Une belle journée pour une fin de vie ...

Invité

Enfer, ça fait trois plombes qu’on marche, pourquoi a-t-il fallut que la vieille auto de ce gardien de malheur tombe en panne. Dieu merci il fait beau, des oiseaux chantonne, rien ne laisse a croire qu’on bout de cette longue route se tient une prison redouter de tous. Etonnant d’ailleurs. Les quelques rayons de soleil qui parviennent à percer l’épaisse couche de feuillage laissent entrevoir au loin un imposant bâtiment. On doit y être. J’entends alors une voix derrière moi :

- Hey attend moi ! Ou alors fuit pendant qu’il est encore temps ! Ah ! Ah !

Je me retourne alors regardant le pauvre gardien peiner à me suivre. Je devrai fuir… pff ! Et pour aller où ? Dans la foret ? Nah nah… Je marche donc sans attendre le vieux croûton qui me suit. Lorsqu’enfin j’arrive aux portes de l’établissement, le gardien est quelques centaines de mettre derrière à ronchonner…

-Si jamais je te rattrape avant qu’ils ne t’aient fait rentré tu… tu vas… tu vas le regretter…

Et moi j’attends, j’attends devant cette énorme battisse, près de laquelle règne une atmosphère étonnamment froide et sèche. C’est alors que me viennent d’étranges sentiments, comme un goût d’amertume au fond de mon palais. C’est a ce moment la qu’une sorte de doute pénètre en moi, accompagné de mille et une questions.
Comment est ce à l’intérieur ? Y a-t-il autant de psychopathe qu’on aime à le dire lorsque l’on veut effrayer les plus naïf ? En est il de même pour les gardiens ?
Il me vient, une fois calmé d’autres questions. Y a-t-il de jolie dame ? Les lits sont-ils confortables ? Y sert on de l’alcool ? Je pense que a ce moment la je ne me rend pas assez compte de la galère dans laquelle je vais plonger tout le reste de ma vie. Tout le reste de ma vie … tout le reste de ma vie…
Je sors alors de mes pensées quand j’entends derrière la lourde porte comme un bruit de cliquetis…
Ca y est… Il est temps…

Invité

Hum... j'adore ce traitement pour combattre ma maladie ! Maria accepte de se voué corps et âme, 24heure sur 24 et 7jour sur 7 ! Ceci est un pêché d'aimé au temps le sexe ? je veux finir en prison directement alors ! Mais... j'y suis déjà ! Quel crétine je fais. Bon ! Partons faire mon job crétin que j'aime pas mais que je suis obligé à faire. Qui dit je vais surement trouvé un Jolie garçons. Hum ! J'en voudrai un, les garçons, sa me manque...

Je partis donc dans le bureau dans le quel on centralise tout les dossiers. Je pris ceux de cette heure, un garçons. Voici la seul chose qui m'intéresse ! Je partis dans la cour en ordonnant d'ouvrir les portes. Moi toujours avec le même habit, débardeur et mini jupe.
Je le vus de loin et juste de loin je le trouvais craquant. Une fois arrivé près de lui je remarqua que sont gardien était essoufflé et regardais ma mini jupe telle un pervers. Encore un crétin qui ce tape personne !

Une fois sont gardien partis je me mis devant lui, une envie débordante de l'embrasser me pris mais je me dis que j'allais patienté. Je dis d'une voix douce.

-Bienvenu... quel est votre nom ?...

Invité

Et me voila a regarder tête baissé le dallage de l’entrée, attendant que l’on me fasse entrer dans le lieu dans lequel j’allais finir ma vie. La grande porte s’ouvre enfin, et je peux entendre marcher vers moi. Je continu a scruter le sol, lorsque soudain apparaissent devant moi deux belles jambes fines portant a leurs pieds de magnifiques chaussures à tallons. Le goût amer quitta très vite ma bouche, pour cette délicieuse saveur sucrée lorsqu’une voix douce et sensuelle me demande mon nom. Je relève ma tête et découvre ainsi une jolie jeune femme, au beau minois et aux formes généreuse. Elle a de magnifiques cheveux roses qu’elle laisse lâchés, les laissant glisser sur son débardeur. Je surpris l’une de mes mains lié sa diriger lentement vers la minijupe de celle qui se tenait devant moi. Dans une autre situation, j’aurai laissé mes mains agir, mais là, j’avais trop peur qu’un écartement de conduite me conduise directement sur la chaise électrique. Au lieu de ça je fis dériver légèrement la trajectoire de ma main pour me saisir de l’une de celles de la jeune femme. J’y dépose alors un baiser tout en gardant mon oeil river dans les siens. C’est bizarre, elle me parait étrangement tendu. Comme si elle se retenait de quelque chose, peut être de me mettre une baffe. Enfin bref de toute façon j’ai commencer, je continu ! Je tente alors :

- Bonjour jolie dame, on m’appelle Ellos. Puis je avoir l’honneur d’en connaître le votre ?

Voila, soit elle prendrai sur le ton de la rigolade et me laisse rentrer, soit je me prend une belle claque. De toute façon dans les deux cas… je rentre…

Invité

Quel magnifique garçons et très distingué ! Il est parfait... je me demande quel crime il aurait pus faire... hum... viol ? Je pense pas la fille devrai être consentante vus sa beauté ! Un homme comme ceci on ne le refuse pas. Mes joue rougissais un peux face à ses manière puis il me dit sont nom et me demanda le miens, soit il fait exprès et me charme et je l'accepte, soit il le fait pas exprès et est un garçons très noble.

-Je m'appelle Jaina.

Je me mis derrière lui puis lui retira ses menotte. J'en profitais en même temps pour lui caressé quelque peux sont dos et ses fesse. Je le veux ! Un homme comme ceci on le refuse pas !
Une fois ses menotte retiré, je me mis devant lui en patientant quelque petite seconde... des secondes lourde comme je déteste ! Puis je dis d'une voix encore et toujours douce.

-Vous avez fait quoi pour finir ici ?... Mignon comme vous êtes ! Vous ne méritez pas ceci.

Pitié, fais le premier pas ! Je t'ai laissé toute les cartes face à toi ! A toi de joué !

Invité

Elle me dit alors son nom, elle s’appelle Jaina. Hum… joli nom… Elle se place derrière moi et m’enlève mes menottes et, je ne sais si c’est volontaire ou non, mais elle me caresse le dos et mes fesses… Ah !! Elle tiens absolument m’exciter ou quoi… Elle se repositionne devant moi, et attend quelques seconde. Quelques secondes durant lesquels mes yeux ne quittent pas ses forment plaisantes. Elle se tient là devant moi, a un ptit mètre. Je suis a bout j’en peut plus, si ça continu je vais lui sauter dessus… retient toi Ellos, retiens toi !!! Ses cheveux ondulants au gré du vent font naître en moi mille et une idée toute plus perverse les unes des autre. Je peux sentir une perle de sueur qui coule le long de mon front. Si elle fait encore une chose susceptible de faire naître en moi quelque désir, je vais craquer… C’est alors qu’elle finit par me demander ce que j’ai fait, et j’allai répondre lorsqu’elle m’avoua d’une voix tout aussi douce et chaude que la première fois qu’elle me trouvait trop mignon pour mériter ma situation… C’est la goûte d’eau qui fait déborder le vase.
Je me détend alors, je lève la tête et la regarde dans les yeux. Sur mon visage commence a se tracer un sourire quasi machiavélique. Je fais un pas avant, je la saisi au niveau de sa minijupe de ma main droite, quand a ma main gauche, je la fait glisser du long de son dos jusque sa nuque. Et c’est ainsi que rapprochant mon visage du sien je parvient a murmurer ce mot avant de l’embrasser : « Viol… ».

Invité

Il va craqué ? Il a l'air de me désiré tellement ! Hum... faite qu'il craque faite qu'il m'embrasse et que je puisse me le faire ! J'ai besoin d'un homme bien viril j'en ai trop besoin... Need comme dis les anglais ! Je veux enfin avoir un homme car les relations lesbiennes sont désormais d'une banalité, même si je t'aime Maria ! Rah... quand Astrid va enfin ce faire poussé les cheveux ? Elle serait pourtant si belle !

Il s'approche, il aurait craqué ? Il mais sa mains au niveau de ma mini jupe, l'autre sous ma nuque et m'embrasse, Sa faisais longtemps que je n'avais pas eus la langue d'un homme dans ma bouche ! J'avais presque oublié le plaisir et l'excitation que ceci causais en moi ! Après quelque minute je l'arrêta, même si il avait violé le m'en moquais ceci lui donnais de l'expérience !

-On va plus loin Don Juan ?...

Sans attendre sa réponse je le guida dans ma chambre, je fis entré et verrouilla la porte. Je m'assis après sur mon lit attendant avec grande impatience qu'il me touche.

Invité

Ah ! Ses lèvres ont une douce saveur, comme un mélange de plusieurs aromes féminin. Etrange certes, mais si plaisant ! Me voila donc devant cette prison, embrassant la gardienne qui était sensée me faire entrer dans un enfer duquel je ne ressortirait sûrement jamais. Elle semble prendre plaisir à mon baiser, comme si elle l’attendait. Mais étrangement, elle me repousse. Pourquoi ? Avais-je fais un pas de travers ? Je compris qu’au contraire, j’avais su user de mes charmes lorsque m’apprêtant a baisser la tête en signe d’excuse, celle si me propose d’aller plus loin… Et comment ! Je n’ai même pas le temps de répondre, que me voici traversant les couloirs sombres et froid des couloirs a fond la caisse ! Tenu par la main comme ces jouets auxquels les petites filles ont hâte de jouer. La seule différence ici, c’est que c’est une grande fille et que je suis une autre sorte de jouet, un jouet qui aime être un jouet ! Elle me fait alors entrer dans une chambre qui apparemment est la sienne. Elle ferme alors la porte et va s’asseoir sur son lit. Bénie soit cette gardienne ! S’aurais pu être un de fantasme, avec une gardienne, mais a vrai dire je n’y avait jamais penser. Bref, je me rapproche donc lentement de son lit, je dépose un genou à coté d’elle, et mes mains reprenant leurs places sur sa minijupe et derrière sa nuque, je la fais basculer lentement sur le lit. Là, je glisse ma main droite sous sa minijupe, et a moitié sous sa petite culotte, tandis que de l’autre, je dégrafe avec une facilité du a l’expérience son soutient gorge. J’accompagne évidemment le mouvement de mes mains, avec celui de ma langue qui partant de sa bouche était descendu le long de sa nuque. C’est donc le moment que je choisi pour glisser d’un murmure sensuel et chaud :

- Belle miladys, quand est il de vous ? Êtes vous prête a aller bien plus loin ?

Invité

Il ce laissa entrainé avec une certaine ardeur, j'avais envie de le testé, après tout les mecs qui viol on beaucoup d'expérience mais en général peux pas l'user sur tout le monde ! Alors il viol... Quel cruel châtiment pour une personne si bonne de finir ici. Mais bon oublions ceci et abandonnons à ses fantasme !
Je le laissa m'allonger et me caressé quelque peu, il me touchait merveilleusement bien et m'embrassais un peu partout. Je fermais les yeux pour avoir le maximum de plaisir. J'adore les mecs rapides comme lui ! En deux mots il couche avec moi ! J'adore...

-Oui ! Je vous suis totalement dévoué corps et âme.

Telle est la phrase obligatoire pour dire que je suis soumise à mon homme et qu'il a droit de me faire tout ce qu'il veux ! Toute cochonnerie comme dirai les autres idiots !

Invité

En réponse a mes mots, Jaina me dit m’être dévouer corps et âme. Je mentirai si je disais ne pas en attendre plus, mais je mentirai aussi si je disais ses dires n’ont aucun effets sur moi. Et bien au contraire, j’attends même pas qu’elle finisse sa phrase que d’un geste tout aussi habile que lorsque je lui ai décroché son soutien-gorge, je lui ôte son débardeur, emportant son bustier avec. C’est alors, sa poitrine a présent à nue, que je fais encore descendre ma langue jusqu'au niveau de ses seins. Là, j’effectue de petit mouvement circulaire, tantôt suçotant, tantôt mordillant, les tétons légèrement durcis par l’excitation de la jeune femme.
Mon autre main ne reste pas chômeuse, celle-ci s’immisce un peu plus dans la petite culotte de Jaina pour enfin parvenir jusqu'à ce que j’aime nommer la perle, c’est à dire le sexe de la gardienne. J’exécute ensuite de vas en viens lents a la surface de la zone la plus érogène du corps de Jaina.
Tout cela semble avoir son effet, je peux sentir cette douce odeur significative de plaisir émanant du corps de la jeune femme. Et je me délecte de cette odeur a laquelle j’ai su par le temps prendre plaisir. C’est bon, ça fait du bien… Mais… Il m’en faut plus. J’espère qu’elle le comprendra, autrement… Autrement je me verrai obliger de partir, de la laisser en plan. Je passerai sûrement pour un salaud, mais là, j’ai plus l’impression que ce soit elle le jouet. Comme si je jouait avec une poupée de laquelle ne se dégage aucune émotion, aucune réaction… Ca m’en écoeure presque… Bon il faut que je lui fasse comprendre, mais subtilement. Je tente alors dans un murmure :

- Douce Jaina, si votre corps est mien, je peine a y déceler votre âme.

Invité

C'est caresse était si douce et si excitante à mes yeux. C'est un professionnelle et je voudrai pas qu'une perle comme ceci me quitte ! Surtout que les relations avec les hommes mon t'en manqué. Je me laissais aller sous ses caresse en gémissant quelque peu et bougeant sans comprendre pourquoi. Il me faisait beaucoup d'effet. Je voulais lui donner aussi du plaisir, ne jamais prendre tout le plaisir, telle est ma "loi".

A contre cœur, je l'arrêta, le fis basculé doucement sur le côté puis l'embrassa. J'étais sur lui, j'avais envie de voir cette chose qui me donnera bientôt énormément de plaisir. Telle un fauve je retira tout ses vêtement sans les déchirés. Puis une fois ceci fais, je l'embrassa, le cou, le torse, puis commença à caressé quelque peux sont membre avec ma main pour lui donné plus d'ardeur. Ceci fais je descendis encore plus et le "suça" comme jamais. J'espère que ceci lui plaira !

-Hj- Désoler du retard... -Hj-

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