Une arrivée froudroyant...[pv : Böse]

Invité

Suite a la vue que je tenta d'entrainer des personnes a s'évader avec moi plusieurs garde arriva et me maitrisa...il me traina dans le bureau du chef suprême de ce lieux écorcher de partout...
-Grrr...quand je sortirai je vous jure que !...
Je me fis frapper par un garde et fût mis K.O. quelque temps...Puis je me réveilla enchainer a une chaise devant le directeur de la prisons
-Alors ? C'est vous le gros salaud qui m'héberge ici?...Rha...Aie...tes putain de garde mon fait vraiment mal...attend un peux que je les tues !
Il resta sans parole et continua toujours aussi vulgairement
-Alors crétin ? On dit rien ?...Libère moi et tu va voir ce que tu va voir...je prendrai ta tête et j'en ferais un trophée au dessus de ma cheminer ! Je la contemplerai pendant de longue heure en ricanant ! Attend un peux...Grrrr

Je la vus quelque seconde plus tard quand elle s'approcha de moi
-Que ? Quoi ? Une fille ?...je...je suis désoler...je vous...avais cru pour le maitre et...

(J'espère que je me suis pas tromper de partie pour parler au directeur de la prisons ^^ )

Le bureau de la direction…Un large bureau en bois d’ébène regroupant des dizaines de dossiers tous classés méticuleusement à droite et à gauche d’une lampe éclairant faiblement la pièce et surtout le bas. Je n’étais sortie de mon bureau depuis longtemps, j’avais cessée les rondes où je faisais glisser ma matraque contre les barreaux, où je m’entraînais à manier le tonfa sur les détenus. Il m’arrivait même de dormir plusieurs nuits d’affilées dans ce grand fauteuil de cuir noir bien trop grand pour moi même si ma taille était plus élevée pour un membre de la race féminine. Je m’y asseyais en boule et le noir du cuir semblait m’envelopper complètement, j’adore ce fauteuil qui me rappelle que rien n’est acquis et qu’il faut travailler pour entrer dans les choses « de taille ».
Je n’étais même plus sortie pour aller chercher les nouveaux arrivants, je me contentais de donner le dossier à un gardien, dossier que j’avais étudié pendant des heures pour cerner la psychologie de chaque personnes entrant dans mon établissement. Si l’un d’eux fait quelque chose de travers il entendra parler de moi mais en ce moment rien de très intéressant ne parvenait à mes oreilles. Certes je n’ai pas besoin de motif pour aller me défouler sur certains mais bon. Et puis je ne suis pas sortie d’ici depuis un petit moment, les nouveaux venus se demandent même si je ne suis pas une légende pour faire simplement peur, après tout je ne suis que cela pour eux : une figure d’autorité que l’on craint ! même les gardiens ont de la réserve avec moi, entre eux ils s’entendent bien mais avec la directrice on fait profil bas. Heureusement que je n’ai pas trop besoin de rapport sociaux, si j’étais aussi sentimentale que Nett je me serais déjà empalée sur les barbelés ! D’ailleurs ma sœur ne cessait de courir çà et là pour aller voir si les détenus ne manquent de rien, à cette allure ils vont tous devenir des assistés. Manquerait plus que Sadismus devienne comme toutes ces prisons qui offrent à leurs occupants des salles de sport, des télévisions et d’autres choses du genre. Je suis pas assez enfermée dans mon bureau pour que cela arrive et cela n’arrivera jamais.
Mon Dieu ou sinon je serai obligée d’aller consulter moi même la psy que j’ai employée ! Damned sûrement pas Sadismus restera un lieu de purification des âmes pécheresses ! Je dis ça et je suis la première à cracher sur la Bible, que suis je ?! Mouahahahahaha.

-Grrr...quand je sortirai je vous jure que !...

Rhoo c’est quoi ça encore ? Quelqu’un qui vient me déranger pendant le retour de mon esprit frénétique et hérétique. On peut pas retrouver son sadisme tranquille ici ? Serais ce un signe ? Oh oui je dois me remettre à donner justice moi même. Ô ma salle de torture qui a vu passer les mains expertes des allemands, je vais enfin venir te retrouver, t’offrir des cris comme preuve de mon amour pour toi, nous allons retrouver notre complicité toi et moi. Pour toujours et à jamais : je suis revenue, les bureaux juste pour les entretiens privés qui finiront en salle de torture oh oui !! Je revis !!
On frappa à la porte de mon bureau, une fois mon autorisation donnée plusieurs gardes entrèrent en traînant une gamine derrière eux. Pas difficile de déduire que c’est elle qui avait grognée juste avant en interrompant mon petit moment de plaisir. Depuis quand les gamines sont elles des machines à tuer ? Ah la jeunesse c’est bien des bêtises maintenant, je vais te redresser tout ça moi, quitte à ce que ce soit parce qu’ils auront trépassés…Raide comme un cadavre passé à la chaise ! Oh ouiiiiiiiii la chaise électrique !

« Attachez moi ça là et racontez moi le problème. »

Ils s’exécutèrent en me bafouillant que cette jeune furie avait essayée de s’évader en entraînant tous les autres détenus. Mouais pas difficile d’imaginer que peu de monde ait écouté cette donzelle vu son âge et apparemment son langage plus que vulgaire. Et bien j’étais bien loin de la réalité quand je l’entendis à son « réveil ». J’avais laisser la petite lampe de bureau allumé, elle éclairait le visage de la gamine vu qu’elle était assise tandis que moi j’étais debout, appuyée dos contre la fenêtre aux volets fermés, il ne devait y avoir que mes jambes de visible et sous un pantalon noir type militaire elle dut me prendre pour un homme…

-Alors ? C'est vous le gros salaud qui m'héberge ici?...Rha...Aie...tes putains de gardes m’ont fait vraiment mal...attend un peu que je les tues !

Et bien ! Elle passe du vouvoiement au tutoiement avec vociférant comme une garce et en sortant autant de gros mots qu’un campagnard. Une langue à couper dirais je.

-Alors crétin ? On dit rien ?...Libère moi et tu vas voir ce que tu vas voir...je prendrai ta tête et j'en ferais un trophée au dessus de ma cheminée ! Je la contemplerai pendant de longues heures en ricanant ! Attend un peu...Grrrr.

Alors là !! Sans décroiser les bras je me détache de la fenêtre et m’avance vers elle, entrant dans le champ lumineux elle fit que je n’étais guère un homme. Bravo petite bonne déduction or tu crois que je ne suis pas « le maître »…attend un peu de voir. J’ai un petit rictus sadique sur mes lèvres alors qu’elle bafouille des excuses parce que je suis une femme et non un homme, décroisant mes bras je pose mes mains sur le bureau et me penche vers elle pour rapproche mon visage du sien. S’en suivit une gifle assez forte qui claqua dans toute la pièce avant que je me redresse.

« Je suis une fille oui mais je suis le maître des lieux. Et que voilà une vilaine fille au mauvais langage ! tutututut il va me falloir corriger cela avant que je ne coupe cette langue vulgaire ! »

Invité

Je me pris une gifle avec beaucoup de force et me demandais ce que je fesais ici...vraiment tous des fous...s'ensuivit de
« Je suis une fille oui mais je suis le maitre des lieux. Et que voilà une vilaine fille au mauvais langage ! tutututut il va me falloir corriger cela avant que je ne coupe cette langue vulgaire ! »
Que je ne tarda pas a répondre de ce pas...
-Une fille ? UNE FILLE ? MAITRE DE SES LIEUX ! C'est trop fort ! Si je n'avais pas aussi mal a cause de tes putin de garde je te jure que je me serai marré pendant des années !...ma foi...Je préfère garder ma langue...!
Je pensais avoir fais une grosse gaffe mais continua...
-Mouai bon...tu parle d'une prisons ! Des gardes qui ce croit tout permis...des salles qui sens le cochon mort et laisser depuis 8 mois...Vraiment ! C'est pas une prisons mais un camp de détentions provisoire ! VRAIMENT ! Provisoire !...Quand je serai sortie je te ferai ravalé ses mot sale vipère ! Attend un peux que je sorte !
Un garde me donna un coup assez fort sur la tête et dit
-Hola ! Tout doux...elle prendrait plus de plaisir a te torturé ! Haha !
-...Torture...torture...Quel mot magnifique...pourquoi une fille devrai torturé des gens ! Surtout une fille !...ma foi fort belle je doit l'avoué ! Mais bon...

( Snif trouvé que sa ! :( )

Qu’avais je donc en face de moi ? Une espèce de gamine de seize ans aux longs cheveux blonds et aux yeux foncés, un visage de sale peste et bien sur toujours cette langue odieuse qui se croit tout permis. Elle avait la réponse brève mais bien peu réfléchie.

-Une fille ? UNE FILLE ? MAITRE DE SES LIEUX ! C'est trop fort ! Si je n'avais pas aussi mal a cause de tes putain de garde je te jure que je me serai marré pendant des années !...ma foi...Je préfère garder ma langue...!

Certes je suis une demoiselle moi aussi, moi aussi j’ai une poitrine, moi aussi je m’attache et me lave les cheveux…Et oui le mythe du tortionnaire féminin vient de naître aux yeux de cette donzelle effarouchée. Mais pourtant la rumeur comme quoi je n’ai pas de cœur n’est pas si fausse que cela, elle trouve cela « trop fort » que je sois à la tête de cet établissement et bien je vais lui montrer fort. Quand elle défini mes employés avec une vulgarité je fronce les sourcils quelques secondes mais reste stoïque, bras croisés contre ma poitrine, campée sur mes deux jambes. Je la regarde s’exciter sur la chaise en hurlant…Mon Dieu cette image me rappelle une fois où j’avais emmenée Nett au zoo, on avait croisé une guenon qui avait les mêmes genres de cris perçant ! Le gardien avait été obligé de me retenir pour ne pas que je lui envois ma chaussure à travers la cage.

-Mouais bon...tu parles d'une prison ! Des gardes qui se croient tout permis...des salles qui sentent le cochon mort et laissés depuis 8 mois...Vraiment ! C'est pas une prison mais un camp de détention provisoire ! VRAIMENT ! Provisoire !...Quand je serai sortie je te ferai ravaler ces mots sale vipère ! Attend un peu que je sorte !

Alors là demoiselle, ce fut de trop pour toi…D’ailleurs l’un des garde lui offre un coup assez fort sur son crâne en riant du fait que j’allais bien m’occuper d’elle. Je n’avais pas levé mes yeux d’acier de ses yeux à elle tandis qu’elle hurlait puis d’un geste vif et rapide je lui saisie les joues d’une seule de mes main et commença à serrer de plus en plus fort et connaissant ma poigne avec la matraque je ne devais pas y aller de main morte je pense.. Je l’obligeai à cesser de gesticuler en fixant son visage face au mien, si elle voulait tourner la tête mon étreinte se resserrerait encore plus.
Je peux sentir les os de sa mâchoire entre mes longs doigts fins qui allaient s’occuper de la faire crier pour une bonne raison, je laisse mon regard planté dans le siens et mes lèvres noires ne peuvent s’empêcher d’esquisser un sourire sadique tandis que ma vois semblait un souffle mais glacial annonçant une future condamnation qui allait laisser des marques.

« Ecoutes moi bien peste, déjà ta langue elle risque de ne pas durer si longtemps que cela si tu continu à gueuler comme une truie qu’on égorge, d’ailleurs tu risques de crier comme cela bientôt mais pour de bonnes raisons. Ne t’avises plus de traiter mes employés par des qualificatifs de ce genre. »

Ma seconde main vint gifler de nouveau le visage de l’enfant tandis que je resserrais de nouveau mon autre main pour lui maintenir la tête immobile, puis avec un sourire lui offrit une autre gifle avant de me redresser et venir chercher des petites choses dans un de mes placards. Tout en marchant je continuais à m’adresser à cette gamine à l’éducation mal faite.

« Si tu as été démoulée trop chaud ce n’est pas notre faute, inutile de hurler de la sorte pour si peu de chose tu as été à peine violentée je suis sûre. Et en effet c’est un camp non pas de détention mais de concentration comme il fut appelé autrefois. »

Je fit volte face, ayant trouvé ce que je cherchais et m’avançais doucement vers elle.

« Mais évidemment tu n’as pas appris cela vu que tu n’a jamais été à l’école sûrement…Et en plus tu serais inculte ? »

Prenant appuie sur mon bureau avec l’aide de mes mains, je passa au dessus du bureau dans un petit bond et finit ma réception de l’autre coté du meuble en offrant un grand coup de pied dans la mâchoire de la petite. La chaise bascula sur le coté sous la force de ce coup et j’ordonne d’un signe que le garde la remette droite.

« Et ne te fais pas d’illusion : tu ne sortira jamais d’ici. »

Invité

Je la sentie prendre ma mâchoire ce qui m'empêcha presque de parler...pendant que elle continuait en serrant de plus en plus je me demandais ce que je fesais ici...j'aurai du rester dans l'ancienne prison...Puis elle dit

« Ecoutes moi bien peste, déjà ta langue elle risque de ne pas durer si longtemps que cela si tu continu à gueuler comme une truie qu’on égorge, d’ailleurs tu risques de crier comme cela bientôt mais pour de bonnes raisons. Ne t’avises plus de traiter mes employés par des qualificatifs de ce genre. »

Je ne dit rien une fois que elle dit sa puis me gifla avec beaucoup de force ce qui me fit très mal...je laissa passé un petit couinement presque inaudible puis me regifla avec plus ce force...je tentais de ne pas criée quand elle partie...j'entendu un bruit sourd pendant que elle fesait sont ménage puis me parla et dit

« Si tu as été démoulée trop chaud ce n’est pas notre faute, inutile de hurler de la sorte pour si peu de chose tu as été à peine violentée je suis sûre. Et en effet c’est un camp non pas de détention mais de concentration comme il fut appelé autrefois. »

Choqué je ne répond dit point face a ceci...Quand elle fît un volte face sans raisons a ma vue puis elle s'avança vers moi et me dit en même temps

« Mais évidemment tu n’as pas appris cela vu que tu n’a jamais été à l’école surement…Et en plus tu serais inculte ? »

Aucun son ne sorta de ma bouche...j'avais trop peur d'elle pendant ces instant quand elle passa de l'autre coté de sont bureau puis me frappa avec une force impressionnante qui me fît tombé mais les garde remis la chaise normalement après quand elle me dit

« Et ne te fais pas d’illusion : tu ne sortira jamais d’ici. »

-Euh...
Choqué...je tentais de faire sortir un mot...je voulais directement lui répondre méchamment mais la peur m'en empêcha
-...Euh...Je...je...je...je suis...désolé...je...je ne sais pas...ce qui ma prit...
Je redoutais déjà sa réaction mais je continua
-Je...euh...suis désoler...pitié...arrêter...ne continuer pas...

Et bien ! Il en fallait peu pour effrayer cette gamine, il suffit que la figure d’autorité montre qu’elle ose lever la main sur son visage de peste et voilà, elle rechigne même plus. Moi qui pensait qu’elle serait plus coriace que cela… A quoi m’attendais je avec une morveuse comme elle ? Je pus même lire dans ses yeux le regret d’avoir été mutée ici et d’avoir voulu monter un plan d’évasion foireux au point de se retrouver là avec moi. La chienne…elle couinait maintenant à une simple gifle. Je savais bien qu’elle se rapprochait plus de l’animal qu’autre chose.

« Ohhh… Tu ne réponds même plus à ce que je dis ? Moi qui croyait que cette langue avait un débit plus grand que les battements du cœur. »

Dans mon placard j’avais sortie une pince assez effrayante puisqu’elle faisait quasiment toute la main, une fois que les gardes redressèrent la chaise où elle se trouvait enchaînée j‘ai un sourire sadique. Entre mon index et mon pouce j’exerçais une pression afin de lui faire ouvrir la mâchoire et prendre sa langue entre l’instrument froid.

« Et bien non elle est toujours là pourtant ! Je pensais te l’avoir enlevée sans m’en être rendue compte. Ce qui aurait été dommage car je n’y aurai même pas prit de plaisir. »

Je lui rendit son muscle avant de la relâcher finalement. Cette enfant n’était qu’une…qu’une…gamine ! Mais oui rien que cela rien qui ne peut attirer grandement l’attention des gardiens et encore moins des prisonniers et s’ils venaient à l’entendre de nouveau vouloir s’enfuir d’ici je doute qu’ils la verraient très crédible. Je m’appuie contre le bord du bureau, regardant cette petite effarouchée ne pas savoir quoi répondre à ce que je venais de faire auparavant ou même dire alors qu’elle était bavarde comme une pie juste avant. Comment ne pas soupirer face à ça ? Non mais franchement c’est se moquer du monde, du haut de ses… je n’ai même pas prit le temps de regarder son âge mais elle se croit tout permis. Une simple enfant vous dis je ça ouvre son bec le temps de crier des choses insensées et puis dès qu’on leur montre un peu d’autorité ça devient muet comme une carpe.

-...Euh...Je...je...je...je suis...désolée...je...je ne sais pas...ce qui ma prit...

Comme si…et elle va se fondre en excuses peut être ?

-Je...euh...suis désolée...pitié...arrêtez...ne continuez pas..

Noon..et en plus elle le fait ! Pitoyable, je crois que j’ai besoin d’un café…serré.. Noir… je vais même manger les graines tiens…
D’un geste de la main un peu exaspéré j’indique aux gardes de dégager cette enfant de ma vue et au plus vite. Alors qu’ils commencent à l’embarquer je demande à l’un des gardes à ce qu’elle soit fouettée autant de fois que sa parole avait prononcée une vulgarité, et s’il ne savait pas compter qu’il prenne un multiple de vingt. Et à la diète ! Sa langue aura peut être son utilité primaire : saliver de soif et de faim. Une fois qu’ils sont tous partis je regarde autour de moi et apprécie le calme qui règne maintenant dans le bureau.

Il me faut un café !

[fin]