrent. Je suis peux désireux de continuer à avancer, la vie est dure pour les choses comme moi qui ne voient rien et qui sont la majorité du temps avec leur bâillon entre les dents, donc avec peux de moyens de défenses. He, puis ça à l’air d’être grand comme endroit et moi, je n’aime pas ça. Quand c’est trop vaste, je me met à tourner en rond sans trouver la sortie qui peux être sous mon nez... Vous remarquerez que je ne me suis pas traité d’humain... Je ne me considère pas comme telle, malgré ma morphologie, donc sa doit rester clair entre nous, je ne suis pas un pathétique humain.

Les deux flics recommence à me pousser et à me tirer, je ne les vois pas, mais je suis conscient des flingues qui sont pointé vers moi. Ils peuvent bien tirer les salops... Je m’en fou, j’ai pus de raison de vivre et surtout pas dans ce taudis... Ma problématique réside dans le fait que je suis seul et que je me fait tirer par deux mecs qui sont sûrement plus grand et visiblement plus fort que moi. Déjà que je suis pas très grand et que j’ai un poids de minus... Ça m’aide pas. Ce qui est enrageant, c’est que je sais que ils vont me faire quand même rentrer en taule... Pourtant, c’est gratifiant de savoir que je vais leurs avoir donné des souvenirs douloureux et quelques ecchymoses en primes. C’est peu, mais j’ai appris à apprécier le peu que l’on me donne. Je continue de résister quand j’entend une voix, je lève un peu la tête, mais n’arrête pas pour autant mes activités. Foutez moi dont la paix bordel... Je suis occupé!
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Yoruichi
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MessageSujet: Re: On est dans une prison, pas un chenil! [Libre...]   On est dans une prison, pas un chenil! [Libre...] Icon_minitimeLun 30 Juin - 8:13

[Hs: j'ai lu ' libre ' alors je prends mes droits! XD]

Ca passe encore le temps de flâner dans les couloirs non ? Ah ben moi je trouve. Quatre mois à faire les mêmes allées retours. Ca devient un peu gavant. Mais bon, j’en ai pris l’habitude. Et puis de toute façon, je ne reste pas cloîtré dans ma cellule. Mais même, ça ne m’empêche pas de me sentir comme un fauve en cage. Il n’y avait que ça dans mes attitudes … Félin. Bref, comme je disais donc, je me « promène » dans les couloirs, jusqu’au moment où –miracle ou non- un gardien m’interpelle. Encore le même gugusse que d’habitude, à croire qu’il me suit partout. M’enfin. Toujours aussi petit, il tient un dossier sous le bras.

-Bonjour 19-03-40.

Ca va, merci de me rappeler ce fichu numéro d’identité. Quel est l’imbécile qui à inventer ça aussi. J’aime pas être comparée à du bétail. Obligé de sourire, histoire de ne pas montrer qu’il me gêne. Il me bariole, qu’il a besoin de moi pour. ..

-Allez chercher un détenu ?

J’hausse un sourcil. Nan mais attendez là, il joue à quoi. Je ne suis pas la femme de ménage, quoi. Ils n’ont que ça à faire ces gardiens. Comme si c’était trop leur demander d’aller dans la cours recueillir un piaf traumatisé par le voyage. Le type m’explique que pour x raisons, il ne pouvait pas, donc, comptait sur moi. J’comprends que j’ai jamais rien fait d’idiot dans cette prison mais est-ce une raison suffisante pour m’envoyer jouer les nounous ? Sur un ton qui ressemble plus à un grondement de mécontentement j’acquiesce.

Me dirigeant vers la cours, dossier en main. J’ouvre vite fait histoire de voir à qui je vais avoir à faire. « Rin Akaye … vingt ans … Accusé de meurtres.». Ah ben, comme tout le monde ici. Enfin disons la plupart. Il y a encore des demoiselles qui ont réussi à être envoyer ici alors qu’elles n’avaient rien fait – je ne vise absolument personne -.

J’arrive rapidement dans le hall d’entrée, à tout hasard, je balance le dossier sur une table où un gardien somnolait. Pas besoin de paperasses pour aller chercher un type dehors. Bref, je pousse la porte qui sonne sur le cours. Grincement habituel. Comme j’aime cette prison. Un peu plus loin se dessine trois silhouette, deux grandes et une petite. Pas besoin d’être ingénieux pour deviner lequel était celui que je devais au bercail.
Je rêve où … Ils le tiennent en laisse ? Enfin presque ça quoi. Plus je me rapproche, plus je suis stupéfaite par la scène. Un garçon, sûrement ce « Rin Akaye », cheveux assez clair, pas très grand. Le genre typique qu’on retrouve à Sadismus. Jamais compris pourquoi ils sont tous aussi « efflanqués ». M’enfin, ça ne me regarde pas.

Apparemment, personne n’a remarqué ma présence. Mon bon vouloir … Déjà un gardien me fait chier pour aller chercher un prisonnier qui a en plus, des tendances canines. Et pour finir, on ne me remarque pas. Que fait le félin à ce moment là ? Ben il se fait remarquer !

-Euhm. Excusez-moi de vous déranger, je viens chercher ça.

« ça » en montrant du regard le nouveau venu. Eh ben, ils ne l’ont pas loupé. Il porte un étrange bâillon dans la bouche, ses mains sont menottés. Il parle de trop pour qu’on lui ait mis ça entre les crocs ? N’importe quoi. Je passe rapidement les formalités, signature et tout le reste. Sans oublier de précisé de lui enlever les menottes. Je sais par expérience que c’est très désagréable.

Tout en détournant les talons, les mains dans les poches, je m’apprête à avancer pour retourner à la prison quand l’un des hommes me rappellent. Ils ont tous décider de m’ennuyer aujourd’hui ou quoi ?

-Il est aveugle …

Aveugle ? Je regarde d’un peu plus près le visage du garçon. En effet, aucun éclat. Et alors ? Il reste ce qu’il est. J’hausse les épaules qui signifie en gros : Rien à foutre.

-Tu viens Rin.

J’attends un petit instant pour qu’il remarque d’où provienne ma voie. En un rien de temps, le voilà entrain de marcher sur mes talons. Aveugle à comportement de toutou, c’est assez drôle comme situation. Me demande ce qu’il lui ait arrivé pour tomber dans ce trou. Il n’a pas l’air de sortir d’un cirque pourtant.

J’aime les chats, mais les chiens me refroidissent par moment. Fin bon, il reste un homme extérieurement. Et pour être sincère, je ne m’attends pas à une super conversation. Vu ma super volonté.

-Ton bâillon ne te gêne pas ?
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Rin Ayake
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MessageSujet: Re: On est dans une prison, pas un chenil! [Libre...]   On est dans une prison, pas un chenil! [Libre...] Icon_minitimeLun 30 Juin - 22:14

[HJ: Ça me vas parfaitement^^]

«-Euhm. Excusez-moi de vous déranger, je viens chercher ça.»

C’est une fille... Je le sais à sa voix, pas besoin de voir pour comprendre certaine chose. C’est légèrement frustrant de ce faire désigner de «ça», mais je m’en fou. Je sais... Je suis un peu contradictoire... Mais ne nous attardons pas sur «ça». Je prend une petite pause de résistance pour relever la tête comme pour la regarder bien que ça me sois impossible. Elle vient me chercher? Pour m’emmener où? Question stupide égale réponse stupide... Dans une jolie petite chambre avec des barreaux rose... Un cellule évidemment, imbécile! C’est grave de ce traiter sois même d’imbécile... Même chose pour ce poser des questions stupides dont on connaît déjà la réponse. Bordel... Je me saoule tout seul... Je dois être un peu sur les nerfs. Après tout ça doit être normal. J’ai vingt ans d’existence, mais douze d’entre elles on été passer à me faire corriger et à obéir à un type dont je n’ai jamais eu la moindre idée de ce qu’il pouvait bien ressembler... Et là... Vlan! Je suis accuser de meurtre, emmené de force, pour finalement me retrouver en taule alors que je ne vois toujours pas ce que j’ai fais de mal... J’ai pourtant obéis... On m’a dit de tuer alors je l’ai fait, c’est pourtant pas compliquer à comprendre...

Enfin... Revenons à nos moutons... La fille, je ne sais pas son nom et je n’en pâtis pas pour autant, s’occupe de paperasses avec les deux policier de mes deux. J’ai arrêté de me débattre. Chance pour eux, ils auront moins d’ecchymoses en rentrant chez eux ce soir. C’est gratifiant de leurs taper dessus, mais c’est complètement inutiles pour ma situation. Je vais passer les prochaines années de ma pauvre vie dans ce trou, je vais aussi y mourir. Ça ne me fait ni chaud ni froid, c’est une simple constations. J’étais bien où j’étais, mais mon maître est mort, donc je n’ai plus rien à faire là bas. On m’enlève mes menottes, j’en suis un peu surpris, je croyais qu’ils allaient me traîner de force jusqu’à ma cellule... Je me frotte les poignets qui sont un tantinet douloureux, c’est que j’ai forcé et pas juste un petit peu. Même si je pourrais sauter sur un des deux crétins de services qui est près de moi je me retiens. Combien de coups je pourrais lui foutre dans la gueule avant que l’autre n’intervienne. Pas beaucoup... Je peux pas viser moi... Malheureusement.

Ils semblent avoir finis leurs petites affaires, j’entend la demoiselle, enfin, j’imagine que c’est une demoiselle, s’en aller. Elle vas me laisser là ou elle ne c’est pas rendu compte que je n’y voyais rien? Je pourrais bien suivre le son de ces pas, mais je reste interdit. L’un des deux policiers la rappelle pour lui signaler que je suis aveugle. Ha! Je sais à peux près où est mon copain policier, je tourne légèrement la tête vers lui. La fille à arrêté de marcher. Elle me demande de la suivre. Je hoche légèrement la tête, mais j’ai envie de dire adieux à mes potes. Rapide, je fou mon poings dans la gueule du premier, enfin j’imagine que c’est la que j’ai frapper, car j’en sentit ses dents à travers la peau. L’autre ce précipite et j’en profite pour lui donner un coup de pied au tibia. Sans plus de façon, je me détourne pour suivre la fille.

Elle recommence à marcher, moi sur ses talon. J’ai un petit sourire, ou du moins ce qui y ressemble, car le truc que j’ai entre les dents ne me permet pas vraiment de sourire... En tout cas, j’entend derrière moi les deux types qui ne semble pas incarner la joie elle même. Bien fait pour eux, je les tiens responsable de mon emprisonnement ici. Qu’ils souffrent donc autant que possible! En tout cas, ils ne vont pas m’oublier avant un moment. Ça me rend de meilleur humeur si on compare à pendant mon petit voyage en auto. Je déteste être en auto... C’est long et on à rien à faire... C’est que moi, je ne peux pas regarder le paysage défiler! Je ne vois rien de la bâtisse que je présume être devant moi, mais je suis sure qu’elle est grande. Je n’aime pas les grands endroits... Bon, la maison de mon maître était grande, mais au moins je la connaissais pas coeur. Je ne me tapais plus depuis longtemps après les coins de meuble et ne rentrais pas dans les murs... Mais ici! Je vais passer les prochaines semaine à me taper partout! J’en enrage déjà... Foutu murs, foutu coin de meuble et surtout, mais surtout maudit escalier à la con. Je déteste les escaliers, j’en fais une maladie. La majorité du temps, je les déboule moi!

Elle me demande alors si mon bâillon me gêne. Je ricane intérieurement. S’il me gêne? En se moment? Oui! Si je ne l’avais pas eu j’aurais écrasé ces deux crétins de flics. Sinon... J’y suis habitué. J’ose les épaules. Si elle me l’ôte, je ne veux pas être la prochaine personne qui viendra me taper sur les nerfs. Si elle le laisse où il l’est, c’est qu’elle est très sensé. Personnellement, je ne le ferais pas être elle, mais ce n‘est pas tout le monde qui est moi. En tout cas, si elle veux faire la conversation avec quelqu’un, elle n’a pas choisi le bon «Ça». (XD)
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Yoruichi
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MessageSujet: Re: On est dans une prison, pas un chenil! [Libre...]   On est dans une prison, pas un chenil! [Libre...] Icon_minitimeMar 1 Juil - 11:01

Haussement d’épaule marquant son indifférence. D’accord, alors ce machin ne le gêne pas. Comme tu veux Rin. Mais moi, il est hors de question que je parle à un mur. Donc autant te soumettre à ma bonne volonté du jour. Je stoppe mon pas, tout en me positionnant derrière lui. D’un geste vif, le bâillon tombe au sol dans un bruit presque métallique. Quelle idée aussi de lui mettre ça dans la bouche. Monsieur mord ? Allez va, faites moi rire. Nous sommes dans le fond, pratiquement pareil : des animaux. Le jeune homme, lui, s’extériorise un peu plus niveau comportement.

- J’aime pas parler au mur.

Je lui laisse le soin de ramasser son joujou juste à ses pieds. Je te libère, mais ça ne veut pas dire que je compte te chouchouter tout au long du voyage. Aveugle ou pas, avec ou sans bâillon, je suppose que t’es pas con et que tu sais te débrouiller seul. Par conséquent, je repends la marche. Il se demande peut-être comment c’est la cours …

Théoriquement, c’est une vaste étendue de graviers, avec un petit coin de verdure, entourer par des grillages, murs, tout ce que tu veux.
Bon puisqu’il a retrouver l’usage de sa langue, ça serait peut-être bien d’user de ce don du ciel pour faire quelque chose que tout les autres connaissent à savoir : parler. Bien que ce ne soit pas vraiment dans mes cordes. M’enfin, passons.

-Pour t’informer ; il est interdit d’aller dans l’aile des employés, ainsi que dans les sales de tortures. Tu dois obligatoirement être dans ta cellule avant le couvre-feu.

Mais bon, puisqu’il ne peux plus avoir usage de ses yeux. Je ne pense pas qu’il arriverait à enfreindre le règlement. Mais après tout, on ne sait jamais. S’il est ici c’est d’office pour meurtre ou un truc dans l’genre. M’enfin, le règlement est encore un peu plus long : pas de drogue, les gardiens on tous les droits sur « nous », et j’en passe. C’est juste que cela ne me semble pas si important à mentionner.

Nous arrivons enfin devant la porte plutôt imposante de la prison. Grincement habituel, je m’engouffre dans l’espace prévu à cet effet suivit de Rin. Je lui demande de m’attendre là. Je ne savais pas le numéro de sa cellule. Je m’avance vers la réception, demandant vite fait ce dont j’avais besoin, je reçois en même temps son uniforme. J’en connais un qui va être heureux … Demi-tour, je me rapproche du garçon.

« Tiens, ton uniforme. Tu as de la chance, tu te trouves dans l’une des cellules située au début du couloir. Bref, viens. »

Cellule 4 plus exactement.. Pas étonnant, il y avait beaucoup de prisonniers morts ou bien libérer. Enfin, j’en viens qu’il a un énorme avantage, il ne devra pas s’amuser à compter les cellules si il avait été dans le fond.

« Qu’est ce qui t’as amener ici ? »

C’est vrai dans le fond, pouvait-on tuer même en étant aveugle ? Il y a des exceptions partout. N’empêche, j’attends toujours ma réponse ..
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Rin Ayake
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MessageSujet: Re: On est dans une prison, pas un chenil! [Libre...]   On est dans une prison, pas un chenil! [Libre...] Icon_minitimeMar 1 Juil - 20:55

J’ai à peine le temps d’hausser les épaules que j’entend l’autre s’arrêter. Histoire de ne pas lui rentré dedans je m’arrête aussi. Qu’est-ce qu’il y à? Une chance que j’ai de bonne oreille ou je lui rentrais dedans et ça me tente pas spécialement. Seconde, elle est rendu derrière moi... Pourtant, je me suis arrêter derrière elle, je ne l’ai pas dépassé... Qu’est-ce qu’elle fou? Je sens alors mon bâillon glisser entre mes dents pour tomber par terre avec plus ou moins de bruit. Ha... Juste ça. Je reste pourtant immobile, je ne pensais pas qu’elle le ferait, enfin l’ôter si vous n’aviez pas encore compris. Je passe ma langue sur mes dents plus que pointues. Ça fait comme vide entre mes dents, c‘est que d’habitude je l’ai tout le temps. En tout cas, je ne vais pas chialer pour ça. C’est juste que je mord le prochaine qui me tape trop sur les nerfs. Heureusement pour elle, cette fille ne me saoule pas. Je préfère sa compagnie à celle des deux flics. Je l’entend dire qu’elle n’aime pas parler au mur. He bien moi, je n’aime pas parler tout cours--’. Mais bon, vue qu’elle fait que m’aider, je vais faire un petit effort.

Bon, faudrait que je le ramasse, il est tombé par terre et il vas être plein de terre de poussière et de cochonnerie... Cherche ce que peuvent avoir fait tout ces petit prisonnier dans cette cours? Moi, je veux pas savoir en tout cas. Je me penche et tâtonne un peux le sol à mes pieds pour le trouver. Ha! Il est là! Je me redresse la chose entre les mains. Elle aurait pus au moins ne pas le laisser tomber par terre, là je vais devoir trouver quelque chose pour le nettoyer. Elle ce remet à marcher et je la suit. Après un petit silence, elle me dit quelques petite choses interdites ici. Je ne compte pas me rendre dans la salle des employés et la torture ce n’est pas ma passion. Quand au couvre feu... Comment je fais pour savoir l’heure moi? Bah... Je verrai. Au pire je passerai toutes journées dans ma cellule et si je crève de faim, ben... Personne n’en sera dérangé!

- Sinon, il arrive quoi...

Simple curiosité et premier mot depuis une éternité. Je ne parle pas souvent et je sens que ma voix est un cassé. Bah, tant que c’est possible de me comprendre, je m’en fou. On doit être arriver devant une porte, en tout cas, sinon je me demande ce qui peux causer un telle grincement, je déteste ça! Je ne m’approcherai plus jamais de cette porte, c’est décidé. Je rentre en dedans avec l‘autre. Elle me demande de l’attendre et la je la laisse s’éloigner. Quelques minutes après, elle est revenue. Elle me donne un «uniforme»... Brrr, je me vois déjà empêtré dans un vêtement trop grand pour moi--’. De la chance? Effectivement, sa me tente pas de devoir fouiller partout pour trouver ma jolie petite cellule, donc moins elle est loin, mieux c’est. Elle me dit de la suivre et je lui emboîte le pas. Elle me demande alors ce qui m’a emmené ici. Je reste silencieux un moment et décide que je n’ai rien à perdre en le lui disant. Ça ne peux pas me condamner plus que ça...

- Mon maître ma ordonné de tuer des types, je les ai tué et ça à pas plu aux flics qui on descendu mon maître. Donc, j’ai tuer un flic pour le venger et il m’on collé un procès que j‘ai évidemment perdu.

En gros, c’est ça. Ça représente aussi le plus long dialogue que j’ai pus faire depuis douze ans. C’est amusant à dire. D’un autre coté c‘est franchement triste, pourtant je n’en ai pas du tout souffert. Tout ça ne m’encourage pas à continuer à parler.
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Yoruichi
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MessageSujet: Re: On est dans une prison, pas un chenil! [Libre...]   On est dans une prison, pas un chenil! [Libre...] Icon_minitimeMer 2 Juil - 15:50

En effet, pas vraiment surprise par la nouvelle : ici pour meurtre. Un maître ? Etrange. Etre l’objet d’un autre, c’est ce que j’ai toujours voulu ne pas être. Et qui d’ailleurs ne m’est gentiment jamais arrivé. Entêté comme je suis, je ne me suis jamais soumise, mais ça, ça ne regarde que moi. Tuer par vengeance hm … Comme moi. Enfin presque.

-Si tu ne respectes pas les règles ? C’est simple, si un gardien te tombe dessus, il a tous les droits sur toi. Torture, sale d’isolement. En gros, t’es son jouet.

Ou si tu as de la chance, tu peux encore jouer avec eux, mais là, ça devient du pur sadisme de la part d’un prisonnier. Nous quittons enfin le hall, après plusieurs détours, nous aboutissons enfin dans le couloir. Situé bien entendu dans l’aile des prisonniers, mais ça aussi, on s’en fiche.
Cherchant rapidement des yeux la cellule numéro quatre. Je m’y dirige avec Rin sur le dos. Il n’a pas trop de mal à me suivre –heureusement- je n’ai pas pour habitude de trainer le pas pour qui que ce soit. J’hormis de lui parler de quelques détailles. Autant les faire rapidement maintenant

-Quand j’y pense. Tu n’auras pas de mal avec le couvre feu. Une sonnerie retentira, tu ne pourras pas la louper. Ensuite, sur ton uniforme, tu as un matricule, mémorise le bien. Tu pourras un jour en avoir besoin. C’est le …

Je m’avance vers lui pour jeter un coup d’œil sur son uniforme.

-14-71-57. Dans ta cellule, tu ne seras pas seul. Et actuellement, je ne sais pas qui sera avec toi.

Je reprends le pas pour une fois pour toute, me tenir devant la cellule. Loin d’être différente des autres. Quatre lits, des babioles, une fenêtre –avec des barreaux-. Atmosphère froid, mais accueillant, sol glacé la nuit, bref. J’ouvre la porte, enfin la grille, un bruit loin d’être agréable retentit à mes oreilles. Faudrait qu’ils se décident à mettre de l’huile. M’enfin.

-Bon ben, bienvenue dans ton nouveau chez toi.

Je ne compte pas plus l’importuné, c’est tellement drôle de découvrir les lieux par soi même. Du moins, sa cellule. Ne va-t-il pas avoir trop de difficulté ? Au début sûrement. Personne ne s’adapte très facilement à vrai dire. Bon mise à part peut-être moi. J’avoue, je me sentais comme un poisson dans l’eau à mon arrivée. Combien de temps déjà ? Ah ouais, plus de quatre mois.

-Hm. Pour information supplémentaire, je suis Yoruichi dans la cellule 23. Donc si un jour tu as besoin de quoi que se soit …

Oui parce que je me méfie tout de même, même si je n’aime pas les gens, je n’aimerai pas qu’il lui arrive quelque chose à ce garçon. M’enfin, encore une chose que je garderai au fond de ma gorge. Vive le silence. Bon je fais quoi moi maintenant ? Je pars, je reste ? Bon ben, parle, demande Yo’.

-Tu veux que je te laisse seul ?

Main croisé derrière ma nuque, je regarde bêtement le mur devant moi. A noté que je m’étais adossé au mur juste à côté de la cellule de Rin. Je n’attends bien évidemment pas un ordre, loin d’être le toutou des gens. J’attends c’est tout …
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MessageSujet: Re: On est dans une prison, pas un chenil! [Libre...]   On est dans une prison, pas un chenil! [Libre...] Icon_minitimeMer 2 Juil - 20:41

Petit silence après que je lui ai donner les grosses lignes de ce qui ma mené ici. Puis, elle me répond sur ma petite question sur les conséquences du non respect des règles qu’il y à ici. Me faire torturer... Je m’en fou un peu, ça ne me changera pas des mes infinis corrections que j’ai pus recevoir. Quant à me faire isoler, ça ne me changera pas beaucoup de mes habitudes non plus. Par contre, être le jouet de quelqu’un ici... Il n’y a que mon maître qui ai eu ce droits, les autres ils peuvent bien aller ce faire foutre. Remarque, il est mort mon maître... J’en viens presque à l’oublier et à m’attendre à entendre sa voix plus loin qui m’appelle. Bon! Arrête Rin, c’est vraiment crétin comme pensé! Tu t’ennuis d’un type qui t’a carrément descendu à l’état d’un petit cabot obéissant? Ooooouuuuiiiii! Ho boy... Je suis un mec finis qui à pété les plomb! Où est la corde pitié! Bon, j’arrête de déconner en penser, parce que sérieusement une chance que personne ne peux lire mes pensées parce que c’est pas en taule qu’il me mettrais, mais à l’asile... Ou au chenil--’.

Je la suit de près, une chance qu’elle est la parce que avec tout les chemin que l’on prend j’aurais eu le temps de me perdre au moins dix fois et ce n’est pas plaisant quand on n’y voit rien de ne plus retrouver son chemin. Moi je reste silencieux, comme d’habitude, en tout cas, je ne voix pas la raison de parler... De toute façon, j’aime pas ça, mais je l’ai déjà dit alors ne traînons pas sur le sujet. Mon guide recommence à parler. Moi j,écoute, c’est ce que je sais le mieux faire. Ha, donc l’histoire d’heure et de couvre-feu est réglé. Quand à la matricule, c’est bien jolie, mais je peux pas la voir! Je l’entend s’approcher et me la dire. Deuxième problème de réglé! 14-71-57... Okey, Rin retiens ça! Pourquoi j’en aurais besoin en passant? Bah, je vais le savoir un jour...

On arrive finalement devant la petite cellule où je passerai la majorité de mon temps jusqu’à ma mort. Comment je le sais que l’on est devant? Ses paroles sont assez claire... Et le bruit de la grille qui grince est très clair et franchement déplaisant pour mes pauvres oreilles. «Bon ben, bienvenue dans ton nouveau chez toi.» Je tourne la tête vers elle pour lui lancer «Merci.» un peu ironique. Je lève la main pour trouver la porte, Ha elle est là. M’en servant comme point de repère je rentre dans la cellule qui semble vide. À tâtons je finis par trouver mon lit... Avec mon genou. En effet, je sens la sourde douleur que représente un coin de lit dans mon pauvre genou. Finalement, c’est le lit qui m’a trouvé. J’émet un grondement sourd, moitié douleur, moitié frustration. Murs, meuble et escalier: 1 / Rin: 0. Je m’assois sur le lit, laisse tomber l’uniforme dessus et tourne la tête vers Yoruichi, puisque c’est son nom. Cellule 23? Si j’arrive à la trouver j’irai peut-être la voir un jour... Haha.

- Ouais... Merci...

Léger silence et elle me demande si je veux qu’elle me laisse seul. He... Là, j’ai un jolie dilemme à résoudre. D’un coté, je n’aime pas trop être seul, d‘un autre, j‘aime être laissé tranquille. Je suis franchement contradictoire! Dans le fond, pour que je sois bien, il me faudrait un type muet pour aller avec moi. Sinon, je n’adore pas Yoruichi, mais je ne la déteste pas. Disons, que je suis content d’être tombé sur elle, parce que sinon j’aurais traîner partout et peut-être qu’on aurait retrouvé mon cadavre dans un coin perdu. Bon, arrêtons d’être morbide. Je n’ai pas l’habitude que l’on me demande mon avis. D’habitude je fais ce que veulent les autres, enfin mon maître et je me ferme la trappe. Ho... C’est désolant de constater mon manque d’indépendance! Je me déçois tout seul, mais c’est tellement moins compliquer d’écouter! Mais là, elle doit bien vouloir avoir une réponse un jour. Arrêtons de la faire languir à la fin, pour ne pas avoir de patience je sais bien que c’est tannant d’attendre. Enfin, peut-être qu’elle à plus de patience que moi...

- Tu ne me dérange pas, fais ce que tu veux.

Elle peut interpréter ça comme elle le veux. Moi, je sais pas quoi répondre.
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Yoruichi
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Yoruichi


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On est dans une prison, pas un chenil! [Libre...] Empty
MessageSujet: Re: On est dans une prison, pas un chenil! [Libre...]   On est dans une prison, pas un chenil! [Libre...] Icon_minitimeVen 4 Juil - 13:11

Bah tiens, Monsieur Rin me laisse le choix. Encore tisser la toile dans la facilité alors. Ca agrandira peut-être mon panorama de connaissance. De toute évidence, je savais déjà l’essentiel sur sa personne. Il avait un maître, se comportant comme un chien. Par conséquent, il a été élevé en tant que tel. Dommage pour lui. Un canidé sans son mentor est comme un chiot perdu, impossible de se débrouiller seul, et fini par mourir … Triste tragédie, n’est-ce pas ?

Je me décolle du mur pour venir m’asseoir sur le lit en face du garçon. Pas besoin de crier sur tous les toits ce que j’avais choisi de faire. C’est mal de laisser un nouveau venu. Bon okay, j’avoue que lorsque je suis arrivée ici, j’ai tout de suite voulu qu’on me foute pas paix, mais après quelques minutes ça c’est vite envoler. On se sent rapidement perdu dans un endroit qu’on ne connaît pas. Surtout si on est aveugle, démunie d’un des sens les plus important. Je n’ose même pas imaginer l’enfer que ça doit être s’il venait à tomber sur un gardien sadique dans la salle de torture. D’un certain sens, il ne verra jamais ce qu’on lui fait. Mais avec le touché, ce n’est pas difficile de se représenter la scène. Surtout si une chose tranchante vient glisser le long de vos reins pour se planter ensuite bien profondément dans votre chair. On sent quand le sang coule sur une peau … C’est tiède, presque agréable à vrai dire. Où me conduira mon esprit cynique …

Je dévisage un peu plus près Rin. Très pâle aussi bien les cheveux que le teint de son être, assez maigrichon je dois le reconnaître. De plus, plus petit que moi. Pour une fois que je dépasse un garçon … Quoi que Moxie n’était pas non plus très grand. Et ses dents …

-Je n’aimerai pas être ton dentiste…

Les canines parfaitement tailler en pointes, très aiguisé – elles en ont l’air en tout cas-. Son maître devait être un barjot jour oser faire d’un humain un chien. Limite s’il avait eu un problème au niveau de sa pilosité … Il aurait pu faire passer Rin pour un loup-garou. Un garçon au physique parfaitement homme à l’instinct de tueur. J’avoue que ça m’impressionne tout de même. Mais d’un autre côté, je n’ai pas envie de prendre ce nouveau détenu pour une bête de foire. Même si l’envie est tentante …
Tant de question se bouscule dans ma tête. La psychologie reprend le dessus –super-. Lorsqu’on naît en humain, et que par la suite on vient à modifier notre train train de vie quotidienne. Est-ce que plus tard, on en vient à vouloir redevenir ce qu’on était au départ ? Rin avait-il envie de redevenir un homme ? Il a forcément du apprendre à connaître d’autre personne. Où alors, il ne se méfiait pas forcément de moi. Un chien est très méfiant d’ordinaire … Bon d’accord, il existe aussi une variété de canin qui saute amicalement sur tout ce qui bouge. On appelle plus communément ce genre de toutou : un chien de famille.

-A part ton maître, tu n’as jamais eu de contact avec d’autres personnes ?

Il était peut-être entouré de gosse. Enfin quoi que non, il m’a bien fait savoir que « son maître lui avait ordonner de tuer ». Cela marque pour moi un élan solitaire. Seul l’homme et son chien, rien d’autre. Mais rien n’empêche, d’autres personnes d’assister à la vie de Rin.
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