Stigmate - de la famille Justice.

Nom & Prénom- Mon nom… Celui qu'on m'a donné à ma naissance… Je ne le connais pas. Je ne l'ai jamais connu… Et je doute que ceux qui l'ont connu soient encore en vie. L'ordre m'a appelé Stigmate. Et j'ai intégré la famille Justice… Je suis donc Stigmate Justice.

Sexe- Je suis un homme.

Âge- J'ai 19 ans, ça peut sembler jeune, mais vous auriez tord de me penser inoffensif.

Traits physiques- Je ne suis pas quelqu'un qui se fait remarquer par son apparence. Je suis même plutôt du genre discret. Pas trop grand, assez fin, une silhouette élancée. J'ai l'air chétif en fait mais ce n'est qu'une apparence. Je n'ai juste pas beaucoup de graisse mais en réalité je n'ai pas la peau sur les os… Il y a du muscle entre les deux.. Et pas qu'un peu. Le genre de muscles fins et résistants. Ma spécialité sera plus dans l'endurance en fait.
Ma peau est relativement tannée par le soleil, il faut dire que je vis dehors. Je quitte les locaux de l'ordre le plus souvent possible et je préfère m'entraîner dans les terrains extérieurs. Je ne suis donc pas blanc comme un linge mais je fais tout de même attention à ne pas être trop noir, ce n'est pas beau. Je suis bronzé juste ce qu'il faut pour ne pas se faire remarquer en fait… Mais ma peau a une autre particularité, elle est couverte de cicatrices. Il y en a plein, des petites, un peu partout. Ce sont les… stigmates de mon entraînement et de mon… éducation. Il y en a quelques unes, tout de même, qui sont plus imposantes que les autres. Celle sur mon bras droit par exemple. Elle part du coude et remonte jusqu'à l'arrière de mon épaule. Elle est sinueuse et très blanche. Il y a aussi celle qui a faille me coûter la vie : sur mon ventre. Elle n'est pas très large, mais assez épaisse. C'était pas n'importe quoi ce couteau… Et sinon, j'ai des cicatrices de balles aussi. Deux sur la cuisse gauche, une à l'épaule droite, pas loin de la balafre (enfin, le trou de sortie de la balle n'est pas loin de la balafre vu que le trou d'entrée est de l'autre coté…).
En ce qui concerne les tatouages et les piercings, je n'ai pas eu l'occasion jusqu'ici, mais peut être qu'en prison je le ferai… On verra bien… Y a des chances pour que je me fasse des piercings en fait, j'aime bien les bijoux. Je porte pas mal de bagues en argent sur mes doigts fins. J'arbore aussi un gros bracelet de force sur le poignet droit et un nombre variable de collier et chaînes à mon cou. Toujours en argent.
Autre chose ? Ah… Vous voulez savoir à quoi je ressemble… Bah, ça vous aidera pas à grande chose en fait, mes cheveux me tombent constamment devant le visage. A l'origine, ils sont noirs de gaie mais avec le soleil, ils ont tendance à s'éclaircir et à tendre vers le châtain. Je les porte mis longs, jamais vraiment coiffée. Ils tombent donc, comme je le disais, devant mes yeux, mais ils ne m'empêchent pas vraiment de voir clair. En fait, je ne compte pas vraiment sur mes yeux. Pas qu'ils soient aveugles, mais ils sont très sensibles à la lumières. Faut dire qu'ils sont d'un bleu très dilués, un truc pas vraiment net… genre de l'eau sale un peu grise… Une lumière trop vive me rend aveugle en fait, mais j'ai appris à faire sans. Il m'arrive même de fermer les yeux et de m'orienter aux sons. J'ai une ouie très développée. Mon visage est à l'image du reste de ma personne, fin et d'apparence fragile, pourtant, quand j'use de mon regard, il est suffisamment perçant pour mettre les gens mal à l'aise et leur faire comprendre que ma douceur n'est qu'un masque…
En ce qui concerne ce qu'on appelle le style vestimentaire, je n'en ai pas vraiment. Je mets ce qui me tombe sous la main. Des jean de préférence, des tenues dans lesquelles je suis à l'aise. Des trucs déstructurés. J'ai même déjà volontairement décalé les boutons de ma chemise en les attachants pour donner cet image négligée… Un T-shirt déchiré, une chemise à moitié ouverte, sale ou vieillie… La petite touche, en plus du bracelet de force et des colliers, c'est parfois une cravate ou un ceinture à clou ou avec une quelconque autre particularité. N'est-ce pas étrange ? Moi qui suit la discrétion même, je m'habille d'une manière assez… dérangeante… Peut être pour que les gens détournent le regard…

Taille- Ni petit, ni grand… 1m88.

Poids- Plutôt trop maigre, mais je n'en suis pas moins musclé. 67kg.

Maladie ou handicap physique- Si ce n'est la trop grande sensibilité de mes yeux et mes multiples cicatrices, rien à signaler.

Autres- Ah oui, détail important… je suis gaucher.




Qualités- Je suis quelqu'un d'efficace. Je termine toujours ce que je commence. Expert en combat, tir, meurtre (bien sûr), anatomie humaine… Pourquoi anatomie humaine ? Bah, c'est plus pratique quand on veut faire souffrir les gens, non ? Bon, mes qualités à part ça… Une intelligence assez développée avec un bon niveau de stratégie. Je suis très doué pour l'improvisation et, globalement assez chanceux (si on omet que je me suis fait prendre par la police). Je suis agile et je ne m'encombre pas de tous ces petits détails qu'on appelle remords, doutes, sentiments… Non, je n'ai pas ce genre de faiblesse. Considérant mes yeux comme un handicap, j'ai pris l'habitude de développer mon ouie et je suis donc capable de m'orienter sans difficultés dans le noir le plus total. Je peux aussi me battre dans le noir, d'ailleurs. Je suis très calme et très patient. Je peux rester des heures à attendre sans m'ennuyer, en restant concentré. Je ne m'énerve jamais, je ne suis pas violent quand ce n'est pas nécessaire (c'est à dire quand je ne suis pas en train de tuer). Très endurant, je peux tenir une planque dans la même position (même inconfortable) sans ressentir de gène et je peux courir à un rythme soutenu pendant un temps suffisamment long pour semer d'éventuels poursuivants. J'ai toujours respecté mon maître même si je ne l'ai pas vraiment montré et j'ai un sens aigu de la hiérarchie et du devoir. Je n'ai aucun mal avec l'autorité… si et seulement si elle vient de l'ordre.

Défauts- Je ne suis pas du tout quelqu'un de social. Je suis même du genre carrément solitaire. Je ne parle pas aux gens et leur présence m'indiffère. Je n'irais pas jusqu'à dire qu'elle m'insupporte mais je n'ai aucune affinité pour parler avec les gens et encore moins pour tenir une conversation. Je ne suis même pas capable de parler de la météo. J'ai toujours agis en solo et j'ai eu la chance que mon maître se désintéresse de moi car ça m'a permis de me développer seul. La raison pour laquelle il ne s'intéresse plus à moi ? Mon manque total de sentiments exprimés je suppose. Je suis toujours neutre. Aucune expression n'anime mon visage. Mais en fait ce n'est pas que nom visage qui est vide. Mon esprit aussi l'est. Je ne sais pas ce qu'est le plaisir, le bonheur, la colère, la peine, la frustration… Je ne ressens jamais rien, tout coule sur moi sans que je ne m'en rende compte. J'encaisse la douleur sans sourciller et une bonne ou une mauvaise nouvelle n'obtiendra aucune réaction autre qu'un hochement de tête. On m'a souvent reproché mon manque de vitesse. Effectivement, je prends mon temps quand je tue. Mais qu'est-ce que ça change tant que la mission est accomplie ?

Aime- Question difficile s'il en est… Demander ce qu'il aime à quelqu'un qui ne ressent rien… Est-ce que j'aime mon boulot ? Je ne sais pas, je n'ai jamais connu que ça, je ne peux pas juger… Je n'ai que ce mode de vie. Si j'aime mon maître ? Je le respecte, c'est certain, mais je doute que ce soit de l'amour… Si j'aime le sexe ? Quoi ? Vous pensiez que je ne savais pas ce que c'était… Si, je sais… et ça me laisse indifférent. Il n'y a peut être qu'une seule chose qui peut m'apporter quelque chose proche de ce qu'on appellerai "apprécier"… la souffrance. Quand je tue, je prends toujours mon temps. On dit que je suis cruel, mais j'ai besoin de ça, entendre ces cris, ces suppliques, voir cette souffrance, ces larmes… Comment décrire ça… Je ne peux m'empêcher de sourire dans ces moments là. J'ai le sentiment d'exister réellement. Provoquer la peur et la souffrance me fait du bien. L'odeur et la couleur du sang, je ne m'en lasse pas. Il m'arrive même de le goutter. Parfois, quand je suis obliger de tuer vite, je fais une mise en scène macabre avec le cadavre. Oui, je crois bien que j'aime ça. La cruauté, le gore… Je me sens bien quand je suis à l'air libre, quand je peux me sentir seul au milieu d'une immensité de végétation ou de quoi que ce soit d'autre… dehors.

N'aime pas- On se retrouve dans le même cas… Il n'y a rien qui m'horripile au point de dire que je ne l'aime pas. Je ne suis pas un grand fervent de la compagnie comme je l'ai déjà dit. Je fuis autant que possible les contacts humains et je ne travaille jamais en équipe. Les autres sont comme des entraves à ma liberté en fait. Je les vois comme des chaînes, des obstacles qui m'empêchent d'être moi même… Ah si, il y a quelque chose que je déteste particulièrement : les lumières trop vives. J'ai passé beaucoup de temps au soleil mais toujours avec des lunettes pour protéger mes yeux. Une lampe trop forte, un éclair ou un phare de voiture… Toutes ces choses ne sont que des agressions pour moi. Je ne les supporte pas. J'ai aussi toujours besoin de liberté. Etrangement, même si le soleil m'indispose, je préfère être dehors dans un bois qu'enfermé dans une chambre ou une bâtisse. Les chaînes et les portes fermées sont comme des défis à mes yeux. Je veux toujours les rompre, m'en libérer. Ils m'oppressent, m'étouffent… J'ai besoin d'espace.

Comportement avec les gens- Je ne causerai aucun problème. Je resterai dans mon coin, ne parlant à personne, n'embêtant personne… En attendant mon heure… Et je doute qu'ils me fassent attendre longtemps…

Maladie ou handicap mental- Rien à ma connaissance à moins que cet tendance à l'isolement soit considéré comme une preuve d'autisme mais ça me paraîtrait absurde…

Valeurs- Celles de l'ordre, bien sûr. Le respect de la hiérarchie et de mon devoir. Le respect inconditionnel pour mon maître et l'obéissance aux ordres. La famille aussi, bien sûr…

Tics- Aucun à ma connaissance.

Passé- (en double post, c'est trop long...)

Autres- Je ne pense pas que je vais rester ici bien longtemps… Même si je ne suis pas du genre bavard, ils vont forcément envoyer quelqu'un pour me faire taire…




Crimes commits- Un nombre non définit de meurtres prémédités tous plus cruels les uns que les autres.

Matricule- 098765

Rang- La cruauté pour signature.

No. de cellule- Je sens que je vais être dans la 26… ou seul dans la 27…

Personnage sur l'avatar- Personne. Ce sont des créations d'artistes de Deviantart.

Passé- Mes parents ? Des frères et soeurs ? La ville où je suis né ? J'en ai aucune idée. De toutes façons, si jamais j'en ai eu, ils sont tous mort. Je connais la façon de fonctionner de l'ordre, même le gars qui m'a enlevé est mort alors bon, retrouver mes origines ce n'est pas vraiment possible... Et puis ça m'interresse pas tellement, qu'est-ce que j'en ferais ? J'ai été enlevé, je marchait à peine à mon avis, alors bon.
Quoi qu'il en soit, dès mon arrivée, j'ai été placé avec les autres, dans leur "école". Ils m'ont appelé Stigmate. Pas facile à prononcer quand on est un gosse mais j'aime bien ce nom. Parmis tous les noms que portent les membres de l'ordre, celui-ci à un avantage certain, il n'est pas prononcé trop souvent.
Rapidement, on m'a attribué un maître. Certains disent que dans la famille Persévérance on trouve pas mal d'assassins ratés. Je pense que Terreur en est un. Il était jeune quand on m'a confié à lui. Il a toujours été dur et intransigeant avec moi. Un adepte de la perection. Il m'a tout appris mais il ne m'a jamais donné d'amour ou quoi que ce soit de similaire. J'ai donc développé cette personnalité froide et détachée. Il m'a enseigné que les autres étaient des faiblesses, qu'il ne fallait faire confiance à personne, que l'humanité n'était qu'un poid, un lourd fardeau... Je n'ai donc jamais ressenti le besoin des autres, de compagnie. Je l'avais lui, ça me suffisait.
J'étais pourtant un enfant dynamique, je crois. J'aimais bien aller dehors, m'entrainer encore et encore, me surpasser constemment. J'avais la quête de la perfection, du mieux... Mais je ne montrais aucun plaisir, aucune satisfaction, aucune peur non plus, même pas de doute, d'inquiètude... rien.
Et je crois que ça l'a ennervé.
Quand j'ai eu 13 ans, mon maître a jugé qu'il était temps de me faire réagir. Voyez vous, dans l'ordre, les maîtres ont tous les droits, tous pouvoir sur leurs élèves. Et Terreur ne supportait plus mon indifférence constante. Il m'a puni d'une manière bien cruelle : le viol. La première fois, il a fait en sorte que ça soit le plus douloureux possible. Il voulait que je crie, que je pleure, que je le supplie... A moins que ça n'ait juste été une épreuve pour savoir si j'avais bien assimilé ma formation, si j'étais assez résistant à la douleur et à la torture... Je l'étais. Je n'ai pas bougé. Je n'ai pas dis un mot. Je l'ai laissé faire.
C'est deveu rituel. Régulier. Mais je restais totalement impassible quand il faisait ça. Son enseignement était devenu plus dur encore, plus complet aussi. Il me formait à me tenir en société, à séduire... Il a tenté de me donner le gout du sexe avec d'autres que lui, le plaisir de la torture... Mais la seule chose pour laquelle j'ai été réceptif, c'est la souffrance. Je devenais de plus en plus cruel et distant de tout. Je provoquais des effusion de sang. J'ai fait plusieurs contrats en sa présence avant d'être considéré comme formé et il me trouvait gratuitement violent et cruel. Il ne comprennait pas cette nécessité que j'avais de faire souffrir mes victimes alor que l'ordre préconise plutôt la rapidité et la discretion. Tout ce sang toute cette douleur, c'était assimilé à un assassinat brouillon alors que c'était totalement voulu.
Terreur avait-il peur de ce qu'il avait fait de moi ou s'est-il tout simplement lassé ? Je l'ignore. Quoi qu'il en soit, il s'est désintéressé de moi. Il ne couchait même plus avec moi depuis plusieurs mois quand j'ai été considéré comme formé. J'ai toujours un grand respect pour lui parce qu'il m'a tout appris mais sa présence ne me manque pas. Je m'occupe de mon entrainement par moi même, me perfectionne sans guide et me suisisolé de plus en plus du reste de l'ordre. Mes seuls contacts avec l'ordre se résumaient à recevoir les contrats et à faire mes rapports.
Mon isolationisme au sein de cette grande communauté était tolérée parce que j'étais un bon élément, éfficace et obéissant. Je ne sais pas combien de personne j'ai tué. Je ne me souviens même pas de tous les visages tellement il y en a eu. Même mon premier meurtre s'est effacé de mon souvenir.
Par contre, le dernier, c'est autre chose. Mon dernier meurtre était un piège. Enfin, non, mais il ne s'est pas bien passé. Mon premier échec... le dernier aussi. Mais je termine toujours ce que je commence. Je devais tuer cet homme, je l'ai tué... Pourtant, j'ai failli ne pas pouvoir le faire. L'identité de la cible n'a aucun intérêt. Je l'avais attaché à la chaise de son bureau et foutu à poil. Je m'occupais à dessiner des arabesques sur son corps avec la pointe de mon couteau alors qu'il me suppliait de le détacher, de le laisser partir. Il voulait me payer, il me promettait monts et merveilles contre sa vie. Même les plus radins se montrent très généreux au moment de mourir. Et puis il a pas mal paniqué aussi... Faut dire que mon expression absolument pas concernée alors que j'étais en train de le scarifier...
Mais j'avais fait une erreur. Les murs n'étaient pas assez épais et les voisins ont entendu ses cris (je l'ai appris au moment du procés). La police est arrivée avec moult renforts. Ils m'ont immobilisé un peu trop rapidement mais je suis plus agile qu'ils ne le pensaient. J'étais debout à côté du bureau, un flic derrière moi et les autres détachaient ma cible. J'étais calme et neutre, ils ont baissé leurs gardes. Mais je n'avais pas fini mon boulot et il était hors de question de faire les choses à moitié. Ca a été très rapide. Je me suis baissé pour attraper un stylo entre mes dents et je me suis précipité sur le mec. N'importe quoi peut servir d'arme quand on sait comment s'y prendre. Je le lui ai planté dans la carotide...
Effusion de sang, j'en avais partout et eux aussi... Bon, bien sûr, un meurtre devant témoins quand les témoins sont des flics armés qui nous ont déjà déclaré vos droits et menoté... Bah ça aide pas pendant le procès.
Bien sûr, j'avais accompli ma mission, c'était l'éssentiel, mais je n'étais plus libre. Et dans l'ordre, un membre défaillant est un membre mort. Je pense que si je n'ai pas été tué pendant le procés c'est parce que j'étais placé sous haute surveillance et constemment entouré de policiers armés jusqu'aux dents.
Je n'ai pas dit un mot pendant le procés. Je n'ai pas cherché à me défendre (c'était vraiment inutile) ni à attendrir les jurés. Je suis certains qu'ils étaient là. Prêts à me faire taire si je me mettais à parler d'eux. Et préparant la suite... Mais je n'ai rien dit. Je suis un membre actif de l'ordre et je ne le trahirai jamais même au prix de ma vie.
Le verdict est tombé rapidement : perpetuité avec expatriation. Ils m'envoient en Allemagne, à Sadismus Jail.

C'est excellent ^^ Je te valide de ce pas. Tu seras dans la cellule 25 (eh oui, prédiction loupée XD)

Bon jeu ^^

Merde, comment j'ai pu me planter ? (enfin, il était deux heures du mat quand j'ai écrit ça... -_-")

Merci pour la validation mon petit boulet chéri que j'adore

*fait un gros calin*

Comment ça je suis un boulet ? XD

c'est toi qui l'a dit

*ne se souvient pas de ce qu'elle dit dans tous ses mp*

ah ... j'ai tendance à m'auto-flageller ¬¬'