Arrviée sans regrets ...

Je suis devant les portes de cette maudite prison. Elles doivent bien faire quatre cinq mètres. Des bras me font mal, ses deux hommes me serrent comme si j’allais leur sauter à la gorge, et ils ont bien raison.
Si il n’y en avait pas deux autres derrière moi j’aurais peut être tenter le coup. Je me sens bien, étrangement bien. Ils ont enfin compris qu’on ne juge pas les gens à leurs apparences, surement pas moi. Les deux hommes toujours en me tenant fermement me sortent de la voiture noir. Le ciel est sombre et les nuages nombreux. Une personne censée et normale aurait du avoir peur, j’imagine. Mais je n’avais pas le moins du monde peur. La vie est ainsi faite, il y a les soumis qui entrent bien dans les rang de se que l’on nomme la normalité et les autres, je fais sans nul doute partie de la seconde catégorie.



Quel spectacle se saurait offert aux passants, si il y avait eu des passants bien évidement, ils auraient pu observer deus hommes vêtus de costumes noir tenir fermement une jeune fille en robe blanche. Oui, le seul détail qui me laisse perplexe c’est que je suis habillée de blanc. Non pas que ce soit une robe magnifique. Mais une robe représente tous les inconvénients possible, mis a part que cela vous donne un air gentillet et que l’on meurt de froid, il est inconcevable de s’enfuir en courant, d’escalader, de sauter ou même de marcher normalement. Cette robe qui résumé la journée mouvementée que fut hier. Alors que j’étais censée me rendre à la messe, laissait moi rire. J’avais profitée de cette excellente journée pour assassiner sans scrupule cet homme qui était mon tuteur comme l’as si bien décrit le juge. Je reconnais que je ne serais pas ici si je ne lui avait pas répondu que je n’avais effectivement aucun remords. Toujours étant que je suis à présent devant ses deux portes, quasiment portais par deux hommes qui me broyer les bras, en robe blanche quelque peu couverte de sang et tachée. Bon si ils pouvaient ouvrir avant que mes bras ne soient totalement en bouille se serait bien aussi.


Il parait que je suis insolente quelques fois, il parait. Je me prend une gifle. Je commence à rigoler, plus fort que moi comme cet homme à l'air intellectuellement stupide.


J’en profite pour lui décrocher un coup de pied dans le tibia malgré cette fichue robe. Tiens, il va bientot pleuvoir...



Voilà maintenant il y a quatre hommes vêtus de noir qui tiennent une jeune fille vêtue de blanc. Et enfin la porte s’ouvre, enfin pour eux car personnellement je vais surement finir ma vie ici.