De gros problème [Pv : Maria]

J'étais entrain d'astiquer mon nouveau Magnum quand Jaina entra en trombe dans la chambre. Stupeur...Mon uniforme et mes reliques du régime Nazi sont sur le lit...Je devais les astiquer et les ranger...Je ne voulais pas qu'elle voit ça...

-Maria, j'ai un problème !

Je suis surprise. Quel problème peut avoir ma fleur de coeur ? Je la prends dans mes bras inquiète. C'est de ma faute je le sens.

-Qu'y a-t-il Jaina ? C'est ta maladie ?

Je suis sure que c'est ça... Oh Seigneur ! Ne me l'enlève pas ! Je la quitterai plutôt qu'elle meure ! Je la serre contre moi. Je suis inquiète j'ai mal. Jaina dis-moi ce qui t'arrive ! Mon coeur bat la chamade. J'ai peur.

Quand j'entrai je remarqua quelque petit objet qui date de sa guerre qu'importe, ce que j'ai est beaucoup plus grave désormais ! J'ai tellement peur... Elle me prit dans ces bras et ceci me réconforta légèrement.

-Je sais pa

Soudainement je m'écroulai, j'avais retiré ma montre qui donnais l'heure de mes crises vu quel m'était d'aucune utilité, je commença à convulsé mais pas comme tout le monde, ma bouche était inondé de sang et je risquais de me noyer, de plus du sang sortais de mes yeux, nez, oreille enfin bref je baignais dans mon sang et moi j'étais comme morte... je rêvais de ma futur mort.

( court désoler :( )

Je la vois s'écrouler et saigner de partout. Je tremble et immédiatement me gifle pour ne pas sombrer dans la folie.

-JAINA ! Ca va ?!

Je la porte. Elle me met du sang plein les fringues mais je n'en ai que faire. Ma fleur de coeur va mourrir...Je cours avec elle dans mes bras jusqu'à ce que j'arrive à l'infirmerie. Là je la pose sur le lit avec rapidité et chope un infirmier violemment. Je ne parle plus je vocifère en allemand. Je panique !

-DU ARCHLOR ! GEH ZUM ARTZ UND BRINGT ER ZU JAINA ! SIE IST KRANK SIEHST DU NICHT ?! SIE WURDE STERBEN ! MACHT SCHNELL !

Je lache le gringalet qui court terrifier. Bizarement il a compris que j'avais besoin d'un docteur. Je m'approche de Jaina en tremblant et passe ma main dans ses cheveux en tentant de retenir mes larmes pour les rassurer. Je me mords les lèvres pour ne pas pleurer.

-Dis moi de faire ce que tu foudras...Mais fis par pitié...Reste afec moi...

Je l'embrasse et remarque que j'ai son sang sur mes lèvres...J'ai du sang plein les mains. Ca me rapelle ce jour où...

narration de l'infirmier :

J'ai courru comme un dératé pour éviter que c'te malade de boche me dissèque par pur sadisme. Je reviens avec un médecin qui osculte Jaina après m'avoir de dit de rammasser l'autre folle qui s'est évanouie. Quelle femme étrange... Je veux pas y avoir affaire plus longtemps. Je la pose sur un lit et m'en vais.

Je ne suis plus à Sadismus. Bienvenu en enfer Maria...Je marche vers le Cabanon où j'ai vécu en cachette depuis tant d'années après notre démantellement...Je me demande ce que deviennent les autres...

Je remarque du mouvement dans mon cabanon. Inquiète et prudente, je me cache mais voilà un soldat qui revient remontant sa braguette et tombe nez à nez avec moi qui tremble comme une feuille.

"Halt ! Pass auf ! Die Mädchen ist da ! Macht schnell !"

Il hurle et des dizaines de personnes sortent du Cabanon et m'emprisonnent entre leurs bras. Je me débats comme un diable mais je n'ai aucun moyen de fuir. Ils me tiennent sur la table malgré les cris que je pousse. Personne ne peut m'entendre...Ils rient. Et là, ils me tatouent cette marque qui orne mon ventre aujourd'hui...

Je pleure devant leurs manque de délicatesse, ils enfoncent les aiguilles sans anésthésie. Je souffre quand enfin ils retirent les aiguilles. Je pousse un soupir de soulagement mais ils sortent un scalpel et commencent à scarifier le tatouage. Je hurle de douleur pendant qu'ils me tiennent.

"LASS MICH ALLEIN ACHLOR !!"

Ils partent en riant heureux de m'avoir infligée cette punition. Mais un d'entre eux reste. Que me veut-il ? Il s'approche de moi en souriant.

"Ich will dich töten ! Aber jetzt wir wollen ein ganz nette spiel spielen !"

"Geh zür Hoelle ! Achlor !"

Il m'attache à la table. Je suis encore faible à cause du tatouage. Cette fois je vais y passer...Je ferme les yeux résignée. Je ne veux pas voir ça. J'entends sa braguette se descendre puis un coup de feu.

Je rouvre les yeux en sentant une masse sur moi et voit ce salop couvert de mon sang et mort d'une balle en plein coeur. Je hurle de douleur car il est sur mon tatouage. Mon sauveur le retire. Il me regarde en me souriant tendrement et me détache. Je ne bouge pas à cause de ma plaie. Il me demande avec un allemand très marqué par son accent français.

"Kannst du stehen ?"

"Nein entchuldigung...(pas sure de l'ortho)"

Il me sourit d'un air triste et me porte vers mon lit. Il va chercher de l'eau.

[...]

Après m'avoir bandé le ventre, il me regarde et sourit. Je me jette sur lui et nous faisons l'amour.

[...]

Voilà dix jours que nous vivons à Paris. Je suis heureuse. Il est obligé de me soigner tout les jours car nous faisons tout le temps l'amour couverts de mon sang. Je l'aime et nous sommes heureux ensemble. Il envisage de m'épouser et d'avoir des enfants. Il cherche à m'éviter Nuremberg.

Mais voilà...Le bonheur ne dure pas éternellement. Un soir alors que nous sommes dans un jardin. Un groupe d'hommes se jette sur nous et le tue sans que je ne puisse rien faire. Ils me jettent son corps sur les genoux et je me retrouve couverte de son sang.

Je reste choquée. Je sors son flingue de sa poche et une folie meurtière s'empare de moi. Je les tue tous un par un.

Narration du Médecin :

J'entends l'allemande hurler à plusieurs reprises et la voilà qui sort son pistolet. A coup sur, elle revit son passé. Je m'approche d'elle et lui injecte un tranquillisant. Dors en paix Maria. Jaina n'est pas sauvée.