Mais dans qu'elle galère je me suis fait embarquer...

Je restais encore longtemps à viser ce satané garde d'un oeil noir. Si les gardes n'étais pas là , je ne vois pas ce qui me retenais de lui faire faire manger toutes ces cigarettes. Enfoiré...

Des bruits de pas retentit. Puis une jeune femme apparait. C'est qui elle ? Une femme de ménage ? Elle s'approcha de nous, je ne la quitta pas des yeux. Son teint et pâle, et elle à une allure sombre. Une gothique ? J'adore ! Bizarre. Pourtant, les autres débiles de gardes semblent lui témoigner du respect. Elle prend mon profil qu'un des agents lui donne...attends...c'est quand même pas une...celle qui doit m'acompagner ? Non...Elle est bien trop fragile. C'est sûrement une...euh...bah...Oups ! Elles e tourne vers moi et me dévisage. Je lui jette un regard interrogateur, zut, c'est qui elle ? Je reste silencieux. Je sais pas qui c'est, mais elle, je vois tout de suite que je ne vais pas l'aimer. Elle est mignonne pourtant même très mignonne. Mais ce montrer plus hauts que moi signifie un défi d'autorité. Et crois moi, je suis fort à ça. Mais bon, c'est peut être juste une passante qui c'est ?

-Bienvenue dans ton nouveau chez toi 027506 . Tu verras je suis sur que tu seras à l'aise.

Hein ? Très à l'aise ? Bien sur. Plus que dans une église, ça c'est sur, mais quand même...Dire que l'on se sent très à l'aise dans la prison la plus connus du monde, j'appelle ça ce moquer de moi. Je reste encore silencieux, faisant semblant de ne pas l'écouter.

-Bon on va faire simple, t'obéïs, tu cause pas de problème et tout iras bien.
En revanche tu créé tu grabuge tu vas avoir des problème, c'est simple et clair.
Maintenant suis moi.

Je lui jette un très long regard étonné. C'est...mon escorte ça ? Alors voici les dangereux employés de Sadismus: De jolie femme toute prête pour les prisonniers ! Je fais un effort considéral pour ne pas éclater de rire. Elle m'attrape et me pousse en avant pour me faire marcher : là c'est bon, mon arrogance prend le dessus:

« Hey ! C'est bon, pas la peine de se montrer si brutal...quand même. »

Les mots me manque. Que m'arrive t'il ? D'habitude, je réplique tellement qu'ils ne savent plus quoi dire.

-Ici la véritable règle est que tout a un prix, tu veux quelque chose demande moi je dois pouvoir t'aider, mais faudra payer. J'ai lu que t'étais chanteur dans un groupe, du bon matériel doit pouvoir se trouver.

Cette idée m'illumine. Elle est pas si nul que ce que je croyais celle là ! Faudra que je demande une guitare. Mais je paye en quoi ? Bah tant pis. Je sentis quelque chose dans mon dos...Je compris quoi juste après ses paroles :

-Et je suis sur qu'un joli garçon comme toi doit pouvoir offrir quelque chose de satisfaisant pour "payer" ce dont il a besoin.

Je sursauta un peu et me retourna brusquement, gêné. Putain, c'est qui elle ? Elle commence à me faire peur.

« -Mais...! Vous êtes complètement malade sale gar...! »

Les mots me manquent...merde, je rougis un peu de honte, secoua la tête et reprit le contrôle de moi, doucement. Je baisse les yeux, énervé et froissé .

« -Et puis...vous n'êtes pas mon genre. Vous êtes trop...quoique... »

Mes yeux tombèrent sur sa poitrine

« -non. Dis-je sèchement. »

Mon arrogance reprenait doucement le dessus. Très bien, je me retourna et continua mon chemin. Mais à moitié effrayer par la prochaine réplique de cette femme.

Pff...Ah ! Ça m'énerve, ça m'énerve...Elle me prend de haut, trop haut pour moi et me piétine. Je suis si énervé...Je lui demande une guitare, Elle me réponds :

Bon bah tu vois quand tu veux, c'était pas si compliqué, pas besoin d'en arriver à tout ça.

C'est ça, c'est ça, fout toi de ma gueule. Comme si dans la pire prison du monde, on pouvait avoir ce qu'on demandait. J'aurais dus lui demander un flingue et la calmer direct, celle là. Elle me lorgne du regard et ça m'énerve encore plus. Me faire si facilement dominer...

Que j'enlève mon pied ou sinon quoi ?

Oups...j'avais oublier. Son pied refit la même danse pour faire claquer ma tête contre le sol.

Bah alors sinon quoi ? Sinon rien. Tu es maintenant officiellement à moi. Je te l'ai dis tu es un meuble un objet. Maintenant tu es ma propriété. Aussi tu ne me menace pas, tu obéïs et tu n'auras aucun problème avec moi ou personne d'autre ici. C'est la condition pour ta survie.

Mon âme n'appartient que à Odin. D'ailleurs, je n'ai plus de vie. Cette prison me l'a volée. En plus, elle me donne des ordres comme on en demanderais à un ordinateur. Mais pour qui se prend elle ? Son pied se retire et je m'accroupis doucement.

"-Si ça peut vous faire plaisir maitresse...répondis-je cyniquement."

Pour arrêter de m'énerver, je fais le vide dans mes pensées, je ferme les yeux....Ah, je me sens mieux. Je les rouvre, mais ma vue perçoit de nouveaux obstacles...Ma vie se durçit aussitôt en vue, un peu au loin dans la prison d'un ignoble croix, suspendues sur un clocher...Une ÉGLISE ?! Rien, à dire, ils ont penser à tout pour m'énerver ici ! Je pointa mon doigt sur la monstruosité:

-Cest quoi ça ? Grinçais-je.

Ma mémoire me repassa le moment de cette satané cathédrale, qu'on à brûler. Je me rappelle avoir savourer chaque moment...Je tremble d'excitation, rien ne pourrais m'apporter plus de satisfaction que cette minuscule église en feu. Ma mémoire repassa aussi Olve et Mattew. Je ne sais pas pourquoi, je n'arrive pas à les pleurer. Quand je pense à eux, je reste indifférent. Enfin presque. De toute façon, ce n'est pas de ma faute si je les ais tuer. C'est de la faute de l'évêque. Mais ce n'est pas grâve. Olve et Mattew sont maintenant des vrais Einhjear. Grâce à moi. Je leva les yeux aux ciels et prononça avec un sourire :

"-Olve...Mattew..."

[Einherjar ;)]

Je peut lire de la colère dans ses yeux. Tous les prisonniers passent par là. Ils arrivent fier comme des paons, ils se prennent pour l'élite du crime. Une paire de baffe et quelques coups de pieds bien placés suffit généralement à les calmer.

Il finit par se relever quand je le libère. J'aime pas son ton, mais au moins sa phrase contient le mot maîtresse. Il y'a donc nettement une amélioration.
Il essaye de se calmer, il ferme les yeux puis les rouvre l'air nettement plus calme. Mais soudain il s'affole. Je suis vaguement son regard en même temps qu'il me désigne son problème.
Je me tourne prudemment et je vois la source de ces soucis, une croix en haut de ce qui doit être un clocher.
Je repense maintenant que dans son dossier il est écrit qu'il en a fait bruler une déjà. Etrangement avant qu'il me la désigne du doigt je ne l'avais jamais remarqué.
Je pousse un grand soupir et me retourne vers lui perdu dans ses pensées qui marmonne des noms.

Comme tu l'as remarqué il s'agit vraisemblablement d'une église. Si ça te pose une problème tu n'as qu'à fermer les yeux, ou bien te les crever si tu as des tendances maso.
Maintenant ma propriété tu vas venir docilement et tout ce se passera sans problèmes.

Je m'écarte un peu de lui et range mon fouet. Je garde une main posée sur ma matraque pour le cas où. Maintenant se pose la question de quoi faire de cet énergumène. J'hésite entre m'amuser avec lui et l'amener en salle de torture, ou bien m'en débarrasser et l'amener dans sa cellule.
Je verrais bien comment il réagit, s'il reste neutre je le ramène, s'il est servile et gentil je l'amène en sous sol et pareil s'il s'énerve ou défie mon autorité. Au final je pense qu'on descendra car je l'imagine mal rester neutre.

(Oui enfin...ça dépent des sources ^^)

Comme tu l'as remarqué il s'agit vraisemblablement d'une église. Si ça te pose une problème tu n'as qu'à fermer les yeux, ou bien te les crever si tu as des tendances maso.
Maintenant ma propriété tu vas venir docilement et tout ce se passera sans problèmes.

Me dire ça, c'est comme si on m'inviter à un concert de classique ! C'est pas vrais...tous timbré, tous malade...Pourquoi m'ont-ils mits dans une prison comme ça ? Non mais...une église dans une prison ! Et puis...pourquoi l'Allemagne ? Ok, bon, ya de labonne musique, Rammstein, Die Apokaliptyschen reiter...non, c'est pas Suisse ça ? Ah non, c'est Samael...non, ça c'est autrichien...enfin bref.

Encore pire, en Italie...si je vais en Italie, je me suicide direct. C'est le royaum des enfoirés là bas ! Le pape...Enfin. Elle m'ordonne de la suivre. Mais surtout, elle m'appelle comme sa propriété. Mais qu'elle aille se faire voir chez le pape tiens ! Je ne suis PAS sa propriété ! Je me tourne vers elle, l'air déterminer :

-Je vais te répéter doucement et en articulant bien pour que tu te l'insère bien dans ta petite tête. Ma-vie-n'appartient-qu'au Dieux ! C'est clair là ? Maintenant, soit tu me dis ou est ma chambre, soit tu me bute, mais tu arrète de te croire plus forte que moi !

La colère à pris le dessus sur moi et j'ai tout dis sans réfléchir, mais qu'elle con je suis parfois ! Je sais que j'aurais jamais du dire ça, mais au moins, ça me calme. En plus, je l'ai tutoyer. Elle va surement essayer de me frapper avec son fouet, en tout cas me corriger. Je sais assez bien me défendre, après tout, j'ai déjà fait de l'aïkido, mais vus sa dextérité avec son fouet, je suppose qu'elle sait se battre...en plus, vus qu'il y a aussi les gardes...Je hais l'allemagne...